
Comportementaliste / Behaviouriste _ SKINNER Burrhus Frederic (B. F.) Skinner (March 20, 1904 – August 18, 1990) was an American psychologist, behaviorist, author, inventor, and social philosopher.[1][2][3][4] He was the Edgar Pierce Professor of Psychology at Harvard University from 1958 until his retirement in 1974.[5] Skinner invented the operant conditioning chamber, also known as the Skinner Box.[6] He was a firm believer of the idea that human free will was actually an illusion and any human action was the result of the consequences of that same action. If the consequences were bad, there was a high chance that the action would not be repeated; however if the consequences were good, the actions that led to it would be reinforced.[7] He called this the principle of reinforcement.[8] He innovated his own philosophy of science called radical behaviorism,[9] and founded his own school of experimental research psychology—the experimental analysis of behavior, coining the term operant conditioning. Biography[edit] Theory[edit]
Les formes de l’enquête historique : John Dewey et Max Weber 1Proposer des références épistémologiques en histoire n’a de sens que si elles peuvent avoir des conséquences pour la pratique empirique, en particulier dans le domaine de l’historiographie. Les orientations de recherche que l’on regroupe souvent sous ce terme équivoque d’historiographie se développent largement depuis quatre décennies maintenant, et ce développement justifie que soient proposés divers instruments permettant de clarifier ces démarches dans leur pluralité et d’en proposer de nouvelles. Notre propos s’inscrit dans cette perspective. Nous voudrions présenter certains éléments théoriques proposés par le philosophe pragmatiste américain John Dewey, que nous mettrons en perspective avec les considérations méthodologiques de Max Weber. L’hypothèse que nous proposons ici consiste en un rapprochement de ces deux auteurs, dont le but est de construire un cadre théorique adéquat pour une étude empirique de la pensée historique. 6 John dewey, Logique. 7 Ibid., chap.
Histoire Mondiale Humaniste - Carl Rogers Portrait de Carl Rogers Il a principalement œuvré dans les champs de la psychologie clinique, de la psychothérapie, de la relation d'aide (counseling), de la médiation et de l'éducation. Il est considéré comme l'un des fondateurs de l'approche humaniste en psychologie. Sa méthode met l'accent sur la qualité de la relation entre le thérapeute et le patient (empathie, congruence et considération positive inconditionnelle). D'après une enquête réalisée en 1982 auprès de 422 psychologues américains et canadiens, il a été considéré comme le psychothérapeute le plus influent de l'histoire[2]. Une étude publiée en 2002 dans la Review of General Psychology a classé Carl Rogers comme le 6ᵉ psychologue le plus important du XXe siècle[3]. En 1940, Rogers est devenu professeur de psychologie clinique à l'Ohio State University où il a rédigé son deuxième livre, Counseling and Psychotherapy (1942). La théorie du soi de Rogers est considérée comme humaniste, existentielle et phénoménologique[19]. 1930.
Pour une pédagogie ordinaire Parmi les sujets qui n’ont pas été abordés lors de la refondation de l’école, il y en a un qui mériterait particulièrement d’être investi tant, il occasionne des « crampes mentales » : la pédagogie. La lutte, toujours explosive, entre les « républicains » anti-pédagogues et les « pédagogues » n’en finit pas de corrompre tous les débats. Wittgenstein nous offre la possibilité d’ouvrir une nouvelle voie... ...supprimant ces vieux clivages absurdes. la querelle scolaire et Wittgenstein : pour une pédagogie ordinaire Un résumé de ce long texte (pour Internet) est disponible ici. 1) La querelle scolaire en France : Les débats sur l’école sont passionnels en France. Les mots sont durs les uns pour les autres. « Ô Nathanaël, jeune prof que tu es, jette les livres, surtout ceux de Meirieu, et viens dans ma classe ! « Mais qui sont ces anti-pédagogues, qui font de leur incompétence une vertu ? Au final, on ne peut que partager le constat fait par ce même Ph.
