
L'assistant personnel intelligent - une nouvelle aliénation @JLAvec un peu de bon sens, vous comprendrez que cette immigration est la réponse du berger africain à la bergère occidentale. => Ce n’est pas du tout une réponse de qui que ce soit. C’est une fuite en avant vers l’Eldorado de la consommation et de la blondasse facile. Et pour alimenter cette fuite, la propagande tourne à plein régime, surtout sur le web, porno compris. Bon, les Africains immigrés ne sont pas les derniers à s’équiper, pour téléphoner au bled. C’est pour ça qu’ils constituent une excellente main d’œuvre : corvéable à merci, dépensant la totalité du fric dans le système, et avec une conscience politique complètement étouffée par la conscience tribale... cette dernière étant facilement manipulable par notre élite, elle également tribaliste. Du point de vue de ceux qui décident, l’immigration n’est ni une cause, ni une conséquence, mais un outil. Mais vous avez raison ; il faut sortir de notre paradigme : nous sommes devenus des consommateurs hystériques.
Philosophie de soin de l’Humanitude® et Méthodologie de soin Gineste-Marescotti ® - La philosophie de l’Humanitude Pour environ 10% de la population agée de plus de 65 ans, le vieillissement s’accompagne de situations de handicap et de maladies qui portent atteinte à l’autonomie. Aujourd’hui, nous savons : - qu’il est possible d’aider les "hommes vieux" en situation de handicap en veillant à respecter leur équilibre et leurs désirs ; - que toutes les difficultés et toutes les pertes auxquelles les personnes atteintes de syndrome cognitivo-mnésique sont confrontées ne les empêchent pas de ressentir du plaisir et du bien-être. Pour rester en relation avec ces personnes et partager avec elles émotions et sentiments, il faut un prendre-soin fondé sur sur toutes les caractéristiques qui permettent aux hommes de se reconnaître les uns les autres : l'Humanitude. De tout temps, il s'est trouvé des soignants qui se sont occupés des personnes avec humanité. Le mot " humanitude " a été créé par Freddy Klopfenstein (Humanitude, essai, Genève, Ed. Ainsi Jacquard définit une approche "écologique" de l'humanitude.
Une seconde vie : rencontre avec François Jullien Peut-on encore vivre heureux à l’époque de la paradoxale injonction au bonheur ? Une apologie du décalage. Peut-on encore vivre heureux à l’époque de la paradoxale injonction au bonheur ? Pour le philosophe François Jullien, qui s'attache à renouveler l'éthique européenne grâce à un long détour par la Chine, la réponse est oui. (L'entretien en version courte - la version longue est publiée sur le site de l'Union des Savoirs.) Nonfiction : A propos du titre de votre dernier livre, Une seconde vie, vous mettez en garde sur le risque de confondre une « seconde » vie avec une « deuxième » vie : pourriez-vous préciser l’objet de votre propos à partir de cette différence ? François Jullien : Entre ces deux notions à première vue équivalentes, il y a effectivement une différence de taille, car le « second » n'est pas un nombre : ce qui est second, secundus, c’est ce qui suit. Ce n'est pas pour autant une rupture. Je crois que la notion de sagesse aujourd'hui est équivoque.
Expositions virtuelles Mundaneum Avec le projet Mundaneum, Paul Otlet et Henri La Fontaine avaient pour objectifs de collecter et partager l'ensemble des connaissances du monde. A l'heure d'Internet et du web 2.0, le Mundaneum poursuit l'idéal de ses fondateurs et vous propose de découvrir ces expositions virtuelles thématiques ! Les origines de l'Internet en Europe Le centième anniversaire d'un Prix Nobel de la Paix Une figure de l'histoire du féminisme en Belgique Art ou archive ? 1914 - 1918 : La presse belge dans la tourmente Paul Otlet (1868-1944), à la genèse de la société de l'information Norbert Ghisoland (1878-1939) - Le trésor retrouvé des 45.000 plaques négatives de Norbert Ghisoland Mapping Knowledge : 1910-1944, les visualisations de Paul Otlet Visite guidée du Mundaneum Ernest Solvay, rêves d'unité d'un entrepreneur scientifique Avis du public "L'expo en ligne est très bien, j'aime beaucoup le ton ! "J'ai pris connaissance de votre exposition "Art ou Archive ?"
