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Droits des malades et des personnes en fin de vie, sédation profonde, directives anticipées, soins palliatifs. Loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie - Panorama des lois - Actualités

Droits des malades et des personnes en fin de vie, sédation profonde, directives anticipées, soins palliatifs. Loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie - Panorama des lois - Actualités
Où en est-on ? La loi a été promulguée le 2 février 2016. Elle a été publiée au Journal officielJournal officielJournal de la République française dans lequel sont publiés les lois et les règlements. du 3 février 2016. Déposée à l’Assemblée nationale par MM. De quoi s'agit-il ? A la suite d’une concertation sur la question de la fin de vie, la loi pose le principe selon lequel "toute personne a droit à une fin de vie digne et apaisée. La loi tend au développement des soins palliatifs. Sous réserve de la prise en compte de la volonté du patient, les traitements seront suspendus ou ne seront pas entrepris quand ils n’ont que pour seul effet un maintien artificiel de la vie et apparaissent inutiles ou disproportionnés (la nutrition et l’hydratation artificielles constituent un traitement). Le patient a le droit de refuser un traitement et le médecin a obligation de respecter la volonté de la personne après l’avoir informée des conséquences de son choix. Related:  bioethique

Fin de vie : ce que la loi change pour les malades DROIT DES PATIENTS. Les décrets de la loi votée en février sur les droits des personnes en fin de vie sont parus vendredi au « Journal officiel ». Voici les trois mesures phares. On meurt mal en France. La mise sous sédation profonde jusqu'à la mort Le décret précise les conditions dans lesquelles peut être décidé l'arrêt des traitements. La consigne des patients plus forte que l'avis du médecin Doit-on me maintenir en vie si un accident me plonge dans un coma irréversible ? La désignation d'une personne de confiance La nouvelle loi inscrit dans le marbre ce dispositif encore mal connu. Elle n'aurait pas réglé le cas de Vincent Lambert Vincent Lambert. Comment accompagner un proche en fin de vie ? Partagés entre l’angoisse de perdre un être cher, la douleur de le voir souffrir et la peur de la mort, les proches sont souvent désarmés pour accompagner la personne en fin de vie. Pourtant leur présence est essentielle à travers des attitudes simples mais pleines d’humanité. « Souvent, beaucoup voudraient une recette pour accompagner une personne en fin de vie, dit un aumônier d’hôpital. Au risque de les décevoir, je dirais qu’il n’y a pas de trucs, car chaque personne est unique et les situations peuvent être très variées. Il y a plutôt des attitudes importantes pour se tenir là ». Se tenir là. Savoir écouter Plus que jamais, l’écoute est un préalable à l’aide que l’on peut apporter. « Il ne faut pas avoir peur des silences, dit aussi un médecin de famille, car le malade peut être trop fatigué pour parler et il faut respecter sa faiblesse, mais on peut alors communiquer son soutien par sa simple présence ». Une personne en fin de vie a besoin de vérité. Ne pas cacher la vérité

FIN DE VIE ET SOINS PALLIATIFS Euthanasie : un droit strictement réglementé | Belgium.be On peut exprimer des intentions et des refus en matière de soins de santé et de fin de vie pour le cas où on ne serait plus en état de manifester clairement sa volonté (coma, par exemple) en rédigeant ce qu'on appelle une "déclaration anticipée de volonté". Dans une déclaration anticipée de volonté, le patient encore capable d'exprimer sa volonté demande de manière explicite que soit pratiquée l'euthanasie. Cette déclaration est valable si : Elle a été rédigée selon le modèle de formulaire que prescrit la loi. Cette déclaration peut aussi désigner une ou plusieurs personnes de confiance qui le moment venu, mettront au courant le médecin traitant de la volonté du patient. Le patient peut à tout moment retirer ou adapter sa déclaration anticipée de volonté. Télécharger le formulaire type pour la déclaration anticipée de volonté Demande expresse d’euthanasie Cette demande doit être faite par écrit, datée et signée. Conditions Devoir du médecin

Cours de Terminale d'enseignement moral et civique. Questions de société : Quatre thèmes sont proposés parmi lesquels deux au minimum sont à traiter : Smart Notebook pour tableau blanc interactif (TBI) , clé d'activation Pour ouvrir les fichiers sans télécharger le programme utilisez: Smart express Programme officiel En classe terminale, l'enseignement moral et civique se centre d'une part sur l'un des piliers fondamentaux des sociétés démocratiques : la reconnaissance du pluralisme des croyances ; d'autre part sur la façon dont s'organisent, dans l'espace démocratique, de grands débats sur les questions éthiques posées par la biologie et la médecine. Compétences: Identifier et expliciter les valeurs éthiques et les principes civiques en jeu. I- Pluralisme des croyances et laïcité. La notion de laïcité. Étude pluridisciplinaire des différentes façons de concevoir les relations entre l'État et la pluralité des convictions religieuses, au sein des régimes démocratiques (projet interdisciplinaire souhaitable). La notion de bioéthique. .

