
De l'uranium dans la mer, le nouvel eldorado de l'industrie nucléaire? C’est une bonne nouvelle pour l’industrie nucléaire, peut-être pas pour les écosystèmes marins: des scientifiques, réunis à Philadelphie aux Etats-Unis, ont annoncé que l’extraction de l’uranium contenu dans l’eau des mers pourrait bientôt devenir une réalité. Selon les membres de l’American chemical society, les océans recèleraient au moins quatre milliards de tonnes d’uranium. «Il y a beaucoup plus d’uranium dilué dans l’eau de mer que dans tous les gisements terrestres connus», estime le Dr Robin Rogers, de l’université d’Alabama. «Ce qui rendait son extraction très chère était sa très faible concentration, mais nous progressons.» Jusqu’à présent, la seule manière d’extraire l’uranium de l’eau était une technique japonaise consistant à filtrer l’eau de mer dans des nasses. Celles-ci sont placées à environ 200m sous la mer, sur une longueur de 100m au plus. Un «soutien» à l’industrie nucléaire Audrey Chauvet
game over by 6evilsonic6 d6confk Mr. President, Put it in Writing Services The Salsa Client Services team handles all new client set-ups as well as custom projects such as data clean-up, large-scale content and campaign migration, webpage customization and custom reporting. For more services including everything from strategic consulting to development, we have a community of partners ready to help too. Support The folks in support help you be successful in Salsa in a friendly, clear and efficient manner. Training We provide weekly online training, certification courses and strategic best practices webinars and resources at a variety of levels so you can customize your education the way you need it.
lambezellec The Historic Records Show that Nuclear Authorities Know the Fallacy of their Current Position In progress. This post compares the situation as documented by Dennis Heyden last post – that evidence showing a multiplier effect for internal emitters compared to external exposure readings is dismissed – with the early record which for the first time proved the multiplier effect does indeed exist. The very grave observations held by expert researchers made of the actions specific to internal emitters have not be contradicted by any later observations. And these early papers have not been contradicted by any later point by point rebuttal based upon evidence gained by observation. Pecher and Aebersold. 1939 -1941 “Pecher, C., “Biological Investigations with Radioactive Calcium and Strontium, Preliminary Report the Use of Radioactive Strontium in the Treatment of Metastatic Bone Cancer”, Contributed from the Radiation Laboratory of the University of California, Berkeley, University of California Publications in Pharmacology. Hamilton 1942 -1946
Courrier des Balkans Belgique : quel sera le prix de la sortie du nucléaire ? Après l’Allemagne, c’est la Belgique qui devrait se passer du nucléaire dans un avenir proche. Dimanche 31 octobre, les six partis politiques associés à la formation d’un nouveau gouvernement fédéral – la Belgique n’a toujours pas d’exécutif – se sont mis d’accord sur une sortie de l’atome. L’annonce n’est, en fait, pas inédite. Mais voilà, les critiques n’ont pas tardé à pointer leur nez. La Belgique sera dépendante des pays voisins Dépendante des autres, la Belgique l’est déjà, à en croire Philippe Bodson, ancien patron de Tractabel, la maison mère d’Electrabel. Si la Belgique venait à fermer la porte de ses trois plus vieux réacteurs en 2015, c’est donc 1,8 GW de capacité (sur 5,9 GW) qu’elle devrait remplacer immédiatement. La sortie du nucléaire entraînera une augmentation des gaz à effet de serre Vrai aussi… dans un premier temps. Mais puisque la Belgique est en retard, elle a aussi une grande marge de manœuvre. La fermeture des centrales pèsera sur la facture du consommateur
L'Allemagne sort du nucléaire sans polluer davantage « La fin du nucléaire en Allemagne passe par le charbon », titrait en octobre dernier Le Monde, relayant une idée très généralement répandue. Faux ! affirme Andreas Rudinger, chercheur à l'Iddri, Institut du développement durable et des relations internationales, qui vient de plancher sur le sujet. « En volume, la production d'électricité à partir de houille et de lignite est restée quasiment stable en Allemagne l'an dernier, avec une hausse de 1,7%, selon les chiffres que vient de publier l'industrie énergétique allemande (AG-Energiebilanzen 2011) », souligne-t-il. Même si le charbon continue à se tailler la part du lion dans le mix électrique allemand en représentant 44% de l'électricité produite (50% en 2001). 60% du nucléaire arrêté a été compensé par les renouvelables Au total, la part d'électricité d'origine fossile est passée de 57 à 58% malgré le recul du nucléaire de 22,3 à 17,6% de la production électrique. Pas d'augmentation inévitable des centrales thermiques