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Émergence

Émergence
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’émergence est un concept philosophique apparu au XIXe siècle grossièrement résumé par l'adage « le tout est plus que la somme de ses parties ». Plus précisément, une propriété peut être qualifiée d’émergente si elle « résulte » de propriétés plus fondamentales tout en demeurant « nouvelle » ou « irréductible » à celles-ci[1]. Ce concept propose ainsi de concilier dans les sciences une approche moniste avec une opposition au réductionnisme, c'est-à-dire postulant une unité fondamentale dans la composition de la nature (que ce soit la matière inerte, les organismes vivants ou le psychisme) mais déniant la possibilité d'une connaissance intégrale de ces phénomènes par la simple connaissance de leurs composants fondamentaux. Origine et orientation[modifier | modifier le code] Dans son essai L'Homme et la coquille (Variété V, page 557 dans l'édition Folio), Paul Valéry utilise pour désigner l'émergence faible le mot émanation : Related:  mimipmr

Emerging Memetic Singularity in the Global Knowledge Society 30 April 2009 | Draft IntroductionChecklist of constraintsVarieties of singularity -- Technological singularity | Cognitive singularity | Metasystem transition -- Communication singularity | Globality as singularity | Symmetry group singularity -- Subjective singularity | Spiritual singularity | Singularity of planetary consciousness -- Metaphorical singularityEnd times scenarios -- End of history | 2012 | Timewave theory | Eschatological scenarios | End of science -- End of culture | End of religion | End of civilization | End of security | End of privacy -- End of intelligence | End of ignorance | End of knowing | End of abundance | End of confidence -- End of hope | End of truth | End of faith | End of logic | End of rationality | End of modernism -- End of wisdom | End of tolerance | End of natureBlack holes and Event horizonsConclusion Introduction Historically these were a preoccupation of the Union of Intelligible Associations and are now a focus of Global Sensemaking.

Spiritualisme (philosophie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il convient de ne pas confondre spiritualisme et spiritualité : la spiritualité est entendue entre autres comme recherche d'une vie bonne et vertueuse. Elle peut être l'objet de doctrines aussi bien spiritualistes[2] que matérialistes, telle que, par exemple, le stoïcisme. Le spiritualisme, à l'inverse du matérialisme, admet l'existence d'une âme, de Dieu qui est un pur esprit, d'une vie après la mort, et de façon générale d'un esprit indépendant du corps et de la matière[3]. Le philosophe Jean-Louis Vieillard-Baron établit quatre critères pour définir le spiritualisme, que Jean-Louis Schlegel présente ainsi : « À quoi reconnaît-on un penseur spiritualiste ? Le spiritualisme s'oppose au matérialisme et au physicalisme, c'est-à-dire à toute philosophie qui prétend que l'on peut expliquer les phénomènes spirituels et psychiques par des causes strictement matérielles, comme pour Épicure, Karl Marx ou Jean-Pierre Changeux.

Données ouvertes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Donnée. Selon les pays, une part plus ou moins importante de la donnée publique est mise à disposition de tous dans le champ des données ouvertes. Ce mouvement est en expansion Les données ouvertes à la Loupe Autocollants utilisés par les militants des données ouvertes Une donnée ouverte est une donnée numérique d'origine publique ou privée. L'ouverture des données (en anglais open data) représente à la fois un mouvement, une philosophie d'accès à l'information et une pratique de publication de données librement accessibles et exploitables. Elle s'inscrit dans une tendance qui considère l'information publique comme un bien commun (tel que défini par Elinor Ostrom) dont la diffusion est d'intérêt public et général. En Europe et dans certains pays, des directives et lois imposent aux collectivités de publier certaines données publiques sous forme numérique. Remarque : Le présent article est généraliste.

Emergence In philosophy, systems theory, science, and art, emergence is a process whereby larger entities, patterns, and regularities arise through interactions among smaller or simpler entities that themselves do not exhibit such properties. Emergence is central in theories of integrative levels and of complex systems. For instance, the phenomenon life as studied in biology is commonly perceived as an emergent property of interacting molecules as studied in chemistry, whose phenomena reflect interactions among elementary particles, modeled in particle physics, that at such higher mass—via substantial conglomeration—exhibit motion as modeled in gravitational physics. Neurobiological phenomena are often presumed to suffice as the underlying basis of psychological phenomena, whereby economic phenomena are in turn presumed to principally emerge. In philosophy, emergence typically refers to emergentism. In philosophy[edit] Main article: Emergentism Definitions[edit] Strong and weak emergence[edit]