OGM : le principe de précaution Le principe de précaution est inscrit dans le droit français pour protéger l'environnement contre des risques qui ne sont pas encore bien évalués. Il faut donc pouvoir prouver l'absence et non la présence de risques potentiels, un travail ardu en ce qui concerne les OGM. Dominique Lecourt (professeur de philosophie à l'université de Paris VII et délégué général de la fondation Biovision de l'Académie des sciences) revient sur le principe de précaution. Le principe de précaution en France et en Europe C'est en Allemagne, à la fin des années 1960 sous le nom de Vorsorgeprinzip, à propos de problèmes d'environnement que le principe de précaution est pour la première fois formulé. Son accession à la notoriété internationale coïncide avec la Déclaration de Rio au Sommet de la Terre en juin 1992. Le 2 février 1995, la loi Barnier l'inscrit dans le droit français sur la protection de l'environnement. Une preuve de l'absence de risque Un peu d'histoire... La prévoyance Amélioration des techniques

Quels sont les différents modes de prise en charge palliative ? - Soins palliatifs : pour une fin de vie digne des personnes malades - Ministère des Affaires sociales et de la Santé publié le02.12.16 mise à jour05.12.16 En phase palliative, les modalités proposées sont adaptées aux besoins des patients et à leur environnement. La prise en charge peut se faire : En établissement de santé en lit identifié en soins palliatifs (LISP). en unité de soins palliatifs (USP) pour les situations les plus complexes de fin de vie. en lien avec une équipe mobile de soins palliatifs (EMSP) ou une équipe régionale ressource en soins palliatifs pédiatriques (ERRSPP). Pour renforcer la prise en charge hospitalière, 32 postes d’assistant spécialiste en médecine palliative / médecine de la douleur sont financés chaque année depuis 2010. En hospitalisation à domicile L’organisation de soins palliatifs s’est développée de manière significative à domicile. Sans l’HAD, certaines personnes malades seraient maintenues en établissement hospitalier alors que leur séjour pourrait être raccourci voire évité. A domicile Quelle est la prise en charge la plus adaptée ?

[COMMUNIQUE DE PRESSE] Proposition de loi Fin de vie : ‘’Soulager mais pas tuer’’ appelle à un rassemblement le 10 mars | Soulager mais pas tuer 05 Mar 2015 Lors d’une conférence de presse ce jour, le mouvement « Soulager mais pas tuer » a analysé les dangers et les ambiguïtés de la proposition de loi Claeys-Leonetti sur la fin de vie, et formulé des propositions pour améliorer ce texte qui sera examiné à l’Assemblée nationale à partir du 10 mars prochain. Plusieurs soignants, ainsi que des personnes concernées par la lourde dépendance et la maladie, ont notamment insisté sur les points suivants : Le prétendu « droit à la sédation profonde et continue jusqu’au décès » entretient une confusion. Les Français ont essentiellement besoin d’un accès effectif aux soins palliatifs, objectif qui est absent de la politique gouvernementale depuis plusieurs années. C’est pourquoi le mouvement « Soulager mais pas tuer » demande des ajustements pour sécuriser patients et médecins contre les dérives inéluctables que le texte produirait en l’état, et en particulier :

Fin de vie et droits des malades : mission d'information et proposition de loi Fin de vie & Droits des malades (20 mai 2005 ) I. Proposition de loi relative aux droits des malades et à la fin de vie II. Mission d'information sur l’accompagnement de la fin de vie Proposition de loi Droits des malades et fin de vie LOI n° 2005-370 du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie (JO du 23 avril 2005) [sur le site de Legifrance] Rectificatif (JO du 20 mai 2005) [sur le site de Legifrance] Assemblée nationale - 1ère lecture Proposition de loi de M. Travaux en commission : commission spéciale Composition de la commission - Réunion constitutive du mercredi 3 novembre 2004 - Examen de la proposition de loi : réunion du mercredi 17 novembre 2004 Rapport de M. Examen en séance publique : 1re séance du vendredi 26 novembre 2004 : compte rendu analytique - compte rendu intégral 2e séance du vendredi 26 novembre 2004 : compte rendu analytique - compte rendu intégral Sénat - 1ère lecture (dossier en ligne sur le site du Sénat) Rapport n° 1929 de M.

"Bébé-médicament" : l'équilibre périlleux d'une solution extrême Le projet de loi adopté le 15 février prévoit de pérenniser l'autorisation du double diagnostic préimplantatoire. Est-ce raisonnable ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Jean-René Binet, professeur de droit privé à l'Université de Franche-Comté, membre de l'Institut universitaire de France Depuis 2004, la loi française autorise à titre expérimental une pratique qui est sous les feux de l'actualité depuis peu. Il s'agit de concevoir un enfant par fécondation in vitro pour permettre une greffe de cellules au profit d'un grand frère ou d'une grande sœur atteint d'une maladie génétique incurable entrainant la mort dès les premières années de la vie. Cette pratique pose en effet problème, mais c'est le propre des sujets de bioéthique que de contraindre le législateur à rechercher l'équilibre entre des intérêts divergents, entre des valeurs en conflits. En 2004, parce qu'il avait conscience des problèmes soulevés, le Parlement a concédé cette technique en lui assignant des limites.

Développement des soins palliatifs pédiatriques dans le canton de Vaud. Historique des soins palliatifs dans le canton de Vaud Afin de comprendre dans quel contexte s’inscrit ce mandat, il importe de décrire la situation dans le canton de Vaud. Dans cette région, le développement des soins palliatifs s’est fait par vagues successives depuis de nombreuses années, résultant principalement d’initiatives des professionnels et des réseaux. En 1988, une première unité de soins palliatifs voit le jour, la Fondation de Rive-Neuve, suivie de l’ouverture d’autres structures similaires. En 1986 est créée la division de soins palliatifs du CHUV, composée d’une équipe mobile intra-hospitalière (1986) et d’une consultation ambulatoire (1987). Suite à la création des réseaux, notamment celui d’ARCOS pour qui le développement des soins palliatifs est un objectif prioritaire, plusieurs d’entre eux mettent en place des équipes mobiles de soins palliatifs ainsi que des formations. Quatre axes de travail sont définis dans ce cadre : L’objectif global de ce mandat est de :

L'EUTHANASIE ACTIVE ET PASSIVE

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