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Controverse de Valladolid

Controverse de Valladolid
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec la conférence de Valladolid, une réunion théologique qui se tint à l'université de Valladolid en 1527. La controverse de Valladolid est un débat qui opposa essentiellement le dominicain Bartolomé de Las Casas et le théologien Juan Ginés de Sepúlveda en deux séances d'un mois chacune (l'une en 1550 et l'autre en 1551) au collège San Gregorio de Valladolid, mais principalement par échanges épistolaires. Ce débat réunissait théologiens, juristes et administrateurs du royaume, afin que, selon le souhait de Charles Quint, il se traite et parle de la manière dont devaient se faire les conquêtes dans le Nouveau Monde, suspendues par lui, pour qu'elles se fassent avec justice et en sécurité de conscience [1]. Ce débat eut lieu sous le pontificat du pape Jules III. Le contexte[modifier | modifier le code] Les exactions des colons[modifier | modifier le code] La contestation[modifier | modifier le code] Related:  la rencontre de l'autre ou la négation de l'altérité

La Controverse de Valladolid (téléfilm) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Controverse de Valladolid (1992) est un téléfilm réalisé par Jean-Daniel Verhaeghe, sur un scénario et d'après le roman éponyme de Jean-Claude Carrière qui s'inspire de faits réels, la controverse de Valladolid. Au XVIe siècle, soixante ans après la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, règne sur l’Espagne Charles Quint qui convoque une assemblée sous l’égide du légat pontifical, afin de débattre de la question fondamentale : les indigènes indiens, dont elle a colonisé les territoires en Amérique, ont-ils une âme (sont-ils des hommes) ? L'auteur du roman dont s'inspire ce téléfilm précise en note préliminaire que le livre est une interprétation romancée de faits historiques. L'humanité des Indiens, l'existence de leur âme donc, n'a en réalité jamais été l'objet du débat puisque sans cela, Sepúlveda n'aurait jamais parlé du devoir de les évangéliser et ne se serait jamais autant étendu sur leur « péché d'idolâtrie ».

Sérendipité, ou de l'art de faire des t 1er février 2005 par par Pek van Andel m.v.van.andel@med.rug.nl Texte traduit et adapté du hollandais par Danièle Bourcier, directeur de recherche au CNRS bourcier@msh-paris.fr Sérendipité, ou de l'art de faire des trouvailles Ex chercheur et expérimentateur à l'université de Groningue, Pek van Andel possède la plus grande collection mondiale de sérendipités et est considéré aux Pays-Bas comme "sérendipitologue". L'auteur a proposé aux journaux Le Monde et Le Figaro le texte qui suit - texte d'une communication faite le 1er février 2005 à l'université de Cannes - qui en ont refusé la publication (mais était-ce finalement le bon endroit où le publier ?). Il a alors décidé de l'offrir ici gratuitement, à condition que soient respectés le droit d'auteur et celui de la traduction. Qu'il en soit remercié. Automates Intelligents Le mot serendipity ('sérendipité' en transcription) a été forgé il y a 251 ans. Introduction L'histoire Le mot sérendipity a été crée le 28 janvier 1754. [...] Epilogue

Doctrine Monroe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La doctrine de Monroe a caractérisé la politique étrangère des États-Unis durant le XIXe et le début du XXe siècle. Tirée du nom d'un président républicain des États-Unis, James Monroe, elle condamne toute intervention européenne dans les affaires « des Amériques » (tout le continent) comme celle des États-Unis dans les affaires européennes. Le discours de Monroe[modifier | modifier le code] l'Amérique du Nord et du Sud ne sont plus ouvertes à la colonisation ;toute intervention européenne dans les affaires du continent sera perçue comme une menace pour la sécurité et la paix ;en contrepartie, les États-Unis n'interviendront jamais dans les affaires européennes. Le journal American Rationalist écrit[1]: « In 1823, the Monroe Doctrine pronounced that the United States would no longer interfere with existing European colonies in the New World and proclaimed that European powers were to leave American colonies alone.

La Controverse de Valladolid de Jean-Claude Carrière Intro Biographie Œuvres Liens Présentation du roman La Controverse de Valladolid de Jean-Claude Carrière Quatrième de couverture Dans un couvent de Valladolid, quelque soixante ans après la découverte du Nouveau Monde, deux hommes s'affrontent : les Indiens sont-ils des hommes comme les autres ? Pour le dominicain Las Casas, ardent défenseur de la cause indienne, cela ne fait aucun doute: les Espagnols, avides de conquête, ont nié l'évidence, assujettissant et massacrant les indigènes par millions. Dans ce livre, Jean-Claude Carrière raconte un fait historique se déroulant en 1550. Un texte de Jacques Lassalle L'effet indien Un matin d'avril 1550, dans une salle désaffectée du monastère des dominicains à Valladolid, à une portée de cantique du Palais-Royal, quatre hommes sont réunis. "Ce que nous disons, si je l'estime nécessaire, ne dépassera pas les murs de cette pièce. Cela change beaucoup de choses. Et c'est alors précisément que l'Histoire renoue avec ses ironies.