Existence Le terme d'existence en soi est ambigu, il recouvre de multiples sens. Dans le langage trivial il désigne le fait d'être, d'être de manière réelle, il est ainsi utilisé dans un usage tout aussi indéterminé chez beaucoup de philosophes comme équivalent au terme d'« être ». Outre le fait d'exister il intervient indique dit le Petit Larousse dans plusieurs expressions courantes pour signaler une durée (une longue existence), au sens de vie (être las de son existence), un mode de vie (changer d'existence), etc. En métaphysique, notamment chez Thomas d'Aquin, il forme avec le terme d'« essence » un couple complémentaire, l'essence serait les idées des choses, ce qu'elles sont « en soi » et l'existence le fait d'être dans la réalité, d'avoir été créé pour les croyants. Cependant, au sens étymologique, « existence » possède une signification plus précise. L'humanité se fie uniquement à ce qu'elle voit, rendant l'existence limitée en ce dont elles perceptent uniquement. Être, c'est exister.

Intelligence collective Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'intelligence collective désigne les capacités cognitives d'une communauté résultant des interactions multiples entre ses membres (ou agents). La connaissance des membres de la communauté est limitée à une perception partielle de l'environnement, ils n'ont pas conscience de la totalité des éléments qui influencent le groupe. l'Intelligence Collective se distingue de l'intelligence collaborative (efficacité des échanges centrés sur une tache) et de l'intelligence projective (synergie des motivations individuelles et collectives, porteuse de sens individuel et collectif). Les formes d'intelligence collective sont très diverses selon les types de communauté et les membres qu'elles réunissent. Intelligence collective humaine[modifier | modifier le code] Conditions[modifier | modifier le code] L'intelligence collective dans une société humaine provient d'interactions plus complexes répondant à diverses conditions citées ci-après. et

Emergent Properties First published Tue Sep 24, 2002; substantive revision Tue Feb 28, 2012 Emergence is a notorious philosophical term of art. A variety of theorists have appropriated it for their purposes ever since George Henry Lewes gave it a philosophical sense in his 1875 Problems of Life and Mind. We might roughly characterize the shared meaning thus: emergent entities (properties or substances) ‘arise’ out of more fundamental entities and yet are ‘novel’ or ‘irreducible’ with respect to them. 1. British emergentists of the late-nineteenth and early-twentieth centuries may not have been the first to embrace emergentist ideas (Caston 1997 provides evidence that Galen was an emergentist), but they were certainly the first to work out a comprehensive emergentist picture. 1.1 J.S. Here is the early exponent of emergentism, J.S. In analyzing such phenomena, Mill introduces the notion of a heteropathic effect and the attendant notion of a heteropathic law, in contrast to homopathic effects and laws.

Appareil idéologique d'État Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'appareil idéologique d’État est une notion philosophique créée par Louis Althusser en 1970. Elle désigne l'ensemble des moyens de diffusion d'idéologie dont l'État dispose. Concept[modifier | modifier le code] Louis Althusser réfléchit dans les années 1960 au concept d'idéologie tel que défini par Karl Marx, c'est-à-dire le système de valeurs imposé par les classes dominantes. Il publie en juin 1970 dans revue La Pensée (n° 151) un texte intitulé « Idéologie et appareil Idéologique d’État »[1],[2]. Il disserte sur l'accroissement du capital et écrit au sujet des opérateurs sous l'angle de la reproduction de la force de travail et de leur maintien dans un rapport de sujétion à l'égard de la bourgeoisie[4]. Les appareils idéologiques d'État voient leur importance respective changer au cours des époques, en fonction des besoins des sociétés et des techniques disponibles (radio, télévision, etc.)[8]. Bibliographie[modifier | modifier le code]

Big data Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une visualisation des données créée par IBM[1] montre que les big data que Wikipedia modifie à l'aide du robot Pearle ont plus de signification lorsqu'elles sont mises en valeur par des couleurs et des localisations[2]. Croissance et Numérisation de la Capacité de Stockage Mondiale de L'information[3]. Dans ces nouveaux ordres de grandeur, la capture, le stockage, la recherche, le partage, l'analyse et la visualisation des données doivent être redéfinis. Certains supposent qu'ils pourraient aider les entreprises à réduire les risques et faciliter la prise de décision, ou créer la différence grâce à l'analyse prédictive et une « expérience client » plus personnalisée et contextualisée. Dimensions des big data[modifier | modifier le code] Le Big Data s'accompagne du développement d'applications à visée analytique, qui traitent les données pour en tirer du sens[15]. Volume[modifier | modifier le code] Variété[modifier | modifier le code]

