
flash intro [entretien] Google, “une des plus grandes puissances géopolitiques du monde” » Article » OWNI, Digital Journalism "Un bon moment à passer qui pose les bonnes questions": voilà comment pourrait être résumé Google Démocratie, ouvrage cosigné par David Angevin et Laurent Alexandre. Entretien. A la lecture de la présentation hallucinée faite par JC Féraud de Google Démocratie, on a voulu aller plus loin. Et quoi de mieux qu’une rencontre avec les auteurs pour prolonger le plaisir de la lecture de ce “techno-thriller” et approfondir certaines des questions évoquées dans l’ouvrage. Rencontre avec Laurent Alexandre, généticien, énarque et fondateur de Doctissimo et David Angevin, journaliste et écrivain, auteur notamment de Dans la peau de Nicolas. Du fait que Sergey Brin (renommé Brain dans le livre) soit porteur du gène de la maladie de Parkinson aux fulgurants développements des technologies NBIC (nano-bio-info-cogno), entretien à bâtons rompus. On n’a pas l’habitude d’un roman écrit à quatre mains. David Angevin: On s’est rencontré il y a trois ans. D’où vient l’acronyme NBIC? David Angevin: Oui.
Education : Lenovo et Intel lancent un nouveau Classmate Intel et Lenovo ont officiellement dévoilé leur dernier netbook orienté éducation. Un secteur où le chinois affichent de hautes ambitions : « Lenovo est l’entreprise informatique qui enregistre la plus forte croissance dans le domaine de l’éducation », a déclaré Michael Schmedlen, responsable de la division Worldwide Education. Avec le PC Classmate+, les deux entreprises s’unissent et affirment proposer un ordinateur spécialisé pour l’amélioration de l’enseignement en écoles primaires. Rappelons que le concept Classmate s’inscrit dans le projet « One Laptop Per Children » (OLPC) lancée en 2005. Les années passées, Intel a travaillé avec différents constructeurs et estime avoir écoulé près de 3 millions d’unités Classmate dans différents pays de la planète. Déjà 158 000 commandes en Argentine Cette semaine, Intel et Lenovo ont donc présenté un cartable électronique qui n’a rien à envier aux machines standards.
Eclairages pour le 21e siècle : Google, le monde et moi Le 9 mars avait lieu à la Bibliothèque publique d’information du Centre Pompidou, dans le cadre du cycle « Eclairage pour le 21e siècle », un débat sur Google, organisé en partenariat avec Place de la Toile, Chronique de la rentrée littéraire et InternetActu.net. Animé par Abeline Majorel, le débat réunissait Ariel Kyrou, l’auteur de Google God, cette déclaration d’amour et de haine, de fascination et de rejet sur ce monstre du quotidien, également rédacteur en chef du site Culture Mobile et membre du collectif de rédaction de la revue Multitudes ;Daniel Ichbiah rédacteur en chef du magazine Comment ça marche, écrivain, auteur notamment de Comment Google mangera le monde ? Comment et en quoi Google est-il pertinent ? La principale qualité de Google repose sur celle de son moteur. Pour Matthieu Lecomte, Google cherche sans cesse à améliorer l’expérience utilisateur, alors que les éditeurs cherchent à contourner les règles mises en place par le moteur. Le risque du profilage
Quand l'internet se manifeste D’abord, il y a Loyd Blankenship, l’auteur du magnifique Hacker Manifesto (1986), retrouvé par Sabine Blanc et l’équipe d’Owni. « Pour anecdote, le sale gosse est rangé des voitures depuis 1990, c’est désormais un informaticien dans le rang, qui fabrique pour ses loisirs des... boîtes en bois, à défaut de pouvoir en vivre. » Puis, il y a tous les autres. Qui jettent un regard sur leurs textes ; parfois désabusés, parfois encore prêts à monter au créneau : en une timeline, Owni nous mute en machine à remonter les machines, en machine à remonter le temps, à machine-à-thèmes (les textes sont taggés : hacker, économie, technique, libertés numériques, société). C’est ainsi qu’avec quelques amis, farouches et fidèles, et qui ont, eux, voulu rester anonymes, comme toujours, nous avons répondu à quelques questions autour d’un certain Manifeste du Web Indépendant (cf. l’année 1997 sur la timeline) émanant d’un certain MiniRézo. Comme dirait l’autre, on continue.