Faire apprendre : vocation, profession, occupation ou passe-temps ? Il existe plusieurs appellations pour nommer celui à qui on donne le mandat de faire apprendre. Qu’on le nomme enseignant, professeur, maître, formateur, animateur, pédagogue, instructeur, moniteur ou éducateur, sa fonction est toujours essentiellement la même : amener la personne en formation à changer. Là où le bât blesse le plus souvent, c’est dans la manière d’agir de celui qui est en avant de la classe pour atteindre le but et les attentes de la formation qui fait en sorte que la raison d’être de la fonction s’en trouve dénaturée. Entre l’intention et l’action, il y a la compétence. Contrairement à la pensée populaire, être un enseignant ou un formateur compétent ne relève pas d’un don que l’on reçoit à la naissance. J’ai entendu maintes fois des enseignants d’expérience expliquer aux nouveaux que pour enseigner il fallait avoir ça dans le sang. Faire apprendre a toujours été, et est encore, une tâche complexe. Malheureusement, on mélange souvent les fonctions. Like this:
Connaître les grands courants de l'apprentissage Bien souvent, enseignants et apprenants manquent de recul sur leurs pratiques. Ceci, parce qu'ils ignorent les grands principes connus qui régissent l'enseignement et l'apprentissage. Dans ces conditions, les choix pédagogiques relèvent de l'intuition et des représentations, et les insatisfactions de part et d'autres sont mal vécus. Le comble c'est quand pour un choix proclamé, le socioconstructivisme par exemple, on en vient à soumettre les apprenants à une pédagogie de transmission. De la connaissance des courants de l'apprentissage et du choix de l'un d'eux, on pourra définir un scénario pédagogique qui fait sens avec les objectifs visés. Dans une vidéo d'une quizaine de minutes intitulée L'évolution de l'apprentissage à travers le temps, Judith Cantin, conseillère pédagogique en intégration des TIC, propose de survoler les grands courants de l'apprentissage. Vision de l'apprentissageRôle de l'enseignant et de l'élèveForces et limitesPistes de réflexion.
Apprentissage social? Alors voilà, cette semaine, nous traitons de la dimension sociale de l’apprentissage : Quel rôle joue notre environnement, notre entourage dans nos apprentissages ? J’avoue que j’ai un peu été désorientée par le « butinage » proposé et par les deux expressions proposées « Social Learning et « Apprentissage par les pairs ». Y-a-t-il une différence entre les deux termes ? En lisant les premiers liens, j’ai eu l’impression que le social learning ne parlait que d’apprentissage par le réseau… "Après le e-learning, le social learning est le nouveau concept qui doit révolutionner la formation dans les années à venir. ou encore: "Le social learning ne repose pas tant sur le contenu que sur la façon dont on va se connecter aux autres", explique Frédéric Domon. En fait sur la page proposée par Thot cursus, il y a cette page : Apprentissage social : retour aux sources de Christine Vaufrey et là, je découvre le nom d’Albert Bandura. Et conclut en disant : Like this: J'aime chargement…
Dix constats clés de la recherche cognitive sur l'apprentissage (Schneider & Stern, 2010 1. L’apprentissage est une activité exercée par l’apprenant L’enseignant ne peut pas intervenir dans le cerveau de ses élèves pour y insérer de nouveaux éléments de savoir. Les connaissances que chacun possède ne sont accessibles qu’à lui seul. Dès lors, l’enseignant ne doit pas se contenter de bonnes connaissances pédagogiques et de bonnes connaissances du contenu de la discipline qu’il enseigne, mais il doit aussi avoir une bonne connaissance du contenu pédagogique, c’est-à-dire comprendre comment les apprenants construisent leurs savoirs dans un domaine donné (Schulman, 1987). 2. L’enseignant ne peut aider ses élèves que s’il connaît leurs acquis. Dans l’exemple donné en introduction, l’enseignant n’a pas tenu compte des connaissances de ses élèves. Ce processus consistant à donner du sens à une information nouvelle en l’interprétant à la lumière des acquis ne se limite pas aux enfants du primaire. 3. 4. 5. 6. Une bonne structuration du temps apporte une autre forme de structure.