Makers (1/2) : Faire société
“We are all makers” (Nous sommes tous des artisans). Le credo de Dale Dougherty, fondateur de Make Magazine et de Maker Faire, le plus grand événement dédié au mouvement “makers”, est en passe de devenir le nom de référence d’une communauté extrêmement diverse et dynamique, en pleine expansion. Derrière ce sigle rassembleur, inventé par Make Magazine il y a plus de 10 ans au sein même d’O’Reilly Media, géant de l’édition orientée techno fondée par Tim O’Reilly l’un des gourous de l’internet à l’origine du concept de Web 2.0, on trouve une idée clé : il faut encourager la créativité individuelle car elle est porteuse de plus de conscience et responsabilité sociale, comme l’exprimait Dale Dougherty sur la scène de TED. Profitant de la vague du DIY (Do it yourself, pour “Fais le toi-même !”) Qui sont les makers ? La place particulière de San Francisco dans ce monde des makers est peut être à trouver dans le fait que les gens, ici, ont eu le talent d’initier le réseau. Image : Noisebridge.
Mode d’emploi pour démarrer une civilisation
Et si l'esprit du libre qui est déjà en place dans la société de la connaissance et de la créativité pouvait se propager à l'univers du matériel, des outils du fermier, de l’ouvrier, de l’entrepreneur ou du producteur. Dans un récent billet intitulé Open Source Ecology ou la communauté Amish 2.0 nous nous faisions l’écho d’un projet assez extraordinaire consistant à placer sous licence libre les spécifications d’une cinquantaine de machines agricoles permettant théoriquement à un village d’accéder à l’autosuffisance. Un projet qui méritait bien les honneurs d’une conférence TED que nous avons choisi de vous reproduire ci-dessous. Soit dit en passant, les conférences Ted, au format court caractéristique et de plus en plus souvent sous-titrées en français, constituent avec le temps une véritable mine d’or pour tout internaute curieux de mieux comprendre et appréhender les enjeux d’aujourd’hui et de demain. Leur slogan est : « des idées qui méritent d’être diffusées ». Merci.
Manuel Valls : "Promouvoir comme panacée une 'société du soin' est une erreur profonde"
Au Parti socialiste, le débat continue. Les chantiers ouverts par le PS pour définir son programme sont loin d'être achevés : la société du "care", le "soin mutuel", défendue par Martine Aubry est contestée et le projet économique soulève des questions. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Manuel Valls Le débat qui précède l'élection présidentielle est un moment privilégié de la vie démocratique où les forces vives de la nation s'extirpent de la gestion du quotidien pour faire un état des lieux précis des difficultés et tracer les voies de l'amélioration. La gauche, par l'intermédiaire des primaires ouvertes à l'ensemble des Français, s'est dotée d'un outil efficace pour mener à bien ce travail et faire émerger un projet qui sera porté par son candidat. Il importe donc, dans cette étape primordiale, d'être clairvoyant et de définir le bon diagnostic. De quoi souffrent les Français ? Car l'individu n'est ni malade ni en demande de soins. L'échec majeur de Sarkozy est donc un échec d'autorité.
Makers (2/2) : Refabriquer la société
Le mouvement makers est en plein essor, comme le montre la multiplication des lieux qui leurs sont dédiés (voir la première partie de ce dossier). L’éclosion des TechShops, des foires, des ateliers, qui sont pour beaucoup dans une logique de développement et d’essaimage du modèle y participe pleinement. A certains endroits, à San Francisco, le TechShop est au cœur de la réhabilitation d’un quartier (comme c’est le cas à South Market). Faire société : des lieux et de leurs enjeux Pour Michael Shiloh, l’enjeu va bien au-delà des lieux. On devine derrière ce mouvement makers, un véritable enjeu pour un apprentissage différent. Reprendre confiance dans sa capacité à créer Les animateurs de workshops rencontrés ont partagé avec nous un constat fort : la plupart des participants manquent de confiance en eux en ce qui concerne leur capacité à créer. Image : visite du Maker Space avec Michael Shiloh. Transformer, partager : vers une culture Open Source de la fabrication numérique
Free culture/Culture libre (gratuite) | CommentCaMarche
C'est quoi la "Free culture" ? La Free culture correspond à la culture libre, appelée aussi le libre, qui s'appuie sur la notion de bien public et qui, de fait, est d'accès gratuit = libre = free. Musique Écoute libre Deezer : La majorité des titres en écoute sur ce site ont été fournis par les internautes eux-mêmes. Il existe d'autres sites du même genre, mais certains sont encore en discussion/conflits avec la SACEM et organismes équivalents. Musique libre Sur ces sites, la musique est en écoute gratuite, et leur diffusion ne dépend pas des majors. Labels "équitables" Ces labels de musique en ligne vendent les créations d'artistes qui ont signé chez eux, à l'instar des grandes maisons de disque (EMI, Sony-BMG, Universal...). Selon les sites, l'écoute intégrale des albums avant leur achat est possible. Divers Les Artistes avec nous !! Un site officiel celui de Elliot Murphy : et puis : Pour les nostalgiques des grandes années du rock: Jazz :
Lignes de faille. Une société à réunifier | France Stratégie
Comme ailleurs en Europe, une série de divisions structurelles traversent la société française. Mais à la différence de nos voisins, nous en avons une perception déformée, exagérément pessimiste. Des cinq grands pays d’Europe de l’Ouest, nous sommes par exemple celui où le taux de pauvreté est le plus faible mais la peur de tomber dans la pauvreté la plus élevée. Pourquoi un tel écart entre perceptions et réalités objectives ? Et que dit cette contradiction apparente sur l’état de notre société, sur ce qui nous divise vraiment ? Le pessimisme, une clé de lecture de la société française ? Emploi, revenu, mobilité sociale, situation des jeunes, territoires, intégration, les Français portent un regard sombre sur la situation de leur pays et sur leurs propres perspectives d’avenir. La France est un des pays où la distribution des revenus est la moins inégalitaire. Les exemples pourraient être multipliés. Aux origines : une crise des institutions Comment réunifier la société ? Céline Mareuge
Laser Cutter DIY - Tetalab
Pendant 2 jours, nous avons assemblé les pièces que Lionel avait apporté, et les parties de scanners qui se trouvaient dans le container, afin de monter un laser cutter DIY basé sur le design de Groover: Pocket Laser Engraver Pour ce projet, nous avons: 1 Arduino Duemilanove2 structure de scanner récupérée au fil des mois2 controlleurs moteur EasyDriver, disponibles chez Sparkfun1 Power ScrewShield Snootlab (ou autre proto-board pour le cablage)1 diode laser IR récupérée dans un graveur DVD1 laser de chez DealExtreme, dans lequel mettre la diode laser IR, qui contient une lentille et le driver de la diode (courant constant) Le plotter est composé de 2 structure de scanner sur lesquelles on a laissé les moteurs (ainsi tout est déjà aligné et bien stable). L'axe X est le scanner du bas, nous avons choisi le scanner le plus stable pour cet axe (un gros scanner Agfa) et rajouté des pieds afin de niveler la structure horizontalement. Une fois connecté à l'arduino, vous pouvez:
SheetzBox - Free Piano Sheet Music