
Travailler chez Google : 11 faits et chiffres étonnants Google est devenu l’employeur de référence dans le monde. La firme de Mountain view soigne ses employés et se soucie de leur bien-être en leur offrant de nombreux avantages. Ses méthodes de management inspirent beaucoup de start-up et d’entreprises. Une révolution du management : le modèle Google - Les bonnes feuilles Les psychologues qui s'intéressent au comportement des salariés distinguent les motivations externes ou extrinsèques (on fait des efforts pour obtenir une meilleure rémunération, une récompense ) et les motivations internes ou intrinsèques (c'est la satisfaction d'avoir accompli correctement sa tâche, d'avoir réussi un exploit particulier qui amène à faire des efforts ). Google ne néglige pas plus que d'autres les motivations externes, il n'hésite pas à verser des salaires élevés comme en témoignent les voitures de luxe qui encombrent son parking, mais il fait une large confiance à la motivation intrinsèque. Ce faisant, il suit des exemples célèbres, dont celui de Bill Gates qui disait au début de sa carrière : "Aucun grand programmeur ne peut s'asseoir à sa table et se dire : "Je vais me faire du fric" ou "Je vais en vendre des centaines de milliers". Tout simplement parce que ce genre de réflexion ne vous aide pas à résoudre les problèmes."
Travailler chez Google, ce n'est pas que du bonheur Une cantine gratuite, des salaires alléchants (88.000 euros par an en moyenne pour un ingénieur), des fauteuils massants ou encore 20% de temps libre pour développer ses projets personnels… A priori, Google paraît l'endroit rêvé pour tout salarié. Ce n'est d'ailleurs pas par hasard que le groupe américain figure régulièrement parmi les premières places des palmarès consacrant les employeurs préférés des jeunes diplômés. Si travailler chez le géant de la Silicon Valley est une expérience très enrichissante, cela peut bizarrement avoir de mauvais côtés. C'est en tout cas le point de vue de certains anciens employés de la firme de Mountain View, qui échangent leurs critiques sur un fil de discussion du site de questions-réponses Quora, repéré par Business Insider.
doc n° 2 Google bien -être des salariés Certaines entreprises l’ont compris depuis longtemps : prendre soin de ses employés, c’est payant. Google une entreprise attentive au bonheur de ses salariés et à leur créativité ! Rien de mieux pour augmenter la productivité d’une entreprise, réduire l’absentéisme et les accidents de travail. Un travailleur est motivé et productif… lorsqu’il est heureux. Beaucoup de salariés font le même constat : « Nous ne sommes pas souvent félicités lorsque nous faisons du bon travail, mais nous sommes immédiatement réprimandés lorsque nous faisons des erreurs ». Le besoin de reconnaissance est l’un des facteurs déterminants du mieux-vivre en entreprise. La motivation au travail La motivation au travail « fait référence aux énergies investies pour initier et réguler les comportements liés à un emploi et qui déterminent la forme, la direction, l’intensité et la durée de ces dits comportements » selon Jacques Forest et Geneviève A. Mageau, chercheurs en psychologie à l’université du Québec à Montréal (2008). En effet, la motivation au travail varie en forme et en intensité, ce qui la rend multidimensionnelle. Les différentes formes de la motivation La théorie de l’autodétermination (TAD) contribue à comprendre plus finement la motivation au travail à travers deux grands types de motivation : la motivation autonome et la motivation contrôlée.
Engagement : quel est l'état « motivationnel » de vos collaborateurs ? Zwi Segal et Yves Duron sont psychologues du travail. Dans leur dernier ouvrage, « La motivation, une compétence qui se développe »*, ils tirent la sonnette d’alarme. En effet, d’après eux, la capacité à gérer son « état motivationnel » est une compétence insuffisamment développée en entreprise. Google : pourquoi les salariés aiment y travailler Google, l’une des entreprises les plus puissantes du monde. Et aussi l’une des plus attractives ! Nombreuses sont les personnes qui rêvent d’y travailler. doc n°1 Google Après Larry Page et Eric Schmidt, son DG est, depuis 2015, Pichai Sundararajan[8]. Google est devenu l'une des premières entreprises américaines et mondiales par sa valorisation boursière, quelques années après une entrée en bourse originale. Début 2008, elle valait 176 milliards de dollars à Wall Street[9]. Le 1er février 2016, sa capitalisation boursière dépasse celle d'Apple et devient la première des États-Unis, avec un total de 550 milliards de dollars dispersés dans ses différentes catégories d'actions[10]. En 2014, le classement Best Global Brands d'Interbrand positionne la marque Google en seconde position mondiale, derrière la marque Apple, avec une estimation de sa valeur à 107,43 milliards de dollars (+15 % par rapport à 2013), dépassant la barre des cent milliards de dollars pour la première fois depuis la création de ce classement en 1974[11].
