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Dix millions de tonnes de nourriture sont gaspillées tous les ans en France

Dix millions de tonnes de nourriture sont gaspillées tous les ans en France
Ces pertes représentent 16 milliards d’euros et 15,3 millions de tonnes de CO2, selon une étude de l’Ademe publiée jeudi. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Laetitia Van Eeckhout Dix millions de tonnes de nourriture sont jetées chaque année en France. Soit l’équivalent de 16 milliards d’euros et de 15,3 millions de tonnes de CO2. Ce sont les chiffres d’une étude, inédite par son ampleur, publiée par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), jeudi 26 mai. Les 15,3 millions de tonnes de dioxyde de carbone représentent en effet 3 % de l’ensemble des émissions de gaz à effet de serre de la France. 29 kg de nourriture jetés chaque année par habitant L’étude, dont la publication intervient trois mois après le vote par le Parlement d’une série de mesures de lutte contre le gaspillage alimentaire, mesure les pertes et les gaspillages générés sur plus de 80 % des produits consommés en France, globalement et à chaque étape de la chaîne alimentaire. Related:  Gaspillage de la nourritureM22 Sées La solidarité alimentaireRessources supplémentaires

Raise your voice - call on the EU to halve food waste Every year, an estimated 88 million tonnes of food is wasted across EU countries. Meanwhile, 1 in 9 people worldwide struggle to find enough food to lead a healthy life. This is a scandal. Sadly, the problem doesn’t stop there. Globally, if food waste were a country it would be the third largest emitter of greenhouse gases after China and the US. It’s absurd. The good news? Right now, we’re at a historic moment. If passed into law, this could be the most ambitious agreement on food waste the world has ever seen.

Loi européenne contre le gaspillage alimentaire : l’appel d’Arash Derambarsh à Emmanuel Macron – Univers'Elles Malgré les efforts internationaux pour faire face à la malnutrition, aujourd’hui, plus de 815 millions de personnes à travers le monde, se couchent le ventre vide. Après avoir fait voter une loi française relative à la lutte contre le gaspillage alimentaire, le 3 février 2016, Arash Derambarsh se bat pour la décliner en Europe. Union Européenne, 511,8 millions d’habitants. ⁽¹⁾ Nombre d’individus n’ayant pas les moyens de se nourrir convenablement ? 100 millions ! ⁽¹⁾ Nombre de personnes vivant sous le seuil de pauvreté ? 87 millions ! Donner plutôt que jeter Tel est le combat d’Arash Derambarsh depuis plusieurs années. « Montrer le bon chemin » grâce à un élan de solidarité « Monsieur le Président de la République, aidons celles et ceux qui ont faim et soif, montrons le bon chemin. « The Food Life », l’application citoyenne Pour Arash Derambarsh, s’investir en faveur de la fraternité est aussi une bataille personnelle : « Lorsque j’étais étudiant, j’ai connu des moments très difficiles.

Ils lancent un « garage solidaire » pour lutter contre le gaspillage et la faim À Bruxelles, les associations « Frigo pour tous »​ et « share food » ont lancé leur premier frigo solidaire dans un garage, axé sur l’anti-gaspillage, à destination de ceux qui en ont le plus besoin. En avril dernier, nous étions sur place pour filmer l’évènement localisé, riche en émotions… « Ca suffit de gaspiller, ça suffit de jeter à la poubelle alors que des personnes ne peuvent pas se nourrir », nous lance Loubna Zinati, co-fondatrice de « Frigo pour tous ». L’association vient de participer à l’ouverture d’un frigo solidaire à Saint-Gilles, quartier populaire de la capitale Belge. Pour ce faire, un garage a été transformé en chambre froide ouverte au public. Aux heures d’ouverture, les bénévoles accueillent ceux qui viennent faire des dons et ceux qui souhaitent se servir. Des boites libres, gratuites et inconditionnelles Tout le monde peut donc se servir dans ces frigos, même s’ils sont destinés en priorité aux plus démunis. En France aussi, les boîtes à partage se généralisent.

