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Ziggurat

Ziggurat
Une ziggurat (ou ziggourat) est un édifice religieux mésopotamien à degrés présent aussi en Élam, constitué de plusieurs terrasses supportant probablement un temple construit à son sommet. Le terme vient de l'akkadien ziqqurratu(m) (féminin, parfois abrégé en ziqratu, en Assyrie siqurratu ou sequrattu, en idéogrammes sumériens U6.NIR[1]), dérivé du verbe zaqāru, « élever », « construire en hauteur »[2]. On peut donc le traduire par « la très haute »[3]. Il s'agit du monument le plus spectaculaire de la civilisation mésopotamienne, dont le souvenir a survécu bien après sa disparition grâce au récit biblique de la tour de Babel, inspiré par la ziggurat de Babylone. Depuis la mise au jour des grandes capitales mésopotamiennes, plusieurs de ces bâtiments ont pu être analysés, même s'il n'en reste plus d'intacts, beaucoup étant très délabrés et se présentant sous l'aspect de collines, tandis que d'autres ont complètement disparu. La fin des ziggurats[modifier | modifier le code] A. Related:  Occultisme / Ésotérisme / Religion

Antéchrist L’Antéchrist (« avant le Christ ») ou Antichrist (« contre le Christ ») est une figure commune à l'eschatologie chrétienne et islamique[1], mais dans un sens différent. Elle apparaît dans les épîtres de Jean et dans la deuxième épître aux Thessaloniciens de Paul de Tarse sous des formes variables mais puise ses origines dans la notion d'« anti-messie » déjà présente dans le judaïsme[2]. Le terme désigne parfois un individu — souvent monstrueux —, parfois un groupe ou un personnage collectif. Cette figure d'imposteur maléfique qui tente de se substituer à Jésus-Christ a nourri de nombreuses spéculations et interprétations dès les premiers développements du christianisme à travers la littérature patristique, qui se sont enrichies encore au fil des siècles, situant l'intervention de l'Antéchrist lors des dernières épreuves précédant la fin du monde[3]. Étymologie et définition[modifier | modifier le code] Les manuscrits de la mer Morte et la notion d'Antéchrist[modifier | modifier le code]

Des tablettes gravées vieilles de 14 000 ans découvertes dans le Finistère Exhumées près de Plougastel-Daoulas, ces gravures apportent un témoignage inédit sur la culture des chasseurs-cueilleurs de la période dite « azilienne ». LE MONDE | • Mis à jour le | Par Hervé Morin « Cette iconographie était-elle liée à la chasse, peut-être pour assurer son succès ? Etait-elle strictement symbolique, ou un simple passe temps ? Les deux principales pièces gravées, décrites dans la revue PLOS One du 3 mars, jettent une lumière nouvelle sur cette période de la préhistoire de la fin du paléolithique, avant que les chasseurs-cueilleurs ne cèdent la place aux éleveurs agriculteurs du néolithique. « Un corpus graphique exceptionnel » Le responsable de la fouille Nicolas Naudinot (université de Nice-Sophia-Antipolis, CNRS) et ses collègues ont étudié le site chaque été depuis 2013, discrètement, « par peur des pillages », certains chasseurs de vestiges n’hésitant pas à dérober des blocs de sol qu’ils tamisaient à même la forêt.

Mahdi Le Mahdi ou Muhammad al-Mahdi (arabe : al-mahdi, المهدي, muhammad al-mahdi : محمد المهدي, " le guidé (par Dieu)") est un rédempteur eschatologique attendu de l'ensemble des confessions musulmanes, à l'exception des coranistes, et identifié au dernier imam dans le chiisme duodécimain. Le nom du calife al-Mahdi est Muhammad ibn 'Abd-Allah. Généalogie[modifier | modifier le code] Son nom est Muhammad ; selon un des hadiths : « Le Mahdi portera le même nom que moi ». Selon un hadith de ("Mahomet") rapporté par Al-Tirmidhî : « S’il ne restait qu’un jour avant la fin de ce monde, Allah allongerait ce jour jusqu’à ce qu’une personne de ma famille, dont le nom sera le même que le mien, gouverne le monde. »[1] Pour les chiites duodécimains la généalogie des imams est la suivante : Chiisme duodécimain[modifier | modifier le code] Le chiisme duodécimain tient son nom de sa foi en le retour du 12e imam et son règne à vocation eschatologique. Ismaëlisme[modifier | modifier le code]