Mieux comprendre la problématique du suicide | Comprendre le suicide « Revenir à l'archive des nouvelles 10 septembre 2015 Pour souligner la Journée mondiale de la prévention du suicide, le chanteur Lenni-Kim (14 ans) a lancé la chanson Pourquoi tout perdre. Dans cette vidéo, disponible sur Youtube, le personnage principal vit un moment difficile. Utilisation non recommandée du vidéoclip à des fins pédagogiquesIl est important de savoir que ce vidéoclip n'a pas été réalisé à des fins pédagogiques. « Avec trois suicides par jour au Québec, de plus en plus de citoyens se sentent concernés par la prévention du suicide et se mettent en action. Profits des ventes versés à la prévention du suicideLes profits de la chanson téléchargée sur ITunes sont remis à l'Association québécoise de la prévention du suicide. Touché par le suicide d’un membre de sa famille, Lenni-Kim est heureux d'être impliqué dans ce projet et fier du résultat. Se procurer la chanson, cliquez ici. Documentation complémentaire
L’égalité des chances, cheval de Troie du néo-libéralisme – Les infiltrés Dans un article récent [1], Barbara Stiegler nous rappelle opportunément que « le nouveau libéralisme transforme nécessairement la démocratie élective en un régime autoritaire ». Autoritaire et brutal doit on encore ajouter, particulièrement au lendemain de ce 1er mai. Mais ce n’est pas là, selon elle, ce qui fait encore la nouveauté du néo-libéralisme — ce qui le distingue par exemple de l’ultra-libéralisme. Au travers de son injonction propre « il faut s’adapter » qui exige qu’il doive maintenir le cap — quoi qu’il puisse donc en coûter pour les libertés publiques — le néo-libéralisme vise à instaurer, nous dit Barbara Stiegler, les conditions d’une « compétition juste » de manière à ce que « tous puissent, avec un maximum d’égalité des chances, participer à la grande compétition pour l’accès aux ressources et aux biens ». C’est ce cap néo-libéral qui a été fortement rappelé, dans le désert de ses annonces, par le Président de la République lors de sa conférence de presse.
Et si on enseignait l’histoire avec YouTube ? [callout]L’utilisation des TIC est rapidement chronophage. Et si on y remédiait, à l’aide de Sofia Coppola (Marie-Antoinette) à Lady Gaga en passant par la série Gossip Girl : L’élite de New York, en récupérant des productions sur YouTube pour les intégrer à son enseignement de l’histoire et en prenant en compte la culture médiatique de nos élèves? Le tout en prenant soin de développer la pensée historique chez ces derniers.[/callout] Cet ExplorCamp est axé sur les aspects pédagogiques et didactiques d’une intégration de médias numériques en histoire sans omettre quelques aspects techniques (récupération de vidéos ou minis projets d’élèves publiés sur YouTube). Le numérique permet aux enseignants de disposer de ressources facilement récupérables et utilisables en classe. Relation avec le thème de Ludovia#12 A propos de l’auteur : Lyonel KaufmannDécouvrir le programme ExplorCamps Ludovia#12.
Les enfants non religieux sont plus altruistes que ceux élevés dans une famille de croyants Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Hervé Morin Certains observateurs attentifs de l’actualité des derniers millénaires l’avaient déjà noté : la religion n’est pas toujours un gage de concorde et de fraternité. Une étude publiée jeudi 5 novembre dans la revue Current Biology suggère que le mode de transmission des valeurs et des pratiques religieuses d’une génération à l’autre risque de faire perdurer cette situation. Menée dans six pays auprès de 1 170 enfants de cinq à douze ans, elle montre que l’altruisme n’est pas la chose la mieux partagée chez ceux issus de familles pratiquant une religion. Ils présenteraient aussi une prédilection pour l’application de châtiments plus sévères que les rejetons de familles se définissant comme « non religieuses ». L’enquête est financée par une bourse de la Fondation américaine John Templeton. « La sécularisation du discours moral ne va pas diminuer la bonté humaine – en fait, elle fera tout le contraire » Sont-elles pour autant moins « morales » ?
