
Bioéthique, recherche scientifique : quels enjeux ? - Citoyenneté et société Découverte des institutions <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.</p> Quelques dates clés 1971 : Première apparition du terme "bioéthiqueBioéthiqueQuestions éthiques et sociétales posées par les innovations médicales qui impliquent une manipulation du vivant comme les expérimentations sur l’homme, les greffes d’organes et l’utilisation des parties du corps humain, la procréation médicalement assistée, les interventions sur le patrimoine génétique, etc." sous la plume d’un médecin américain, Van Rensselaer Potter. 23 février 1983 : En France, création du Comité consultatif national d’éthique (CCNE). 29 juillet 1994 : En France, premières lois sur la bioéthique qui établissent les principes généraux de protection de la personne humaine et fixent les règles d’organisation de certains secteurs médicaux (aide à la procréation, greffes). Juillet 1996 : Pour la première fois, clonage d’un mammifère adulte, la brebis Dolly. Quelques pistes de réflexion
Les essentiels de la littérature Le royaume du prêtre Jean, dont l'auteur livre toute la généalogie depuis le roi David dans un cartouche en haut à gauche, hanta l'imaginaire occidental jusqu'au XVIe siècle, voire au-delà. Tantôt situé en Inde, tantôt en Afrique orientale, comme le suppose ici Abraham Ortelius qui l'identifie à l' "Abyssinie", ce royaume chrétien au cœur de terres païennes fut conçu comme un bastion contre les Infidèles et recherché comme allié par les croisés, mais il fut perçu également par certains comme un double du jardin d'Éden. Presbiteri Johannis Sive Abissinorum Imperii Descriptio dans Theatrum Orbis Terrarum Abraham Ortelius (1527-1598), auteur, Anvers, ed. 37 x 43,5 cm BnF, Cartes et plans, Rés. © Bibliothèque nationale de France Les grandes découvertes alimentent l'imaginaire utopique. Mexico, regia et celebris Hispaniæ Novæ civitas. Georg Braun (1541-1622) et Frans Hogenberg (1535-1590), cartographes, Cologne, fin XVIe siècle. 27 x 47 cm BnF, Cartes et plans, Ge DD 1506-1507, pl. 59 I. Utopia
Cogitations2 - Blog philosophique de Eric Delassus — Ce site traite plus particulièrement de questions d'éthique (éthique médicale, éthique et travail, éthique du management) et de la philosophie de Spinoza Utopie : la SF en quête du monde idéal La matrice des utopies Thomas MORE Le terme « utopie » est forgé par l’Anglais Thomas MORE à partir du grec outopos [le non-lieu, nulle part]. Son ouvrage se compose de deux livres. Platon Cependant, MORE ne créé pas le genre ex-nihilo, il s’inspire, en bon humaniste, d’un sujet développé dans le monde grec : la cité idéale. Dans « La République » et dans « Les Lois », PLATON décrit des cités qui n’ont pas de réalité [Callipolis, modèle aristocratique et Magnésie, modèle législatif] et les présente comme deux voies possibles pour atteindre le bonheur. Après MORE, la réflexion autour du concept d’utopie allait se prolonger jusqu’au XIXème siècle chez de nombreux penseurs. Les grandes utopies classiques Rabelais RABELAIS fait référence à deux reprises à l’utopie de MOORE dans "Pantagruel" [1532]. Tommaso CAMPANELLA C’est de la prison où il est enfermé que Tommaso CAMPANELLA rédige son utopie : « La cité du soleil » [ 1601 ]. Les utopies politiques Saint Simon La SF, refuge des utopies ? Iain M.
La ville idéale de Chaux une ville nouvelle avant l'heure Voir, être vu : transparence ou surveillance ? La ville de Chaux, cité idéale Ledoux construit aujourd'hui ! Convaincu que l’architecture peut permettre de bâtir un monde meilleur, Claude-Nicolas Ledoux rêve de prolonger le demi-cercle de la saline d’Arc et Senans en construisant une cité idéale en pleine campagne.