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Mise en abyme

Mise en abyme
La mise en abyme (aussi écrit mise en abîme ou mise en abime) est un procédé consistant à représenter une œuvre dans une œuvre similaire, par exemple dans les phénomènes de « film dans le film », ou encore en incrustant dans une image cette image elle-même. Ce principe se retrouve dans le phénomène ou le concept d'« autosimilarité », comme dans celui des figures géométriques fractales ou de la corécursivité en mathématiques. L'expression utilisée dans le sens sémiologique remonte à André Gide, qui note dans son Journal en 1893 : « J'aime assez qu'en une œuvre d'art on retrouve ainsi transposé, à l'échelle des personnages, le sujet même de cette œuvre par comparaison avec ce procédé du blason qui consiste, dans le premier, à mettre le second en abyme. » La mise en abyme peut également introduire un clin d'œil de l'auteur, ou permettre à celui-ci d'émettre, sur le mode de l'humour (autodérision), une critique sur sa propre œuvre, voire sur le genre auquel elle appartient. Related:  Littérature

'Heathcliff whr r u': literary classics by text message Almost everyone, I think, has at least one friend who likes to relay enormously significant, life-altering news in a careless, after-the-fact way – “Did I not mention I left him?” It’s somehow maddening and endearing, the proportion of which is dependent on your personal tolerance levels. When we text, I don’t have to see your face or hear your voice when I flake out on plans 30 minutes before I’m supposed to show up; we can be our worst and most thoughtless selves with a minimum of fallout. It was while brooding on this that I began to imagine text exchanges from various characters in literary history. The joke in each of these cases is not: wouldn’t it be funny if people in the past had phones, but, what is it about this format that allows these characters to be their truest, sometimes worst selves? • Texts From Jane Eyre And Other Conversations With Your Favourite Literary Characters by Mallory Ortberg is published on 5 November by Corsair.

Le blog Satirique de Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa Stade du miroir et narcissisme - Institut Français de Psychanalyse Stade du miroir et narcissisme Pour Lacan, ce stade est le formateur de la fonction sujet, le « je », de l’enfant âgé de 6 à 18 mois. Mais cette fonction ne peut se mettre en place que par la présence de l’autre. En effet, pourquoi dire « je », s’il n’y a personne à qui le proposer ? On retrouve alors l’intersubjectivité du sujet. À une période où l’enfant a déjà fait, sur le mode angoissant, l’expérience de l’absence de sa mère (période anaclitique), le stade du miroir manifeste la prise de conscience rassurante de l’unité corporelle et, selon Lacan, la jubilation de l’enfant au plaisir qu’il a de contempler l’image de son unité, à un moment où il ne maîtrise pas encore physiologiquement cette unité. Le rôle de l’Autre Ultérieurement, Lacan a développé un aspect important du stade du miroir, en y introduisant une réflexion sur le rôle de l’Autre. Cette période est également la mise en place de l’objet source de désir de l’enfant. Stade du miroir et Idéal du Moi Selon Winnicott

Après le tremblement de terre - Haruki Murakami - Maboroshi no Rouge « En rentrant du bureau ce soir là, Katagiri trouva chez lui une énorme grenouille qui l'attendait. Dressée sur ses deux pattes arrières, elle faisait bien deux mètres de haut. Et elle était plutôt corpulente aussi. Katagiri, avec son mètre soixante et sa faible carrure, se sentit écrasé par une apparence aussi imposante. - Appelez moi Crapaudin, tout simplement, dit la bestiole d'une voix qui portait loin. Katagiri en perdit la sienne et resta figé sur place dans l'entrée, bouche bée. » « Crapaudin sauve Tokyo » Sur les conseils bien avisés de Rachou-san, j'ai découvert il y a quelques mois le petit recueil de nouvelles de Haruki Murakami intitulé « Après le tremblement de terre ». II est intéressant de noter qu'en japonais, l'ouvrage est titré « Tous les enfants de Dieu savent danser ». La grande force de Murakami est de tracer en quelques lignes des caractères convaincants qui reflètent à merveille la complexité de la psyché humaine. « - Vous êtes une belle personne, docteur.

