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Ma propre énergie

Ma propre énergie
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« Tout va s’effondrer. Alors... préparons la suite » Sur quels faits vous appuyez-vous pour affirmer que l’effondrement est possible ? Nous avons rassemblé un faisceau de preuves qui viennent des publications scientifiques. Les plus évidentes sont liées au fait que notre civilisation est basée à la fois sur les énergies fossiles et sur le système-dette. Le pic de pétrole conventionnel a eu lieu en 2006-2007, on est entrés dans la phase où l’on exploite le pétrole non conventionnel : sables bitumineux, gaz de schiste, pétroles de schiste, etc. Ensuite, il y a un siècle, on investissait un baril de pétrole et on en retirait cent. En même temps, pour fonctionner, notre société a besoin de toujours plus de croissance. Dans ce schéma, quelle place a la crise écologique ? Dans notre livre, on prend la métaphore de la voiture. Pablo Servigne Donc la crise écologique est beaucoup plus grave que les crises économiques. Parmi toutes ces catastrophes, quelle est celle qui risque de déclencher les autres ? Oui. Des maisons au Hameau des buis

#FaireAutrement Qu'est-ce qu'on fait ?! - Manger mieux production agricole • Consommation d’énergie (fioul, électricité) dans les exploitations et d’eau pour l’irrigation. • Pollution de l’eau par les engrais, les pesticides et les déjections animales. • Pollution de l'air par les poussières et particules. des émissions degaz à effet de serre en France, proviennent del'agriculture production agricole • Pollution de l’eau par les engrais, les pesticides et les déjections animales. • Pollution de l'air par les poussières et particules. des émissions de gaz à effet de serre en France, proviennent de l'agriculture transformation industrielle • Consommation d'énergie pour transformer les aliments, et de matières premières pour produire des emballages. du marchéde l'emballage en France concerne l'alimentation Consommation d'énergie pour transformer les aliments, et de matières premières pour produire des emballages. du marché de l'emballage en France concerne l'alimentation transport, stockage etdistribution transport, stockage et distribution consommation

10, 100, 1000 villages des alternatives Alternatiba ⁕ Latourex Séjourner dans un aéroport mais sans s’envoler. Jouir du confort des lieux, des différentes ressources sanitaires, commerciales et gastronomiques proposées, du ballet des voyageurs en partance et de la valse des destinations sur le tableau « Départs ». Partir arpenter toutes les grandes places du monde : Alexanderplatz, La Concorde, Tien an Men, Wanceslas, San Marco, Picadilly Circus, Omonia, Time Square… Insérer (s'il n'y figure pas) le nom de sa commune dans l'index alphabétique d'un atlas du monde. Si, par exemple, on habite TREMBLAY-LES-GONESSE : UN mènera à TREMBLAY-LE-VICOMTE (Eure et Loire) DEUX à TREMENTINES (Maine-et-Loire) TROIS aux îles TREMITI (Italie) QUATRE à TREMONT (Maine, U.S.A.) Visiter une ville de A à Z, de la première rue à la dernière selon l’ordre alphabétique. Voyager muni d’un titre de transport périmé ou par un moyen de locomotion obsolète (chaise à porteurs, grand-bi, palanquin, galère, fiacre, draisine, 2 CV, dirigeable, etc), 2. 1. EXPÉDITION au K2 1. 1. 1.

:: Les Maitres de l'Eau :: Bilan Carbone® Personnel « On ne travaille pas à Longo Maï, on y vit » La remise en cause du salariat constitue l’un des fondements de la communauté Longo Maï, créee dans les années 1970. Dans plusieurs lieux, comme au Mas de Granier dans les Bouches-du-Rhône, cette expérience de vie et de travail communautaire sans salaire fonctionne encore, malgré les désaccords et les prises de bec qui sont un des moteurs de la vie collective. « Je ne sais pas si j’aurai le temps de venir, je suis en train de faire deux choses en même temps ! Le sujet est récurrent, c’est autour de la critique du travail avec un grand T qu’est née l’utopie de Longo Maï : travailler, d’accord, mais pas à n’importe quel prix, et en échappant au chantage des banques et à leur idéal de crédit bancaire. Des “hors-les-clous” contre le salariat Tout a commencé au début des années 1970, en Suisse, où une poignée de jeunes étudiants et militants ont commencé à rassembler des gens et à réfléchir à des alternatives au salariat. Un travail attrayant et papillonnant Sans salaire, mais pas sans argent

Connaissances initiales - Education environnement, classe primaire L’objectif est de créer les conditions d’une discussion très ouverte qui permettra aux élèves de dire tout ce qu’ils pensent à propos des déchets, tout ce qu’ils ont entendu dire, toutes les idées reçues qui circulent… Les adjectifs péjoratifs associés à la notion de déchet, tous les jugements négatifs ou positifs devront être notés.Cette base de discussion, à laquelle l’enseignant peut ajouter ses propres idées mais ne jamais juger ou corriger, sera le point de départ de l’ensemble de la réflexion et pourra en fin de travail être comparée à ce que les élèves auront appris. L’évolution de la connaissance, les nouveaux arguments développés, les notions acquises, deviendront ainsi évidents. Mettre en place les échanges soit en utilisant le questionnaire, soit en demandant aux élèves de le lire afin d’avoir le temps d’y réfléchir. Utiliser la première question avec les associations spontanées sur la notion de déchet et noter toutes les réponses.

De jeunes agriculteurs lancent leur épicerie locale et participative Quatre jeunes agriculteurs bretons ont imaginé un concept d’épicerie locale paysanne et collaborative : Élocop. Regroupés au sein d’une association, ils proposent des produits locaux, garantis sans OGM et sans antibiotiques, issus de filières de production durable. En attendant l’ouverture du magasin, courant 2016, qui sera le premier de ce type dans le Pays de Morlaix, ils confectionnent, deux fois par semaine, des paniers de légumes, de viandes, de fromages. « Désolée, je n’ai plus de salades, à cause de la grêle, elles sont abîmées. C’est ici que s’installera, dans les prochains mois, le magasin de producteurs Élocop, au cœur de ce village de 3 083 habitants. Le projet Élocop a débuté il y a maintenant trois ans. « C’était une idée de la mairie », raconte Sandrine. S’approvisionner en centre-bourg, sans se rendre au supermarché « Nous avons alors créé l’association “Croquez local à Pleyber” », se remémore Sandrine. « Une prise de conscience du mal-manger » Pour en savoir plus :

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