
Les 5 bonnes pratiques de la collaboration Réseau social d’entreprise, agenda partagé, chat, partage de fichiers, visioconférence... Les outils collaboratifs deviennent indispensables en entreprise. Ils permettent d’améliorer le travail d’équipe, augmenter les performances et doper l’innovation. Le point sur quelques bonnes pratiques. 1. Fournir un outil ergonomique Le but d’un outil collaboratif est de connecter ensemble les salariés de l’entreprise, pour leur permettre de réaliser leurs tâches quotidiennes plus facilement, de partager leurs compétences, et d’améliorer le travail d’équipe. 2. Mettre en place une solution collaborative dans une entreprise où la hiérarchie reste trop prononcée serait totalement contre-productif. 3. Installer un nouvel outil collaboratif n’est pas une simple affaire. 4. 5.
Le travail collaboratif, nouveau Graal des entreprises Il y a chauffeur routier et chauffeur routier. Chez GT Location, une entreprise de 1.500 collaborateurs spécialisée dans la location de véhicules industriels avec conducteurs, ces derniers ne sont pas considérés comme de simples exécutants chargés de conduire les marchandises à bon port. Au contraire : eux, qui sont en contact direct avec le client et connaissent le terrain, ont leur mot à dire sur leur travail et la marche de l'entreprise. Depuis février 2013, ils peuvent se connecter à SeeMy, le réseau social interne, pour échanger entre eux et avec leurs responsables. Concrètement, « tous les conducteurs peuvent se connecter au réseau social via leur smartphone ou leur ordinateur personnel pour faire part de conseils aux plus jeunes, débattre de la stratégie métier, du camion le mieux adapté pour tel type de marchandise, organiser leurs congés ou même se plaindre des notes de frais », explique Patrice Bonte, directeur de l'école de management du groupe. Pourquoi cet élan ?
Comment favoriser le travail en équipe dans l'entreprise Quand tout va bien, assister ses collègues est un geste naturel. Mais dès que l'activité baisse et que l'ambiance se détériore, les gens se replient sur eux. Exit les coups de pouce, les renvois d'ascenseur, c'est chacun pour soi. 1. Les non-aidants tracent leur route. 1/ Parlez à tous en réunion pour délivrer un message fort : "Les résultats ne sont pas merveilleux, voilà le plan d'action que j'ai élaboré, j'aimerais que tout le monde s'entraide, c'est vital pour le service". 2/ Voyez en face à face les forte têtes : "Paul, j'ai besoin que tu passes un coup de main à Loïc, parce que tu as une vraie expérience du sujet avec un bel esprit de synthèse". 3/ Faire comprendre à chacun que rien ne sert de "jouer perso" : dès que le collectif s'en sort bien l'individu s'en tire bien aussi alors que l'inverse n'est pas vrai. 2. De votre côté, choisissez la transparence. 3. Un collaborateur patine ? 4. 5. Il faut ensuite pérenniser ces nouvelles pratiques en valorisant l'effort effectué.
La technologie aide à la prise de décision en groupe Loomio facilite la prise de décision des groupes grâce à une collaboration plus juste. L'application Web open source considère qu'un bon processus de prise de décision en group peut améliorer la vie en entreprise, comme la société. La décision de groupe a souvent pris la forme d'une décision hiérarchique top-down ou d'une inclusion bottom-up. Avec la méthode top-down, les décisions peuvent être mises en œuvre directement grâce à la chaîne de commande mais au risque de passer à côté de bonnes idées. Des décisions focalisées sur le sujet, prises au vote sur les propositions L'application Web de Loomio est aujourd'hui en phase de test alpha, mais elle sera lancée gratuitement et en open source. Améliorer la prise de décision pour une société plus saine ? L'équipe de Loomio considère leur produit critique non seulement pour les ménages et les entreprises mais également à un niveau bien plus élevé : « Aujourd'hui, le monde souffre des mauvaises décisions prises par des groupes de personnes.
