La Suède passe à la journée de travail de 6 heures ! Un vrai succès pour les salariés et les patrons

De plus en plus d'entreprises suédoises sont en train d'adopter la journée de travail de 6 heures, au lieu des 8 conventionnelles. Le but ? Rendre les salariés plus efficaces sur un temps plus court et leur permettre de mieux profiter de leur famille Maison de retraites, hôpitaux, constructeurs automobiles...ils sont de plus en plus nombreux les patrons suédois à sauter le pas et à raccourcir allégrement la journée de travail-type de leurs employés. Ainsi, l'entreprise Toyota de Göteborg -la deuxième plus grande ville du pays- qui a fait la bascule il y a plus de 13 ans a constaté un turn-over réduit dans ses équipes, un personnel plus heureux et une meilleure rentabilité ! Même constat chez Filimundus, une start-up basée dans la capitale qui a introduit la journée de six heures l'année dernière, tout comme chez Fast Company qui se réjouit de ce changement. Lire aussi: Chez Daimler France, c'est 39 heures payées 37, mais où va-t-on s'arrêter ?
Automating big-data analysis
Big-data analysis consists of searching for buried patterns that have some kind of predictive power. But choosing which “features” of the data to analyze usually requires some human intuition. In a database containing, say, the beginning and end dates of various sales promotions and weekly profits, the crucial data may not be the dates themselves but the spans between them, or not the total profits but the averages across those spans. MIT researchers aim to take the human element out of big-data analysis, with a new system that not only searches for patterns but designs the feature set, too. To test the first prototype of their system, they enrolled it in three data science competitions, in which it competed against human teams to find predictive patterns in unfamiliar data sets. Of the 906 teams participating in the three competitions, the researchers’ “Data Science Machine” finished ahead of 615. Between the lines Featured composition
LOI PROCEDURE - STAGE - FORMATION ENTREPRISE
Qu'a voulu dire Nicolas Sarkozy avec cette phrase lors d'un meeting? Les internautes proposent leur interprétation...
POLITIQUE - On doit cette séquence au "Petit Journal" de Canal+. Le programme est revenu jeudi 15 octobre sur le meeting tenu la veille à Limoges par Nicolas Sarkozy pour soutenir Virgine Calmels en compagnie d'Alain Juppé. Au cours de cette réunion, le président du parti Les Républicains a prononcé cette phrase pour le moins incompréhensible: "Je voudrais leur dire qu'on a reçu le coup de pied au derrière mais que c'est pas parce que vous voulez renverser la table que vous descendez de la voiture dont vous vous abstenez de choisir le chauffeur." Qu'a voulu dire l'ancien président de la République avec cette citation?
Le blog de Jean-François Fiorina » Blog Archive » « Des élites fondamentalement féodales et de surcroît incompétentes »
François Garçon. DR Entretien sans concession avec François Garçon sur les élites hexagonales. Spécialiste de la Suisse et de la formation des élites, François Garçon ne mâche pas ses mots sur le mode de fonctionnement endogène des élites françaises. « Motivées par la rente et la toute puissance que leur procurent leur diplôme », cette exception française expliquerait nos blocages à l’aune des comparaisons internationales que propose le chercheur, auteur et enseignant-chercheur à l’université Paris I. Jean-François Fiorina (FF) : il y a chez vous deux sujets qui m’intéressent, qui sont la Suisse et les élites. François Garçon (FG) : à 50 ans, après avoir participé au lancement de Canal+, travaillé à TF1 et créé plusieurs sociétés, je me suis retrouvé au chômage. Le mal est endémique. Le caractère féodal des dites élites françaises se lit encore dans les hiérarchies entre les écoles. JFF : qu’est ce qui peut expliquer cet archaïsme ? FG : le principal ressort se nomme la rente.
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