Télétravail : Interview de Thierry Rieutord, DRH de TCS - IndiceRH En 2013, suite au déménagement d’une de ses filiales, Thalès Communications & Security (TCS), filiale du groupe Thalès avait négocié avec les représentants du personnel un accord de télétravail . Lors de son lancement, le dispositif de télétravail mis en place de manière progressive avait reçu un accueil mitigé par les salariés. En effet, seul 4% des salariés avaient opté pour ce mode de travail. Par ailleurs, dans 1 cas sur 4, les demandes de télétravail des salariés étaient refusées.
Bien-être au travail : comment concevoir une politique de services aux salariés ? Bien-être au travail et performance économique sont étroitement liés, comme le confirme une enquête récente menée par l’IESEG School of Management et Cegos : plus les salariés se sentent bien dans leur entreprise, plus ils sont motivés. Ainsi, 86 % de ceux qui obtiennent les scores les plus élevés en termes de qualité de vie dans le cadre professionnel s’estiment engagés. « Ce n’est donc pas seulement un impératif moral pour des managers que de prendre soin de leurs salariés. Il s’agit aussi d’un investissement stratégique que l’on retrouve ensuite dans la performance globale de l’entreprise », analyse Thierry Nadisic, directeur de l’executive MBA de l’IESEG. Renforcer l’engagement des collaborateurs Partir des besoins plutôt que de s’inspirer des modes
Les conditions de travail au sein de Google ! - Il faut tout d’abord maîtriser au minimum 3 langues couramment. Les 400 employés cadres chargés du recrutement n’opèrent en tout qu’une dizaine d’entretiens d’embauche, une vingtaine s’il s’agit d’un poste plus important Suite aux 3500 CV reçus quotidiennement par l’entreprise en 2006, Google a décidé de créer et de développer un logiciel entièrement consacré à la gestion des CV ! On compte aujourd’hui 54 604 employés chez Google et 3 des 10 directeurs du conseil d’administration font partie de l’entreprise (Sergey Brin, Eric Schmidt et Larry Page). Depuis que Google a rejoint le monde de la bourse, 1200 de ses employés sont devenus millionnaires. 500 d’entre eux ont plusieurs dizaines de millions et 80 d’entre eux ont quelques centaines de millions de dollars par an ! Ca donne envie, non ? Sachant qu’ un programmeur travaillant pour Google gagne la modique somme de 85 000 dollars par an, soit environ 7 083 dollars par mois.
Doc°8 Google est l’entreprise du Web la plus performante de ces dernières années. Son modèle économique, basé sur quatre leviers de valeur - la vidéo en ligne, l’internet mobile, les revenus non publicitaires et la publicité à la performance -, devrait d’ailleurs lui permettre de résister à la crise économique en 2008 et 2009. faberNovel, société dédiée à l’innovation, s'est attachée à comprendre, dans un livre blanc, les raisons de la réussite industrielle et commerciale du moteur de recherche, dont certains aspects peu connus du grand public (voir en détail la présentation de ce livre blanc au bas de l'article). Les voici : Google achète des infrastructures Depuis 2005, Google multiplie les investissements dans les infrastructures de tout type : satellites, Wi-Fi, Wimax, backbone...
Les Français restent exigeants sur l’équilibre entre vie pro et vie perso - Courrier cadres Selon la 8ème édition du baromètre sur la conciliation entre vies professionnelle, personnelle et familiale, l’équilibre entre les deux sphères reste une priorité pour les salariés. En la matière, ils attendent beaucoup de leurs employeurs. L’Observatoire de l’équilibre des temps et de la parentalité en entreprise a publié les résultats de son 8ème baromètre sur la conciliation entre vies professionnelle, personnelle et familiale. Profiter de la vie Il en ressort que cet équilibre reste une préoccupation centrale pour les Français. 93 % d’entre eux trouvent que le sujet est important, un score stable depuis 2015. 68 % disent manquer de temps. Des moments dont ils se serviraient pour profiter de leur famille (41 %), consacrer plus de temps à leurs loisirs et à leurs amis (36 %) et à faire du sport (14 %).
Les dangers du manque de savoir-vivre au travail Quel est le coût de l’incivilité? Dans un article intitulé «No time to be nice at work», Christine Porath, professeure associée à la McDonough School of Business de l’Université de Georgetown, s’interroge sur ce mal endémique qui ne cesse de croître. «En 1998, 25% des employés sondés dans le cadre d’une étude s’estimaient victimes d’incivilités de la part d’un supérieur hiérarchique, explique-t-elle.