Surcharge de travail : le tabou commence à tomber, Efficacité - Productivité personnelle La décision est rare. Il y a quelques jours, le groupe bancaire BPCE a été condamné pour avoir enfreint la loi sur le temps de repos minimal quotidien et sur le travail de nuit. Alertée par les organisations syndicales, l’inspection du travail avait constaté, en 2014, les horaires à rallonge et l’état de surmenage des équipes. Paradoxe, alors que les services RH parlent à tout-va d’équilibre entre les vies privée et professionnelle, la problématique de la surcharge de travail, conséquence directe de l’érosion des effectifs, n’a jamais été aussi ardente. Longtemps tabou, le sujet s’invite au menu des comités d’entreprise et alimente les contentieux d’ordre social, individuel ou collectif. « La première difficulté, c’est que la loi ne livre aucune définition de la notion de surcharge. Des entreprises en alerte Pour l’heure, les entreprises tâtonnent et testent des dispositifs susceptibles d’imposer le repos aux guerriers et d’exonérer leur responsabilité.
Le management de l'animation en intelligence collective Il y a quelques années la recette de l’intelligence collective était la suivante : mettez ensemble dans une pièces un groupe de personnes donnez-leur une problématique à résoudre et attendez que la formule magique du 1+1=3 fasse des miracles. Il y a eu des miracles, mais ils furent peu nombreux face au nombre des échecs. Quelle était la source du problème ? Elle provient de la nature des ingrédients et dans ce cas de l’humain, de ses compétences, de ses croyances et le contexte disruptif de ce début de 21ème siècle. Les bons rôles aux bonnes personnes Avez-vous déjà participé à un projet basé sur l’intelligence collective ? Qu’est-ce que la réussite ? Les ingrédients qui font passer du “Non” au “Co” Le premier est le sens. Une solution simple pour pouvoir être dans une dynamique de réussite est de connaître vos équipiers si vous avez déjà une équipe constituée. La situation est plus délicate pour un groupe non-constitué au départ. Tout était trop beau : vint la disruption Référence :
Travailler de manière collaborative, oui ! Mais comment s’organiser Plusieurs des présentations et tables rondes auxquelles j’ai assisté lors du Ouishare Fest s’intéressaient au travail et à comment la collaboration le transforme en profondeur. Les modes collaboratifs peuvent-ils fonctionner dans des entreprises qui demeurent hiérarchiques, pyramidales ? Et si ce n’est pas cas, comment mieux distribuer la gouvernance, l’organiser ? Réinventer nos modes d’organisation avec les outils du XXIe siècle Nous travaillons avec et appartenons à de plus en plus de réseaux, d’organisations, de communautés… Si les réseaux et organisations en réseaux ont toujours existé, comment se reconfigurent-ils à l’heure de la société connectée ? Force est de constater que les innovateurs dans ce domaine n’en sont pas encore à dresser des typologies des formes d’organisations libérées ou autogérées. Maro Horta est venue présenter FairCoop, une coopérative organisée via internet qui vise à réduire les inégalités. Même son de cloche chez FairCoop. Des entreprises sans patrons ?
L'informatique modifie-t-elle notre manière de penser ? Tous les mois dans Le Figaro, des membres de l'Académie des sciences répondent aux grandes questions de l'actualité scientifique. Par Gérard Berry, informaticien, membre de l'Académie des Sciences. Un premier constat s'impose: la différence de perception entre les générations. Les plus anciens ont vu arriver le numérique sur le tard, souvent avec méfiance. Mais, pour les plus jeunes, l'informatique n'est qu'une partie de la réalité préexistante, au même titre que la mer, la montagne ou le vélo. La révolution numérique de la fin du XXe siècle a profondément modifié la relation entre une information et l'objet physique qui lui sert de support. La numérisation induit ainsi des inversions mentales, autrement dit des retournements de perception quant à des actions élémentaires de la vie courante. Contrainte d'espace abolie On retrouve les mêmes inversions avec le téléphone ou la géolocalisation. Globalisation de la mémoire » «Le droit à l'oubli» remis en cause