Apprendre à questionner? Quand Socrate peut encore être utile! Pour Bruno Devauchelle, une appropriation critique des outils numériques passe aussi beaucoup par la pratique, et pas uniquement le théorie. Une nécessaire dialectique qui passe par une revalorisation des usages non "nobles" du point de vue de l'école académique. Les débats autour des compétences informationnelles des jeunes, leurs habiletés, leur naïveté, leur absence de sens critique sont entrés désormais dans le champ de la banalité. Ils acquièrent des connaissances « futiles » et pas des connaissances « utiles », déclarait un orateur lors de la conclusion du séminaire sur le manuel numérique organisé par le ministère de l’Éducation les 20 et 21 janvier à l’ENS de Lyon. Ils ne maîtrisent pas réellement l’ordinateur disent les autres enseignants, il leur faut des cours d’informatique disent encore d’autres, fiers d’annoncer qu’ils ont obtenu une option informatique en terminale et que l’informatique entre à nouveau dans l’enseignement. À suivre et à débattre…

Quelle civilisation eurasiatique a découverte l'Amérique ? - Realite-Histoire « C’est Christophe Colomb en 1492 ! » Voici la réponse d’un professeur à un élève lorsque l’un d’eux lui demanda « Qui est-ce qui a découvert l’Amérique ? » Et si un ou plusieurs explorateurs avaient marché sur le « Nouveau Monde » avant le navigateur de Gênes ? Les expéditions Vikings Au IXème siècle, les Vikings étaient établis dans les Iles Britanniques ainsi que sur les côtes de Francie. Ce n'est que la première étape d'un long mouvement migratoire vers l'ouest, jusqu'en Amérique. Après l'installation des premières colonies, les Vikings organisèrent plusieurs expéditions afin de découvrir le "Nouveau Monde". Les preuves archéologiques doivent permettre de savoir si les écrits contiennent une part de réalité. Une présence romaine ? Grâce à quelques minces découvertes, nous pouvons quasiment affirmer que les Romains avaient atteint les côtes américaines. Des Phéniciens en Amérique ?

Bartolomeo de Las Casas (1474 - 1566) - L'Ami des Indiens Homme de foi et de convictions, Bartolomeo de Las Casas, né à Séville, a participé à la colonisation des Amériques avec Nicolas de Ovando, qui a remplacé Christophe Colomb à la tête de la colonie d'Hispaniola (Saint-Domingue) en 1502. Il entre plus tard dans l'ordre religieux des dominicains, est ordonné prêtre à Saint-Domingue puis devient en 1544 évêque de San Cristobal, dans la pauvre province du Chiapas, au Mexique. Au nom de l'Évangile Très tôt, l'ancien descubridor s'indigne du sort fait à ses habitants, les «Indiens» et, pour leur défense, rédige une Très brève relation sur la destruction des Indes qu'il lit à l'empereur Charles Quint, à Burgos, en 1540, en vue de le convaincre de mettre un terme aux exactions des colons et de corriger le système des encomiendas. Bien qu'interdite à la publication, la Très brève relation sera publiée à Séville en 1552 grâce à la protection de l'empereur. La réalité de la colonisation Le débat est présidé par l'envoyé du pape Salvatore Roncieri.

Géopolitique de la Colombie 2012 : vers la légalisation et politisation des FARC ? Hugo Chavez, icône du nouveau socialisme en Amérique Latine, l´a affirmé à maintes reprises: en ce début de XXI ème siècle, la "lutte armée" ne représentent plus une alternatives valable pour la conquête du pouvoir, ni pour les FARC en particulier ni pour la gauche latino-américaine en général. Les FARC (Forces Armées Révolutionnaires Colombiennes) semblent initier un processus ver une légalisation et constitution d´un front politique démocratique. La libération "non stop" et unilatérale de quasiment tous les séquestrés par la guérilla colombienne est sans doute le premier pas vers l´abandon definitif de la lutte armée. Principales raisons du probable abandon de la lutte armée par les FARC Isolement régional : le bloque régional UNASUR qui réuni l´ensemble des pays du continent Sud-Américain, s´est prononcé à maintes reprises sur ce thème en refusant clairement n´importe quelle tentative de prise de pouvoir située en dehors des élections démocratiques.

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