Des géologues racontent comment la Grand-Bretagne s'est séparé du continent, 500 000 ans avant le Brexit Ce "Brexit" là s'est fait naturellement et sans consultation des populations locales. Selon une étude publiée mardi 4 avril dans la revue Nature Communications, une gigantesque chute d'eau large de dizaines de kilomètres a rompu une crête rocheuse qui reliait l'Angleterre au continent européen il y a près de 500 000 ans, déclenchant une inondation catastrophique qui a creusé la Manche et créé l'île de la Grande-Bretagne. Une équipe internationale de géologues s'est penchée sur ce phénomène étudié depuis de nombreuses années. Il y a 450 000 ans, une grande partie de l'hémisphère nord était couverte par une dalle glacée épaisse et le niveau de la mer était nettement plus bas qu'aujourd'hui. Les scientifiques suggèrent qu'un énorme lac, alimenté par des rivières continentales, s'était créé dans le sud de l'actuelle Mer du Nord, entre le bord de la calotte glaciaire et cet escarpement rocheux.

Célestin V Saint Célestin V (Pietro Angeleri, également connu sous le nom de Pietro de Morrone), né en 1209 ou au début de 1210 dans le Molise en Italie et mort le 19 mai 1296 à Fumone, était un moine-ermite italien appartenant à l'ordre des bénédictins. Il en fonda une nouvelle branche, qui prit par la suite le nom de célestins. Élu pape le 5 juillet 1294 à l'âge de 85 ans, il devient le 192e pape de l'Église catholique sous le nom de Célestin V, avant de renoncer à sa charge le 13 décembre de la même année. Il fut canonisé le 5 mai 1313. Biographie[modifier | modifier le code] Moine bénédictin[modifier | modifier le code] Né d'Angelerius et Maria, paysans, Pietro est l'avant-dernier d'une famille de douze enfants[1]. Bien que la congrégation se rattache à la règle bénédictine, elle est profondément influencée par les franciscains[2], et en particulier le mouvement des Spirituels, disciples de Joachim de Flore, comme le montrent les nombreuses dédicaces de monastères au Saint-Esprit[3].

À Elne, les archéologues découvrent une cathédrale... sous la cathédrale Le pôle départemental archéologique vient de mettre au jour les fondations de la première cathédrale d'Elne (Pyrénées-Orientales). L'édifice aurait été construit entre le VIe et le IXe siècle. Une découverte fondamentale pour les chercheurs. Ouvert voilà deux ans, le chantier archéologique estival de la cathédrale d'Elne vient de dévoiler un secret bien enfoui. Du haut du cloître, on distingue nettement les restes des fondations d'un édifice bien plus ancien, juste au bord du promontoire. "On se doutait qu'on avait affaire à une très grande église, mais depuis quinze jours on a acquis la conviction qu'il s'agit de la première cathédrale, la primitive, celle qui est antérieure à l'actuelle", sourit Olivier Passarius, le responsable du pôle départemental archéologique. La découverte est majeure : les archéologues cherchaient des traces de cette première cathédrale depuis près d'un siècle. "Ils l'ont construit trop près de la pente, explique Olivier Passarius.

