
10 conseils pour réduire sa facture de chauffage / Consoglobe En hiver, la facture du chauffage grimpe dangereusement. Il faut dire que lorsque le froid s’installe, les Français ont tendance à pousser les radiateurs… D’après un bilan du site Quelleenergie.fr, les ménages français avaient dépensé en moyenne 1.590 euros sur l’année 2015 pour couvrir leurs besoins en énergie, une facture conséquente mais en baisse comparée à l’année 2014 (-6,7 %). Voici donc quelques conseils pour optimiser la température de votre intérieur et alléger la facture. L’une des raisons pour laquelle la facture de chauffage des Français explose en hiver est qu’en règle générale, on ne se prépare pas assez à cette période. Conseil n°1 : je vérifie mes fenêtres et portes Quoi de plus désagréable qu’un petit courant d’air froid qui vient nous faire frissonner quand on est tranquillement assis dans son canapé ? Pour pallier les petites déperditions de chaleur, équipez-vous d’un joint isolant adhésif pour rendre vos fenêtres et portes plus étanches.
Économie d’énergie - Ooreka Trames vertes urbaines - Librairie Actu-Environnement Les trames vertes sont des aménagements du territoire visant à reconstituer un réseau écologique cohérent, pourvu de réservoirs de biodiversité. Elles reposent sur la protection des habitats naturels et permettent aux espèces animales et végétales de circuler, de s’alimenter et de se reproduire. Elles ont aussi un rôle majeur dans le fonctionnement urbain et sa durabilité. Richement illustré, ce guide propose une méthodologie de mise en œuvre des trames vertes en milieu urbain. Sont ensuite analysés les enjeux écologiques et socio-économiques de la structuration des espaces existants, qui tiennent compte de l’implication des différents acteurs au niveau global (échelle de la ville), paysager (échelle du secteur, du quartier) et local (échelle du jardin et de l’îlot). Sommaire • Les bases du discours, les bases de l’action • Pourquoi des trames vertes dans la ville ? Auteur(s) Philippe Clergeau est professeur d’écologie au Muséum national d’histoire naturelle (MNHN).
Manger local et de saison Manger local et de saison, c’est reprendre contact avec celles et ceux qui nous nourrissent, retrouver la fraîcheur des aliments et les saveurs du terroir. C’est aussi encourager la production alimentaire près de chez soi et, par la même occasion, l’autonomie alimentaire et un partage plus juste des ressources nourricières avec le reste du monde.Manger local et de saison ? C’est du bon sens au fond, pour un retour au sens et au plaisir… de tous les sens.Merci à Benjamin Chiquet et à Daniel Vuillon pour leurs précieux éclaircissements et témoignages. Pourquoi ? Aujourd’hui, 30 % des terres arables de la planète ont été stérilisés depuis les années 70 ; 30 % sont dévolus à la culture céréalière destinée à l’élevage et une grande partie pourrait être reconvertie pour produire des agrocarburants. Comment ? En achetant auprès des producteurs locaux (vente à la ferme, marchés, paniers) afin de contribuer à faire émerger une autre logique de production et de distribution. Quelques livres
Guide des éco-gestes / Vedura, société d'information et de sensiblisation au développement durable Un éco-geste est une action de la vie de tous les jours (aller au travail, faire la cuisine, se laver, jardiner, faire ses courses...) qui va prendre en considération les valeurs du développement durable : la protection de l'environnement, l'équité sociale, la solidarité, le principe de responsabilité et de précaution. Chacun peut accomplir des éco-gestes très facilement dans sa vie quotidienne. Adopter un comportement éco-citoyen, c'est simple : il s'agit surtout de prendre conscience des conséquences sociales ou environnementales de chacune de nos actions et de changer ses mauvaises habitudes. Éteindre les lumières, économiser l'eau, utiliser des transports propres, trier ses déchets, consommer de façon responsable... Les actions sont multiples, et Vedura vous propose tous les jours de nouvelles idées et de nouvelles attitudes pour préserver la planète, les hommes et femmes qui y vivent aujourd'hui, et ne pas compromettre la qualité de vie des générations à venir. Eco-gestes à découvrir
Cosmétiques bio : ce qu'on en pense vraiment / Magazine Elle En 2005, on avait le choix entre une cinquantaine de marques bio, toutes plus ou moins identiques, toutes regroupées au sein de magasins spécialisés. Aujourd’hui, ce sont plus de 450 marques et 9 000 produits labellisés* qui squattent les linéaires des pharmacies, des parfumeries, des concept stores et des sites de vente en ligne. Le bio s’est développé, il s’est diversifié, il a grandi. D’ailleurs, il n’existe plus un bio, mais des bios. Un marché porteur ? L’accélération a lieu en 2005. Des produits moins efficaces ? C’est l’une des casseroles du bio. Le plaisir en plus ? Toutes les marques qui ont planché sur la sensorialité des soins et des produits de maquillage le confirment : formuler du bio, c’est un métier à part, qui réclame une expertise. Une tendance de la cosméto traditionnelle ? Et l’éthique dans tout ça ? La certification bio ne garantit pas l’aspect développement durable. Peut mieux faire Le bio ne sait pas tout bien faire.