Emerging technologies An emerging technology (as distinguished from a conventional technology) is a field of technology that broaches new territory in some significant way, with new technological developments. Examples of currently emerging technologies include educational technology, information technology, nanotechnology, biotechnology, cognitive science, robotics, and artificial intelligence.[1] New technological fields may result from the technological convergence of different systems evolving towards similar goals. Emerging technologies are those technical innovations which represent progressive developments within a field for competitive advantage;[2] converging technologies represent previously distinct fields which are in some way moving towards stronger inter-connection and similar goals. History of emerging technologies[edit] In the history of technology, emerging technologies[3][4] are contemporary advances and innovation in various fields of technology. Emerging technology debates[edit] General Other

Théorie du substratum Selon les théories du substratum, et contrairement à la théorie du faisceau, une substance ne se réduit pas à une collection de propriétés : il y a quelque chose en plus, le substratum ou la substance, qui est à la fois le support des propriétés et ce qui fait l'unité de cet ensemble de propriétés, dans la mesure où celles-ci sont portées par un seul et même substrat [1]. Philosophie antique et médiévale : la « matière première »[modifier | modifier le code] Si [la matière] n'est pas la substance, en effet, on ne voit pas quelle autre chose le sera, car si l'on supprime tous les attributs, il ne subsiste rien, évidemment, que le substrat […] Le sujet dernier n'est donc, par soi, ni un être déterminé, ni d'une certaine quantité, ni d'aucune autre catégorie ; il ne consistera même pas dans la simple négation de ces catégories, car les négations, elles aussi, ne lui appartiendront que par accident[2]. Philosophie contemporaine : notion de « particuliers nus »[modifier | modifier le code]

Consensus Un consensus est un accord des volontés sans aucune opposition formelle. Le consensus se distingue de l'unanimité qui met en évidence la volonté manifeste de tous les membres dans l'accord. Un consensus caractérise l'existence parmi les membres d'un groupe d'un accord général (tacite ou manifeste), positif et unanime pouvant permettre de prendre une décision ou d'agir ensemble sans vote préalable ou délibération particulière. Le consensus peut parfois être contraire à la majorité en tant que résultat. Bien qu'en principe le consensus désigne un accord positif et unanime, l'usage récent a consacré des sens dérivés : Étymologie[modifier | modifier le code] Consensus est un mot latin qui signifie « accord », au sens de « sentiment commun ». Du fait du changement de sens récent qui fait que le terme consensus se dissocie de l'unanimité ou de la quasi-unanimité, on en vient à parler de « consensus absolu » ou de « consensus parfait » pour désigner un accord qui ne recueille aucune opposition.

List of emerging technologies Agriculture[edit] Biomedical[edit] Displays[edit] Electronics[edit] Energy[edit] IT and communications[edit] Manufacturing[edit] Materials science[edit] Military[edit] Neuroscience[edit] Robotics[edit] Transport[edit] Other[edit] See also[edit] General Disruptive innovation, Industrial Ecology, List of inventors, List of inventions, Sustainable development, Technology readiness level Nano- Molecular manufacturing, Neurotechnology Bioscience Human Connectome Project Ethics Casuistry, Computer ethics, Engineering ethics, Nanoethics, Bioethics, Neuroethics, Roboethics Other Anthropogenics, Machine guidance, Radio frequency identification, National Science Foundation, Virtual reality Transport List of proposed future transport Further reading[edit] IEEE International Conference on Emerging Technologies and Factory Automation, & Fuertes, J. References[edit] External links[edit]

Théorie du faisceau Selon la théorie du faisceau, un objet se compose de ses propriétés et de rien de plus : il ne peut donc exister d'objet sans propriétés. À proprement parler, les substances — au moins celles qui peuvent être conçues indépendamment de leurs propriétés — n’existent pas. S’il existe des substances, c’est seulement au sens linguistique : un nom ou un sujet grammatical peut recevoir des prédicats, chacun d’eux désignant une propriété. D’après cette théorie, les substances n’ont donc d’existence que « nominale ». Les partisans de la théorie du faisceau[1] nient l'existence des personnes en tant que substances pensantes ou sujets d'expérience. Une vie est ainsi unifiée par différents types de relations causales, telles que les relations qui lient les expériences et les souvenirs ultérieurs les concernant. La théorie du faisceau pose certains problèmes théoriques. Ô Frère, les actions existent, de même que leurs conséquences, mais la personne qui agit n’existe pas. ↑ Voir par exemple D. S.

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