Mirabilis liber Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il parut pour la première fois en 1522 sous son nom latin qui signifie « Livre Merveilleux » ou encore « Livre des Prodiges ». En 1561, le recueil parait en français sous le titre " La premiere partie du recueil des propheties et revelations, tant anciennes que modernes : Laquelle contient un sommaire des revelations de saincte Brigide, saint Cirille, & plusieurs autres saincts & religieux personnages : nouvellement reveüe & corrigée oultre les precedentes impresisons" Publication : A Paris, pour Vincent Sertenas, en la rue neuve Nostre Dame, à l'image S. Jean l'Evangeliste, & en sa boutique au Palais, en la gallerie par ou on va à la Cnacellerie. 1561. . Composition[modifier | modifier le code] Il est composé de deux parties. Le Mirabilis Liber ne comporte aucune vignette prophétique à la différence de ses sources qui en sont truffées, comme chez Lichtenberger[4], probablement pour éviter que l'ouvrage ne puisse toucher le peuple. prédiction

Gobekli Tepe, le temple mystérieux qui alimente toutes les théories C'est un petit monticule d'une quinzaine de mètres de haut, artificiellement construit sur un sommet situé à 750 mètres d'altitude, au sud de la Turquie, à une soixantaine de kilomètres de la frontière syrienne. Les ruines sont des cercles de pierre, des monuments décorés de gravures représentant des animaux, des humains... En tout, ces cercles font environ 300 mètres de diamètre. 7.500 ans avant la pyramide de Khéops Détail d'un pilier de Gobekli Tepe. Pour le profane, ces blocs de pierre sculptés ressembleraient davantage à ceux d'une cité mycénienne ou aztèque qu'à des dolmens et menhirs. Merci, votre inscription a bien été prise en compte. Le chiffre impressionne mais il est encore plus extraordinaire lorsqu'on le compare à des repères historiques et préhistoriques plus familiers. 12.000 ans, c'est 5.500 ans avant le début des alignements de Carnac, plus de 6.500 ans avant les premières cités sumériennes, 7.000 ans avant Stonehenge, 7.500 ans avant la pyramide de Khéops.

Révélation privée L’Église catholique parle de la révélation privée ou de révélation spéciale, pour indiquer des visions ou des révélations faites par Jésus, Marie ou d'autres saints, qui auraient eu lieu après la rédaction du Nouveau Testament. Ces révélations, dont le caractère « privé » les distingue des révélations « publiques », n'ont été reconnues que dans un nombre limité de cas par l’Église catholique et ne font pas partie du dépôt de la foi. Tout au long de l'histoire du christianisme, il y a eu de nombreuses révélations rapportées, des prophéties du Montanisme (IIe siècle) au « miracle du soleil » (XXe siècle). Au cours des siècles, l’Église a établi des règles « de discernement » pour vérifier si « la révélation » (ou l'apparition), sont de nature « surnaturelle » ou non. Ces enquêtes sont menées d'abord par l'évêque du lieu, puis éventuellement par les autorités du Vatican. D'après la théologie de l’Église catholique[modifier | modifier le code] Définitions[modifier | modifier le code]

Colonne (architecture) Pour les articles homonymes, voir colonne. Colonnes engagées et baguées à bossages vermiculés. En architecture, ameublement, sculpture et ingénierie des structures, une colonne est un support vertical dont le plan est un cercle (colonne cylindrique) ou un polygone régulier à plus de quatre côtés (colonne polygonale). Elle se distingue du pilier et du pilastre. La colonnade, quant à elle, est constituée d'une succession de colonnes. Colonne est un terme qui vient du latin columna lui-même dérivé du radical indo-européen *kel (« haut »). Un doublet lexical de colonne donne colombe qui désigne une solive de charpente[2]. Colonne est d'abord employée métaphoriquement au début du XIIe siècle en parlant d'un élément de forme verticale et étirée (colonne de nuée) puis vers 1170 pour désigner en architecture une « pièce cylindrique verticale servant généralement de support dans une construction »[3]. Pilier composé gothique, formé d'une colonne et de colonnettes engagées, Cathédrale de Laon.