Superstition et présages A En tout temps, les abeilles ont joué un rôle important dans la superstition en milieu rural où on les considère encore comme des créatures sages, possédant une connaissance de l'avenir particulière. La tradition veut qu'elles soient originaires du paradis et on les nomme volontiers « Les Petites Servantes de Dieu ». Selon cette optique, il est naturel qu'en tuer une porte malheur. A la campagne, on croit qu'il est essentiel de les prévenir quand une personne de la famille de leur gardien meurt ou se marie Après un décès, un proche doit aller à la ruche et répéter trois fois la phrase : « Petites fées, Petites fées, votre maître (maîtresse ou quelqu'un d'autre) est mort. » Faute de le faire, les gens superstitieux disent que les abeilles meurent ou s'en vont à tout jamais. Dans le même esprit, une jeune fille fiancée doit les informer de son prochain mariage ou elles quitteront la ruche, pour ne plus revenir. Un essaim égaré qui atterrit dans votre maison ou dans votre jardin porte malheur. :o))

Nature et société : naissance du mythe du bon sauvage N.B. Edition utilisée : Garnier-Flammarion I. Le regard porté par l’Européen sur le « sauvage » depuis le XVIème siècle Lectures en correspondance Deux représentations iconographique du sauvage au XVIème siècle – Représentation positive du sauvage : « Famille Tupinamba à l’ananas » : Jean de Léry, Histoire d’un voyage en terre de Brésil, Livre de poche, bibliothèque classique n°0707, p213. – Représentation négative du sauvage cannibale : « Equarrissage de la victime » : André Thevet, Les Singularités de la France Antarctique, Editions Chandeigne, p163. Questions : Comparez ces deux représentations des Brésiliens issues d’un récit de voyage du XVIème siècle. Autres supports iconographiques : Le catalogue de l’exposition Kannibals et Vahinés qui s’est tenue en 2001 au musée national des Arts d’Afrique et d’Océanie offre également un grand choix de représentations stéréotypées du bon et du mauvais sauvage, jusque dans la culture contemporaine, manifestant la permanence du mythe. II. III. Ah !

Tolkien Reading Day : 9 choses que vous ne saviez pas à propos de Tolkien Le 25 mars ce n'est pas seulement la journée de la procrastination mais aussi celle du Tolkien Reading Day ! Lancé en 2003 par Tolkien Society, cet évènement a pour but d'encourager la lecture des travaux de J.R.R Tolkien. Pourquoi le 25 mars vous demanderez-vous ? Et bien c'est tout simplement la date de la chute de Sauron dans Le Seigneur Des Anneaux, qui marque la fin de la guerre de l'Anneau. Pour fêter ça, voici 9 faits que vous ignoriez peut-être sur J.R.R Tolkien, 9 comme le nombre des membres de la Communauté de l'Anneau ! 1# Il se considérait lui-même comme un Hobbit Tolkien admettait envier la vie des Hobbits dans la Comté dans laquelle il se serait immédiatement senti chez lui s'il avait eu l'occasion d'y aller. Je suis un Hobbit tout compte fait (en tout, sauf la taille). Désactiver la lecture automatique 2# Il a combattu durant la Première Guerre Mondiale 3# Il éprouvait un grand mépris pour les nazis Merci pour votre lettre. 5# Comme Frodon, il est orphelin à l'âge de 12 ans.

Sérendipité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans les pays anglo-saxons, les Serendipity shops sont des boutiques où l'on trouve des idées inattendues de cadeaux. En France, le concept de sérendipité, adopté dans les années 1980[1] prend parfois un sens très large de « rôle du hasard dans les découvertes[2] ». Alain Peyrefitte avait fait un usage sans rapport du Serendip de Louis de Mailly en 1976, dans Le Mal français. Sa généralisation a fait l'objet de mises en cause, le hasard intervenant toujours, par définition, dans une découverte ou une invention. On ne peut connaître que ce qui existe déjà, et le sentiment à la vue d'une chose nouvelle se confond aisément avec la surprise d'un événement fortuit. Parmi les nombreux exemples de découvertes et inventions liées au hasard, on peut citer : le four à micro-ondes, la pénicilline, le Post-it, le téflon, le Velcro. Histoire du mot[modifier | modifier le code] Étymologie[modifier | modifier le code] Origine[modifier | modifier le code] 2.