Et si Google faisait l'impensable avec les 17 000 brevets de Motorola ? Admettons-le d'emblée, nous ne croyons pas tellement à ce scénario. Et pourtant, nous voulons tellement y croire que nous allons tout de même le raconter, car il n'est pas totalement farfelu. Et si Google, après avoir investi 12,5 milliards de dollars pour s'offrir Motorola et ses 17 000 brevets... décidait d'en libérer tout ou partie dans le domaine public ? L'idée paraît absurde, mais elle se base sur un précédent : WebM. En février 2010, Google avait investi 125 millions de dollars pour s'offrir la société On2, dont le principal actif était son codec vidéo VP8, et ses brevets. En achetant On2, Google était conscient que le VP8 présentait le risque de violer les droits de propriété intellectuelle du format concurrent H.264. Voici ce que dit la partie de la licence du WebM concernant les brevets et les actions en justice : Avec cette licence, Google a voulu neutraliser toute action contre le VP8, et y est pour le moment parvenu. 17 000 brevets sous licence libre : un rêve fou ?
[App] Quand l’Internet se manifeste [V1] » Article » OWNI, Digital Journalism (Re)découvrez l'histoire de l'Internet à travers ses manifestes, chartes, déclarations, présentées dans une timeline interactive. Certains y verront une preuve supplémentaire de l’ampleur de l’impact de l’Internet : depuis que le réseau est apparu, avant même que le terme Internet n’entre dans les usages, de nombreux usagers ont éprouvé le besoin d’écrire des textes pour encadrer ce nouvel espace et indiquer dans quelle direction il fallait l’orienter, esquissant chacun une vision du Net. Curieusement, le Minitel ne semble pas avoir eu cet honneur. Les petits cons d’OWNI, conscients qu’il y avait un Internet avant eux, ont voulu les rassembler. In fine, l’ambition de ce projet, c’est bien de raconter l’histoire de l’Internet à travers ce panorama : dans quelle mesure chacun se fait l’écho du contexte d’alors ? « Internet est notre société, notre société est Internet » Libertés numériques. Hacker. Économie. Technique. Cette première version comprend une trentaine de textes.
Retour d'expérience sur Google Panda, référencement google panda, bilan Google panda, nouveautés Google panda, algorithme google 2011 Catégorie : E-Marketing ● 5 Commentaires ● Par Cédric le 07/09/2011 La mise à jour tant attendue de l’algorithme de Google nommé « Panda » est arrivée en France le 12 août dernier. A bientôt 1 mois de son lancement officiel en France, nous vous proposons un point sur les changements annoncés par Google et ceux déjà observés par notre équipe d’experts en référencement. Concrètement ça change quoi ? La mise à jour Google Panda a pour but de « nettoyer » le web, c’est-à-dire mettre en avant les sites identifiés comme étant de bonne qualité pour l’internaute et à l’inverse pénaliser les sites de mauvaise qualité. Cette notion de bonne ou mauvaise qualité est basée sur l’expérience utilisateur. Sur quels paramètres se base Google pour déterminer un site de mauvaise ou de bonne qualité ? Nous le savons tous, le Panda aime le bambou mais celui de Google a des goûts bien spécifiques : Il aime : Il n’aime pas : Notre retour d’expérience Retrouvez les consignes officielles de Google aux webmasters
03/25 > BE Etats-Unis 241 > ARPA-ED : 90 millions de dollars pour les technologies de l'information et de la communication dans l'éducation (TICE) Sciences et technologies de l'information et de la communicationARPA-ED : 90 millions de dollars pour les technologies de l'information et de la communication dans l'éducation (TICE) A l'occasion d'une visite le 8 mars dernier à la "TechBoston Academy" [1], une école publique pilote dans l'utilisation des technologies de l'information, le Président Obama a dévoilé une proposition au budget 2012 visant à créer un fonds d'investissement en recherche et développement dans les technologies de l'information et la communication pour l'éducation (TICE) [2]. L' "Advanced Research Projects Agency for Education" [3], ou ARPA-ED, serait doté de 90 millions de dollars la première année et, selon le ministère de l'éducation, pourrait financer entre 10 et 15 projets provenant d'entreprises, d'universités ou d'autres organisations innovantes. - des cours (matériel de formation) qui s'améliorent à mesure qu'ils sont utilisés.
FACEBOOK FALLOUT: Suddenly It Feels Like Google Is Actually Going To Buy Twitter
"Nous ne scannons pas tous les livres de la planète pour qu’ils soient lus par des hommes. Nous scannons ces livres pour qu’ils soient lus par une intelligence artificielle." by agnesdelmotte Mar 24