Intégrisme L'intégrisme est un courant au sein de l'Église catholique romaine, particulièrement en France[1], dont l'appellation remonte au début du XXe siècle, lors de la crise moderniste, lorsque le courant conservateur de cette Église oppose aux partisans d'une ouverture au monde moderne un catholicisme dit « intégral » qui défend le maintien des vérités catholiques traditionnelles telles qu’elles ont, selon eux, toujours été enseignées. Ces tenants de la « Tradition », se désignant eux-mêmes comme des « catholiques intégraux »[2], seront appelés « intégristes » par le courant progressiste qui se verra, lui, désigné sous le vocable de « moderniste » dans des appellations qu'aucun des deux courants ne revendique ni n'assume[3]. L'intégrisme se distingue du fondamentalisme. Celui-ci regroupe les courants réactionnaires – particulièrement protestants – qui se réfèrent à la littéralité des textes sacrés, même s'il partage avec l'intégrisme des processus comparables[4].

André de La Franquerie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. André Lesage (1901-1992) (de son nom de plume Marquis de La Franquerie) est un écrivain monarchiste et catholique français, auteur d'ouvrages « politico-mystiques ». Il représente un courant « providentialiste » voire apocalyptique proche de l'intégrisme, qui joint à la défense d'un ordre politique catholique traditionnel la croyance dans les prophéties et les révélations privées. Biographie[modifier | modifier le code] Fils d'Henri Lesage, docteur en droit, et d'Eugénie Martin, il appartient à une famille de juristes parisiens. Il prend l'habitude d'adjoindre à son patronyme le nom « de La Franquerie » puis « de La Tourre », s'arrogeant le titre de « marquis de La Franquerie de La Tourre »[1], mais ne dispose pas de réel titre nobiliaire. En 1926, il est nommé rédacteur en chef de la Revue Internationale des Sociétés Secrètes[2]. Théories[modifier | modifier le code] Publications[modifier | modifier le code]

Providentialisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Joseph de Maistre est un illustre représentant de ce courant de pensée à la fin du XVIIIe siècle. Ainsi "la Révolution française, bien qu'elle semble être une initiative d'individus, est en fait, à ses yeux, une manifestation de la Providence, qui ne cesse d'intervenir dans le cours des affaires humaines" Le providentialisme a été l'objet de nombreuses discussions dans les cercles européens qui cherchaient à justifier l'impérialisme, au XIXe siècle, au motif que les souffrances causées par la conquête européenne se justifiaient par les motifs de la poursuite du plan de Dieu et de la diffusion du christianisme dans les pays lointains[1],[2],[3]. Le Marquis André de La Franquerie avec son ouvrage de référence La Mission divine de la France peut être considéré comme un auteur catholique providentialiste. Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Bouvier, p. 47.↑ (en) Michael P. Bibliographie[modifier | modifier le code]

Grand Monarque Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le « Grand Monarque » est un personnage prophétique issu de croyances populaires eschatologiques basées principalement sur des révélations privées catholiques et sur des prophéties plus précoces comme celle de Saint Rémi[1]. Bien qu'il ne soit pas reconnu dans l'eschatologie chrétienne, l'Église catholique ne s'est jamais opposée à la publication d'ouvrages vulgarisant l'espérance dans le grand monarque[2]. Certains ecclésiastiques l'ont même encouragé[3]. Le « Grand Monarque » serait un héritier des rois de France (tout comme le Roi dormant pour l'Allemagne) qui se manifesterait au cours de la période apocalyptique de la fin des temps pour ramener la paix dans un monde déchiré par la guerre, restaurer l'Église catholique persécutée et réduite presque à néant, et enfin rétablir une monarchie catholique dans une Chrétienté réunie et étendue au monde entier. Prophéties médiévales[modifier | modifier le code] Portail du christianisme

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