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Lycéens décrocheurs : les établissements pour reprendre des études

Lycéens décrocheurs : les établissements pour reprendre des études
Les écoles de la deuxième chance (E2C) Pour qui ? Les écoles de la deuxième chance accueillent des jeunes motivés, de 18 à moins de 26 ans, ayant quitté le système scolaire depuis plusieurs mois sans diplôme ni qualification. Organisation : la scolarité, qui peut durer de 4 mois à 2 ans, est rémunérée au titre de la formation professionnelle (statut de stagiaire de la formation professionnelle). Les candidatures, qui reposent avant tout sur le volontariat et la motivation, sont proposées par les missions locales, Pôle Emploi, les structures d’insertion. Elles sont ensuite validées par l’E2C au travers d’un entretien de motivation. Au programme : les E2C proposent une formation alternant stages en entreprises et séquences individualisées de remise à niveau (français, mathématiques, culture générale, bureautique, savoir-être) dans l'objectif d'aider les jeunes à intégrer le marché du travail ou à accéder à une formation qualifiante. Les micro lycées Pour qui ? Les lycées de la nouvelle chance Related:  DECROCHAGE SCOLAIRE & UNIVERSITAIRERessources trouvées sur Pearltrees

La lutte contre le décrochage scolaire En vidéo : La lutte contre le décrochage scolaireLutte contre le décrochage scolaire : témoignages Toutes les vidéos sur le décrochage scolaire Vaincre le décrochage : un enjeu de cohésion sociale La lutte contre le décrochage constitue un enjeu majeur humain, social et économique. Le préjudice psychologique du décrochage est important en termes d’estime de soi, de qualité de vie. La non-valorisation des talents est un gâchis pour la société et menace la cohésion sociale. Les jeunes sans diplôme se trouvent plus souvent au chômage, notamment de longue durée, occupent plus souvent des emplois précaires et présentent un état de santé dégradé. Du point de vue économique, le décrochage génère des coûts importants pour la société. Les pays qui ont réussi à réduire significativement le décrochage en ont fait une cause nationale, un enjeu du vivre-ensemble.Le décrochage scolaire n’est pas un phénomène uniforme et homogène. Le décrochage n’est pas une fatalité. Les chiffres du décrochage Prévenir

Des leviers efficaces pour lutter contre le décrochage scolaire player1 Quels sont les constats à porter à la connaissance de la communauté éducative en matière de décrochage scolaire ? « On ne connaît pas de profils de décrocheurs. Chaque décrocheur a une histoire. Le décrochage est un processus qui n’est pas linéaire donc on ne passe pas par une étape pour arriver à une autre et les différents temps de difficulté ne sont pas prédictifs d’un décrochage. Comment les discours bienveillants peuvent-ils être vecteurs de malentendus ? « Tous ces effets peuvent se résumer en une phrase que j’ai trouvée frappante. Pour certains élèves, quatre déliaisons se jouent tous les jours, dans tous les cours, à chaque instant dans l’établissement et se rejouent dans la sphère familiale au moment des devoirs notamment. Déliaison avec l’Institution.Déliaison avec l’adulteDéliaison avec le groupe de pairsDéliaison de l’élève avec lui –même Quelle est la place de l’évaluation dans le décrochage ? Dans quels contextes s’opère la bascule vers le décrochage ?

Réseau des Ecoles de la 2e chance en France Les établissements de réinsertion scolaires (ERS) Les établissements de réinsertion scolaire (ERS) accueillent des collégiens perturbateurs dont le comportement nuit au bon fonctionnement de la classe et de l’établissement. Les ERS proposent, pour un an au moins, une scolarité aménagée avec, le plus souvent, un hébergement en internat dans des locaux annexes permettant une prise en charge suivie de l'élève. En 2012-2013 il existe 16 ERS. Vidéo : Les établissements de réinsertion scolaire À qui s'adressent les ERS ? Les établissements de réinsertion scolaire s'adressent à des collégiens perturbateurs. Les élèves accueillis : sont âgés de 13 à 16 anssont issus des classes de 5e, 4e et 3eont fait l'objet d'au moins une exclusion définitivepeuvent être en situation d’absentéisme ou de déscolarisationne relèvent ni de l'enseignement spécialisé et adapté, ni d'un placement dans un cadre pénal Que proposent les ERS ? Le programme d'enseignement des ERS est identique à celui du collège. Un projet pédagogique adapté Un temps scolaire aménagé

Le décrochage scolaire Échec scolaire, manque d’intérêt, absentéisme… Chaque année, 120 000 élèves abandonnent leurs études, parfois pour raccrocher quelques années après. Décryptage d’un phénomène qui inquiète l’opinion et agite régulièrement les médias. ◊ De quoi parle-t-on exactement ? Décrochage, rupture, abandon, déscolarisation… De nombreux termes sont récemment apparus pour désigner ce que l’on qualifiait autrefois, de manière générique, d’échec scolaire. Ils recouvrent cependant des réalités diverses (1). Deux textes ministériels récents (31 décembre 2010 et 10 février 2011) précisent la notion de décrocheur, défini institutionnellement comme un jeune qui quitte prématurément un système de formation initiale, sans avoir obtenu ni le baccalauréat, ni un diplôme à finalité professionnelle de niveau V ou IV (BEP ou CAP) et qui n’est plus inscrit dans un cycle de formation. ◊ Une préoccupation européenne Les raisons de cet abandon scolaire sont diverses. ◊ Qui décroche ? ◊ Comment décroche-t-on ? Bibliographie

