Les grands explorateurs
Après le repli et l’obscurantisme du Moyen Âge, la Renaissance et le XVIe siècle sont des époques riches en découvertes. Le temps est alors venu de lutter contre les vieilles superstitions, d’aller vers l’inconnu et partir chercher d’autres terres. Si cet aspect humaniste n’est pas à écarter, d’autres réalités plus prosaïques accompagnent cet idéal : il fallait aussi développer de nouveaux marchés et trouver des nouveaux produits, comme les épices pour les nobles. La compétition entre les nations européennes comme l’Italie, l’Espagne, le Portugal qui rivalisent d’audace pour gagner des terres, fait rage… Boussole en poche, les navigateurs circulent surtout le long des côtes, jouant de l’astrolabe, outil nécessaire pour calculer la latitude et l’angle donné par rapport à l’étoile polaire et l’horizon (juste dans l’hémisphère nord). Routard.com vous propose de partir à travers la planète en compagnie d’aventuriers nommés Christophe Colomb, Jacques Cartier, James Cook ou Marco Polo.
1907 PAUL EMILE VICTOR 1995
Voyages et découvertes : démarche pédagogique
Voyages et découvertes XVI-XVIIème siècle Stephanie Dufrêche – PLP lettres-histoire Mise en œuvre : 4 heures Pistes de réflexions Pour ce sujet d’étude la difficulté pour les élèves réside dans la représentation du temps long (3 siècles), des enjeux et des conséquences de ces grandes découvertes depuis Christophe Colomb jusqu’à Cook et Bougainville. J’ai donc choisi d’entrer dans ce thème grâce aux situations proposées sans faire de première séance de contextualisation.
Explorateurs et grandes découvertes
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Les Grandes découvertes (XVe-XVIe s.)
Entre [...] dans le texte = informations complémentaires. Henri le Navigateur et l'exploration des côtes africaines "[La première raison était que le Roi] désirait savoir quelles terres il y avait au-delà des îles Canaries et d'un cap qu'on nommait Bojador, car jusqu'à cette époque, ni par écrit ni par la mémoire d'aucun homme, personne ne savait quelle terre il y avait au-delà de ce cap (...). Et la deuxième fut l'idée que si en ces terres se trouvaient quelque population de chrétiens, ou quelques ports où l'on aborderait sans danger, on pourrait en rapporter au royaume beaucoup de marchandises bon marché par la raison qu'il n'y aurait point d'autres personnes de ces côtés-ci qui négocieraient avec eux (...). [La troisième raison fut qu'il] s'ingénia à envoyer ses gens en quête de renseignements, afin de savoir jusqu'où allait la puissance [des] infidèles. La cinquième raison fut son grand désir d'augmenter la sainte foi de N.
Le mythe des terres australes - Récits de voyages au XVIIIe siècle
« La question de la Terre Australe ou du Continent Austral est l’une des plus vieilles énigmes qui se soient posées à la curiosité des hommes et à la sagacité des savants », explique le géographe Numa Broc. Depuis l’Antiquité, il existe une croyance en une terre immense située dans l’hémisphère Sud. Cette pensée est née chez les Pythagoriciens grecs qui émettent l’hypothèse de l’Antichtone : il existe une masse de terre située dans l’hémisphère Sud pour équilibrer la planète. Tout ceci s’appuie sur l’idée d’une symétrie entre les deux hémisphères Nord et Sud. Cette croyance se prolonge au fil des siècles et revient au goût du jour avec les découvertes géographiques des XVIe et XVIIe siècles, qui accentuent le poids de cette idée. La découverte du continent américain renforçant l’idée d’une symétrie de l’Est vers l’Ouest, elle consolide celle d’un équilibre Nord et Sud.
Dossier pédagogique expo du Quai Branly
L'e-mallette propose un corpus de documents qui permettent de se constituer une base de travail. Ces documents peuvent être utilisés pour préparer un cours, nourrir un débat ou servir de base à des travaux d'élèves. C'est également un espace de dialogue et d'échange puisque vos restitutions pédagogiques pourront s'intégrer à cet outil.