Le paradigme énactif à l’épreuve de sa pragmatique expérientielle en première personne tion visuelle » .3 Par contraste, C. Lenay prend son point de départ dans une expérimentation de «substitution sensorielle » (nommée ici «suppléance perceptive » et issue du travail inaugural de Bach y Rita), qu’il redécrit de façon neutre durant les huit premières pages de l’article avant de montrer dans un second temps comment cette expérimentation confirme la théorie enactive de la perception. Les stratégies des deux auteurs sont donc très différentes, argumentative critique pour le premier, descriptive confirmatrice pour le second. Mes interrogations se situent aux deux bords de chacune des explorations, dans un mouvement de radicalisation critique de leur position : d’une part, je voudrais réinterroger l’énaction à la lumière de son avancée ultérieure – collégiale – chez F. Varela lui-même, dans le cadre de qui a été nommé par lui et ses collaborateurs une “ pragmatics of experiencing” 4. I. 1. 3 art. cit. p. 13. 4 Cf. 5 L’usage qui est fait ici de l’avancée pragmatique de F.
untitled LES GROS CAILLOUX Cette histoire, vous la connaissez probablement car elle est un "best seller" à l'occasion des formations, souvent racontée avec enthousiasme par les formateurs. Pourtant, je vous invite à l'écouter , à la lire avec un regard neuf. En vous mettant dans la peau de ce vieux professeur. Un jour, un vieux professeur fut engagé pour faire une intervention sur la gestion du temps à l'occasion d'un colloque international réunissant les plus brillants cerveaux d'entreprises du monde entier. Le jour J est arrivé. De son cartable en cuir, il sortit un bocal ressemblant à un bocal de chimiste se terminant par un goulot puis, avec un geste lent, il y plaça à l'intérieur, un par un, des cailloux gros comme des balles de tennis. Tous répondirent sans hésitation : " Oui" et il ajouta " Vraiment ?" Alors, il replongea vers son cartable en cuir pour en extraire un sac de gravier qu'il versa dans le bocal jusqu'à ras bord. " Bien !" Et le vieux professeur de conclure : D'abord la simplicité.
Florian Forestier ⋆ Prospéro Né à Bâle (Suisse) en 1981, Florian Forestier est Docteur en philosophie. Après des classes préparatoires de mathématique, d’économie et de philosophie, il a poursuivi la philosophie en maîtrise puis en doctorat. Sa thèse, dirigée par Alexander Schnell, et soutenue en 2011, était consacrée aux fondements spéculatifs de la phénoménologie. Calorie restriction may extend lifespan by changing your sleep Janine Zdemir / EyeEm By Andy Coghlan Severely cutting the calories you eat may expand your lifespan, and now we have an idea of why. A study in which people ate 15 per cent fewer calories than usual has found that eating a lot less has big effects on what happens to the body during sleep. Many studies have found that calorie restriction extends the lifespan of animals such as worms, flies, mice and even monkeys. To investigate this further, Leanne Redman of Pennington Biomedical Research Center in Louisiana and her colleagues randomly assigned normal or calorie restricted diets to 53 adults. Advertisement The calorie-restricted regime seemed to cause some interesting effects. Analysing blood samples revealed that these people also experienced a 20 per cent drop in cellular oxidative stress – damage to cells caused by the byproducts of metabolism. Redman thinks that a low-calorie diet may push the body to have a lower resting metabolic rate. More on these topics:
Méthode des six chapeaux La méthode des six chapeaux, extraite de l'ouvrage Six chapeaux pour penser[1],[2], est une méthode de structuration de la pensée personnelle ou de groupe, développée par Edward de Bono, permettant de résoudre les problèmes en favorisant la pensée critique et en évitant la censure précoce des idées nouvelles, dérangeantes ou inhabituelles[3]. Selon Karadag et al., cette méthode permet de développer la pensée créative en présentant et en systématisant des pensées et des suggestions dans un format spécifiquement défini[4]. Pour cela, les participants sont invités à aborder la question en prenant ensemble tour à tour différents « chapeaux » d'une couleur particulière. L'enjeu est de mobiliser un processus de « pensée parallèle » simple et efficace qui aide les gens à sortir des limites de l'étroitesse d'esprit, de la pensée unidirectionnelle et des positions fixes (De Bono, 1985[1]). La méthode[modifier | modifier le code] Les différents chapeaux[1][modifier | modifier le code]