The Waste-Free Kitchen: An Interview with Author and Scientist Dana Gunders - Tackling Foot Waste - Green American Magazine Winter 2017 If you want to know the ins and outs of wasting less food, you don’t have to look much farther than Dana Gunders’ book, Waste-Free Kitchen Handbook (Chronicle Books, 2016). In it, Gunders examines how and why we throw away food in America—then provides step-by-step instructions on how to generate less food waste, from reorganizing your fridge to ensure older foods get eaten first, to fine-tuning meal-planning and shopping habits to salvaging wilted or hardened ingredients. Gunders is senior scientist at the Natural Resources Defense Council (NRDC), with a B.S. and M.S. in Earth Systems from Stanford University. She leads NRDC’s work on reducing food waste across the country. Her work on food waste has been featured by CNN, NBC, NPR, the New York Times, and Last Week Tonight with John Oliver. Green America’s Tracy Fernandez Rysavy talked with Gunders about why food waste is such a big problem in the US and how we can curb it. Image courtesy of DanaGunders.com Dana Gunders: It’s huge!

Gaspillage alimentaire - qui jette le plus en France et dans le monde Rédigé par Jean-Marie, le 15 Oct 2015, à 12 h 16 min Les données sur le gaspillage alimentaire mondial sont édifiantes. Le monde peut produire assez d’aliments pour nourrir les 6 milliards d’habitants de la planète. Malgré tout, 82 pays n’ont pas suffisamment de nourriture pour faire vivre l’ensemble de la population décemment. Le gaspillage alimentaire est aussi un phénomène français En France, nous jetons en moyenne 21 % des aliments que nous achetons, ce qui représente 6,5 millions de tonnes de déchets alimentaires par an, soit 20 kg par an et par Français selon le ministère de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt. Le coût de cet impressionnant gaspillage alimentaire s’élève entre 100 et 160 euros par an et par habitant selon une étude menée par l’ADEME, soit 12 à 20 milliards d’euros au total en France chaque année. Autre estimation : selon France Nature Environnement, chaque année, nous jetons environ 7 kilos de produits non déballés et non consommés par personne.

Des milliers d'étudiants de grandes écoles refusent... Expried or Not? - Tackling Food Waste - Green America Magazine Winter 2017 Those “expiration dates” printed on your food? In most cases, they’re not really expiration dates. The stamped “use by,” “sell by,” and “best by” dates on food most often do not indicate safety*. Manufacturers establish and print the dates, in general, to indicate when an item is at peak freshness and optimal taste. In other words, they have nothing to do with your health. But the fact that most people and businesses interpret the stamped dates as when the foods start to spoil means a lot of food is prematurely thrown out. The only federally regulated exception is baby formula, and the dates on it indicate when nutrients start to decline, not that it’ll make your child sick. Bottom line: A food past its stamped date may not necessarily be bad, so don’t automatically toss it out. Adapted with permission from Waste-Free Kitchen Handbook by Dana Gunders (Chronicle Books, 2016).

Les banques alimentaires débordées; 1,6 million de demandes par mois au Québec Connexion La Presse canadienne 4 novembre 2014 15h44 Société / Actualités en sociétéLes banques alimentaires débordées; 1,6 million de demandes par mois au Québec Photo : Jacques Nadeau Le Devoir Les banques alimentaires canadiennes sont utilisées à 25 pour cent plus qu’avant la récession de 2008, et 37 pour cent des demandes sont pour des enfants de moins de 18 ans, selon des enquêtes annuelles sur l’utilisation des organismes d’aide alimentaire. Au Québec, ce sont plus de 1,6 millions de demandes par mois que reçoivent l’ensemble des banques alimentaires de la province. Devant la demande grandissante, plus de la moitié des banques alimentaires n’arrivaient pas à répondre à toutes les demandes, en mars 2014. Il recommande aussi «un élargissement du soutien aux enfants au-delà du soutien à l’école actuellement disponible sous la forme d’un petit déjeuner durant les journées d’école. Site complet