JEM Prévention du décrochage Jeune Envie Motivation La prévention du décrochage Chaque année de trop nombreux jeunes sortent du système scolaire sans avoir validé un diplôme ou un niveau suffisant pour aborder leurs projets professionnels. Face à ce constat, il nous faut construire un parcours complémentaire, déclinable et adaptable selon le profil du décrocheur. Pour mieux connaitre le décrochage scolaire : étude de Pierre-Yves Bernard ici 1. Les actions complémentaires doivent permettre au jeune de retrouver l’estime de soi, en tirant bénéfice d’un environnement favorable, d’expériences sociales et d’occasions d’une relation humaine qui redonnent sens à son parcours. L’organisation du parcours sur 3 mois à raison de quatre demi-journées par semaine se compose d'activités physiques, d'ateliers d'estime de soi et d'expression ainsi que la construction de projet professionnel. 2. 3. L'action JEM rentre dans un nouveau programme après 4 années d'expérimentation. Le bilan de la première année 2014/2015 ici.

Lutte contre le décrochage : les SRE (Structure de Retour à l'Ecole) (...) Les structures de retour à l’école Microlycées et autres structures de retour à l’école Dans le cadre de la lutte contre le décrochage scolaire, la création de Microlycées, qui répond à la double démarche des dispositifs de la deuxième chance et des structures scolaires expérimentales, constitue une des solutions appropriées pour les élèves décrocheurs, en mesure de reprendre des études, après quelques semaines ou quelques années d’interruption de scolarité. Lutter contre le décrochage scolaire Depuis les années 2000, les structures de type « Microlycées » se sont développées sur le territoire pour permettre à des jeunes totalement déscolarisés de revenir à l’école de la Seconde à la Terminale, afin d’y préparer un baccalauréat. Ces structures de retour à l’école (SRE) sont d’une part innovantes parce qu’elles déplacent les cadres habituels du fonctionnement scolaire et d’autre part expérimentales parce qu’elles s’interrogent et se remettent en question régulièrement. Sur le site de l’OZP

La lutte contre le décrochage scolaire - Education.gouv.fr En vidéo : La lutte contre le décrochage scolaireLutte contre le décrochage scolaire : témoignages Toutes les vidéos sur le décrochage scolaire Vaincre le décrochage : un enjeu de cohésion sociale La lutte contre le décrochage constitue un enjeu majeur humain, social et économique. Le préjudice psychologique du décrochage est important en termes d’estime de soi, de qualité de vie. La non-valorisation des talents est un gâchis pour la société et menace la cohésion sociale. Les jeunes sans diplôme se trouvent plus souvent au chômage, notamment de longue durée, occupent plus souvent des emplois précaires et présentent un état de santé dégradé. Du point de vue économique, le décrochage génère des coûts importants pour la société. Les pays qui ont réussi à réduire significativement le décrochage en ont fait une cause nationale, un enjeu du vivre-ensemble.Le décrochage scolaire n’est pas un phénomène uniforme et homogène. Le décrochage n’est pas une fatalité. Les chiffres du décrochage Prévenir

Le décrochage scolaire Plan21 novembre 2014Présenté par le Premier ministre à Lens, ce plan interministériel de lutte contre le décrochage scolaire s'articule autour de 3 axes : la mobilisation de tous, la prévention et le droit à une nouvelle chance. 2 décrets 7 décembre 2014Le décret n° 2014-1453 du 5 décembre 2014 précise que les jeunes sortant du système éducatif sans diplôme peuvent accéder à une formation qualifiante dispensée sous statut scolaire. Cette formation peut s'inscrire dans le cadre d'un contrat en alternance ou sous statut de stagiaire de la formation professionnelle. Ce dispositif est complété par un second décret n° 2014-1454, destiné aux jeunes de 16 à 25 ans qui ont un diplôme mais pas de qualification professionnelle (par exemple un baccalauréat d’une série générale) et ne sont pas (ou plus) dans l’enseignement supérieur. Ces jeunes bénéficient d’une prise en charge identique à celle des jeunes sans diplôme, dans la limite des places disponibles.

Les limites des cartes mentales Si les cartes mentales sont susceptibles de favoriser les apprentissages, il convient malgré tout d'en souligner quelques limites. Notons tout d'abord que le mode de représentation graphique qu'elles offrent est en rupture avec les représentations textuelles habituelles généralement favorisées tout au long du cursus scolaire. Ainsi, chez certains élèves, on observe parfois un temps d'appropriation relativement long, d'autres étant parfois totalement réfractaires à cette forme de représentation des connaissances, en rupture avec une linéarité qui leur convient. L'enseignant devra donc s'assurer que les élèves soient en capacité de «s'approprier ce type d'organisation à la fois hiérarchique et visuel. Par ailleurs, si leur usage «favorise un traitement mental profond de l'information, il peut aussi causer une surcharge cognitive chez les débutants» [2].

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