Le « développement durable » appelle-t-il davantage de démocratie ? Quand le « développement durable » rencontre la « gouvernance »… 1 Puisqu’il s’agirait de viser « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettr (...) 1Telle qu’elle est le plus souvent conçue, la problématique du « développement durable » renvoie à un large ensemble de changements profonds à réaliser dans toutes les sphères de la société1. Pour cette raison, elle s’inscrit logiquement dans une tonalité de mobilisation générale. 2 Dans l'espace de discussion institutionnel, cette conceptualisation est plutôt abordée de manière (...) 2Le cadre argumentatif utilisé est révélateur des questions qui sont rentrées dans les discussions. 3Dans ce schéma argumentatif devenu presque consensuel (au moins à un niveau superficiel), la thématique du « développement durable » se trouve plus précisément liée à l'objectif d'une gouvernance renouvelée. 5 L’expression renvoie au cadre d’analyse de Nikolas Rose et Peter Miller. 6Une clarification méthodologique apparaît nécessaire pour répondre à ces questions. Une logique d’enrôlement généralisé
Des produits locaux et de saison à privilégier Manger local c’est moins de transport pour acheminer vos aliments et donc moins de pollution ! Tant en termes d’émission de CO2 que de polluants ou de conservateurs. Les préoccupations environnementales (sanitaires et éthiques) se traduisent par une sensibilité croissante de près de la moitié des consommateurs français vis-à-vis de l’origine des aliments et des dommages causés par leurs transports. Manger durable et local Les produits locaux sont des produits de saison (sauf exception de la culture sous serre) qui permettent de renouer avec le rythme des saisons (le pot au feu, le gratin dauphinois et les pommes se savourent en hiver, quand la ratatouille, la salade de concombre, les fraises et les pêches, se dégustent plutôt au printemps et en été). Aujourd’hui un nouveau rapport à l’alimentation redonne aux « consomm’acteurs » le pouvoir sur leurs assiettes ! Manger des produits locaux pour l’économie locale Manger local pour préserver l’environnement
Mobilité La sélection shopping Roue de vélo électrique et connectée - La SMART Roulez smart avec le nouveau modèle de roue électrique connectée version 2016 qui communique en bluetooth avec votre smartphone. Roue de vélo électrique - L'ORIGINALE Bénéficiez de toute la puissance d'un moteur brushless 250W pour gravir sans difficulté toutes les côtes, avec le modèle de roue de vélo électrique l'ORIGINALE de Rool'in. Casque de vélo à LED intégrées TORCH Equipez-vous d'un casque développé spécifiquement pour les cyclistes qui souhaitent conjuguer design et sécurité. Console LCD Communiquez avec votre roue électrique, lecture directe de la vitesse, du nombre de kilomètres parcourus, du niveau de charge des batteries et choisissez votre niveau d'assistance électrique, grâce à la console LCD.