Pour défendre une agroécologie solidaire, il faut donc tenir une barricade Jean-Marie est botaniste en colère. La destruction brutale de la ferme des Cent Noms, défendue pacifiquement, et la résistance des Vraies Rouges, lieu de maraîchage et de production de plantes médicinales, et accessoirement terrain d’une maison présente avant le projet d’aéroport, suggèrent une réalité que l’on n’a pas envie de comprendre : pour défendre un projet véritablement agroécologique et solidaire, il faut oser tenir une barricade. Autrement dit, pour ne pas avoir à tenir une barricade, il faut se fondre dans l’agroécologie pilotée par le gouvernement. Cette dernière a cependant un grave défaut : elle est strictement, et de plus en plus ouvertement, subordonnée au commerce (surtout au grand commerce, bien sûr) et au profit personnel. Ce discours serait tout aussi vrai en remplaçant « nature » par « solidarité envers les personnes défavorisées » ou « santé » ou « art » ou « vie rurale » ou « droits humains » ou « réfugié.e.s » Vous avez aimé cet article ?

Home Cooks Should Lead The Fight Against Food Waste Chef Dan Barber shares his thoughts on why eating 'waste' is not a passing trend, but an ancient practice that needs to be revived. For the past six weeks, American chef Dan Barber has been feasting Londoners on their own food waste. Ingredients collected from food purveyors around the city and neighboring countryside have been transformed into unusual and delicious dishes at the hands of world-renowned chefs at a pop-up restaurant called WastED – dishes such as burgers made from leftover juice stand pulp and fish-and-chips made with fried sardine bones, salmon ribs, cod skin, and foraged seaweed. Barber’s mission to convince people to eat their scraps is not restricted to highbrow dining, however. In an article for The Guardian, Barber makes an interesting point. “The greatest food cultures in the world evolved in exactly the same way: applying culinary technique to elevate the uncoveted, making the most complete and delicious use of every ingredient. How do we do that?

Un frigo solidaire voit le jour à Caen Depuis la mi-septembre 2018, un frigo solidaire trône en haut de la rue Ecuyère, devant la vitrine du magasin L’Aromathèque, à Caen (Calvados). Il s’agit du premier frigo solidaire de l’agglomération caennaise. J’ai vu cela sur les réseaux sociaux et j’ai trouvé l’idée sympa et originale, glisse Clémence Thomine, installée à cet emplacement depuis un an et demi. LIRE AUSSI : L’initiative. Lutter contre le gaspillage alimentaire et venir en aide aux plus démunis Qu’est-ce qu’un frigo solidaire ? Les gens déposent des aliments consommables pour d’autres aux horaires d’ouverture du magasin. L’objectif est de lutter contre le gaspillage alimentaire, de créer un lieu social et de venir en aide aux plus démunis. LIRE AUSSI : Solidarité. Fruits, légumes, œufs… Des fruits, des légumes, des soupes, des boîtes de conserve ou des œufs ont déjà élu domicile dans le frigo solidaire de Clémence. « Ce serait bien qu’il y en ait encore plus », souffle la jeune femme de 30 ans.

Les consommateurs de bio ne sont pas plus riches que les autres, mais plus instruits Qui sont vraiment les mangeurs de produits bio ? Pas forcement des consommateurs plus aisés, mais des consom’acteurs avertis et instruits. Un mode de vie sain Une étude NutriNet-Santé publiée dans la revue PloS One, pilotée par plusieurs organismes de recherche dont l’INRA et l’Inserm, à montrer que les consommateurs de produits biologiques et les consommateurs traditionnels présentent des caractéristiques différentes. Le bio est perçu comme meilleur pour l’environnement (83%) et pour la santé (69%). Les pesticides dans le viseur La proportion de personnes consommant bio en surpoids est inférieure de 36% à la moyenne nationale chez les hommes et de 42% chez les femmes. Avec apport énergétique équivalent, nous savons que les mangeurs de produits sains absorbent plus de nutriments (bêta-carotènes ou polyphénols) ayant des effets régulateurs sur la faculté du tissu adipeux à stocker les graisses. Au final, il faut savoir quoi dépenser et surtout comment.

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