Panoptique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Schéma représentant le principe du panoptique. « La morale réformée, la santé préservée, l'industrie revigorée, l'instruction diffusée, les charges publiques allégées, l'économie fortifiée — le nœud gordien des lois sur les pauvres non pas tranché, mais dénoué — tout cela par une simple idée architecturale. » — Jeremy Bentham, Le Panoptique, 1780. (L'ouvrage, de 56 pages, est traduit de l'anglais et imprimé par ordre de l'Assemblée législative en 1791[1].) Le panoptique selon Bentham[modifier | modifier le code] L'idée de Bentham est inspirée par des plans d'usine mis au point pour une surveillance et une coordination efficace des ouvriers. Bentham lui-même souhaitait une mise en abyme de la surveillance, les surveillants eux-mêmes devant être surveillés par des surveillants venus de l'extérieur, afin de limiter la maltraitance des détenus et les abus de pouvoir : Histoire[modifier | modifier le code] Selon Neil Davie,

Michel Houellebecq, Soumission : Enquête sur la servitude humaine « Une idée extrêmement déplaisante me vint. » [1] Romancier de la déréliction et de la proximité, de la mutation et du milieu, de la survie et de l’anéantissement, Michel Houellebecq nous offre aujourd’hui son livre le plus inquiétant, le plus ambigu, le plus accompli. Moins sophistiqué que La possibilité d’une île, plus engagé (et de fait moins « goncourable ») que La carte et le territoire, Soumission renoue avec la veine dévastatrice et drolatique, à notre avis la meilleure, de Plateforme, des Particules et d’Extension. Jamais en effet la fiction n’aura été si visionnaire et de l’ordre du probable. Le mâle de l’islam Dès lors, il faut suivre les pérégrinations de « François », le narrateur, sorte de « dernier des Français » comme Nietzsche parlait de « dernier des hommes », professeur de lettres à la Sorbonne, spécialiste de Huysmans, « aussi peu politisé qu’une serviette de toilette » (ah ! Là-dessus, il ne faut pas se tromper de roman, sinon de territoire littéraire. Pierre Cormary

Institut physique et conscience de Patrick Drouot ADHERENT N° 8 : "J'ai repris un extrait du livre de Patrick Drouot : le rapport sur les cartographies effectuées pendant les expériences racontées sur le document "physique et conscience" que je vous ai envoyé hier soir." Résumé des conclusions des contrôles EEG dans l'expérimentation de l'institut Monroe A la suite des expériences réalisées au Monroe Institute, Skip Atwater m’envoya un rapport daté du 8 août 1989. Ce rapport était particulièrement intéressant pour eux et surtout pour moi, car il démontrait l’aptitude de l’être humain à s’ouvrir non seulement à d’autres états d’être, mais à les explorer. Une cartographie commençait à se dessiner. En bref, le rapport disait : " Ci-joint les cartographies des ondes cérébrales durant le travail effectué sur Teena et Fay. Que s’est-il réellement passé ? L'expérience sous contrôle EEG Institut physique et conscience de Patrick Drouot Perspectives scientifiques et spirituelles de la lecture énergétique et vibratoire "O.K.

Les salons au XVIIIe siècle Contexte historique Une sociabilité aristocratique et mondaine Commande de Joséphine Beauharnais, ce tableau du peintre Lemonnier a été exposé au Salon de 1814. Le but de ce portrait de groupe est de fixer pour la postérité tous ceux qui ont compté sur la scène mondaine, philosophique et artistique parisienne au cours du siècle des Lumières, bien au-delà des membres qui ont effectivement formé la société de Mme Geoffrin. Significativement nommés « sociétés » au XVIIIe siècle, les salons sont en effet l’une des principales composantes d’une sociabilité mondaine dont le XIXe siècle cultive la nostalgie. Analyse des images Portrait de groupe des Lumières La scène se situe dans un salon richement décoré de tableaux et de tapis, celui de Madame Geoffrin, épouse du directeur de la manufacture des Glaces (future entreprise Saint-Gobain). Interprétation Histoire des Lumières et fiction artistique Bibliographie Pour citer cet article

La terrible origine des contes de fées Si vous pensez encore que Disney a tout inventé, vous vous trompez. En réalité, ni Charles Perrault ni même les frères Grimm ne sont à l’origine des contes de fées. Prenez Cendrillon par exemple, la toute première version remonte au IXème siècle Av. J.C, en Chine, mais ce n'est qu'en 1634 qu'elle arrive en Europe, retranscrite par l'auteur italien Giambattista Basile. Les contes de fées et leur morale participent à l’éducation des enfants, ils leur inculquent des valeurs, leur apprend à distinguer le bien du mal et les gentils des méchants. Connaissez-vous le petit secret de Cendrillon ? Cendrillon Ilustration de Edmond Dulac Cendrillon est loin d’être la petite fille innocente que nous connaissons chez Disney. "... Ce que Zezolla n'avait pas prévu est que sa gouvernante et ses six filles sont plus pestes encore que sa défunte belle-mère. Zezolla s’en va donc au bal, où elle rencontre le roi qui tombe fou amoureux d’elle. La Belle au bois dormant La petite sirène Mais ce n’est pas tout.

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