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BNF Bibliographie

20 blogs pour tout suivre sur le livre numérique Les 20 meilleurs blogs de la bouquinosphère numérique Merci à La Feuille d'avoir fait une grande partie du travail sur son blog, j'en ai rajouté quelques autres et omis les sites d'informations que vous trouverez aisément sur Google! PS: en langue anglaise, à rajouter bien entendu les indispensables Teleread, MobileRead, PublishingPerspectives et DigitalReader! La justice met un coup d'arrêt à la bibliothèque universelle de Google "L'accord n'est pas équitable, adéquat ou raisonnable", a déclaré le juge fédéral de New York Denny Chin, dans une décision aussitôt regrettée par Google, la Guilde (syndicat) des auteurs et l'Association des éditeurs américains Ils étaient parvenus à un accord en octobre 2008 censé mettre fin à des poursuites lancées en 2005, portant sur les droits d'auteur de livres numérisés devenus rares ou introuvables, mais n'étant pas encore tombés dans le domaine public. L'accord prévoyait que Google verse 125 millions de dollars pour rémunérer les auteurs dont les oeuvres auraient été numérisées sans autorisation, et établisse un "Fonds de droits du livre" assurant un revenu aux auteurs acceptant que leurs livres soient numérisés. L'accord ayant été bloqué, la situation actuelle est gelée: Google ne met en ligne que de très courts extraits de ces livres épuisés et soumis à droits d'auteur. Mais comme l'a noté M. Par

Débats Lecture numérique et culture écrite Je reprends ici le texte d'un article qui m'a été suggéré par Julien Gauthier et publié sur l'excellent site Skholè. Le débat lancé par Nicholas Carr en Août 2008 ("Is Google making us stupid?") a ouvert , en grand et soudainement, le débat sur la lecture numérique. (1) La lecture numérique a en effet cessé d’être une simple «tendance technologique», dans le sens de Leroi-Gourhan. La question de départ pourrait être: «est-il concevable de lire à l’écran?» Elle devient ensuite: "la lecture numérique peut-elle se substituer à la lecture classique, comprise comme la lecture du texte imprimé, essentiellement du livre, telle qu’on l’apprend à l’école?" Plus généralement encore: comment la lecture numérique, comme culture et comme pratique, prend-elle place dans la culture écrite? Dans cette perspective, notre point de départ doit être le reflux de la culture écrite, et plus particulièrement de la lecture. Je crois que ce tableau, considéré comme hypothèse de travail, appelle deux remarques.

2010, première année où l'ebook aura financièrement compté ActuaLitté Certains arrivés trop tôt avaient clamé l'essor du livre numérique en 2000 avec le Cytale. Ils avaient 10 ans d'avance. Selon la présidente du groupe Random House en Angleterre, Gail Rebuck, écrivant à ses employés, l'histoire gardera plutôt 2010 comme l'an I. Si l'édition traditionnelle continue de faire son travail à merveille, estime-t-elle, « il est probable que nous considérerons 2010 comme l'année où le livre numérique est réellement devenu une part importante de notre activité de vente ». En dévoilant les résultats de 2010, Markus Dohle, le grand patron de RH US a prévu que le livre numérique représenterait 50 % du chiffre d'affaires pour l'année 2015. Et Gail n'est pas loin d'avoir le même point de vue. Pour l'heure, les chiffres de référence du Royaume-Uni ne sont pas donnés. RH US dispose d'un catalogue de 25.000 titres commercialisés. Nuançons toutefois cet élan d'optimisme, bien qu'il repose désormais sur des bases concrètes. Sources : , , , Pour approfondir

Etudes / Synthèse / Analyses Lecture (numérique) La lecture, telle que nous l’abordons, est une industrie. Google est, par exemple, une industrie de lecture, un marché « double-sidded » : échange d’informations sur les lectures contre des informations sur les lecteurs, échange d’informations sur les lecteurs contre de la publicité. L’objectif de produire une technologie de lecture n’a pourtant jamais été sérieusement poursuivi par les industries de l’information ; ce pourquoi, à l’heure d’aujourd’hui, la technologie utilisé par les nouvelles pratiques de lecture reste une technologie par défaut (cette nouvelle industrie produit ainsi cette situation étrange d’une pratique technique sans technologie). Lecture et écriture de soi. La lecture numérique. Lecture d’information et lecture d’étude. La grande différence entre l’espace de la lecture classique et celui de la lecture numérique est l’absence presque totale du rôle direct d’une puissance publique dans l’institution du lecteur. Lecture numérique et simulation. [1]Cf.

novembre 2013 Au commencement l’espèce humaine immergée dans un univers indéfini où rien n’avait de nom se comporta spontanément comme toutes formes de vie. Instinctivement, pour déchiffrer son environnement, elle adopta un point de vue concentrique : anthropocentrique, ethnocentrique, égocentrique. Les êtres humains perçoivent naturellement le monde qui les entoure comme s’ils en étaient chacun le centre, mais aussi à leur échelle réduite et en fonction de leur équipement neurosensoriel les limitant à la perception d’une bande spectrale réduite. Plus largement, affirmons, face aux idolâtres des technologies numériques, que dans le transhumanisme la transgression doit rester au service de l’humain. Le souffle d’un changement d’ère Si la lecture est, je l’ai déjà dit souvent, l’activité première de tout organisme vivant qui doit décoder et documenter son milieu naturel pour y survivre, le livre est une invention humaine. Conservation, conversion, conversation

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