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Manifeste de la guérilla pour le libre accès, par Aaron Swartz #pdftribute

Manifeste de la guérilla pour le libre accès, par Aaron Swartz #pdftribute

If I get hit by a truck... ...please read this web page digital signature for this page There's an old joke among programmers about who will maintain the code when its author gets hit by a truck. This page is here so that if for some reason I'm no longer able to keep my web services running, people will know what to do. I designate Sean B. I ask that the contents of all my hard drives be made publicly available from aaronsw.com. web.resource.org Sean (or someone he designates) should become the new curator/webmaster. Source Code Copyright for my GPLed source code should revert to the Free Software Foundation. Websites Please keep the websites operational where possible, with content written by me kept untouched where appropriate. Grave I'd like to rest someplace that won't kill me. For other stuff, email Sean. If something does happen to me, please update the footer of this page with a link. Oh, and BTW, I'll miss you all. [based on ESR's page]

« Il y a un risque d’Internet à plusieurs vitesses » Chargée de recherche à l’Institut des sciences de la communication du CNRS, Valérie Schafer a coécrit l’an dernier, avec Hervé Le Crosnier, la Neutralité de l’Internet : un enjeu de communication (CNRS Editions). Le récent conflit entre Free et Google a porté sur la place publique la notion de neutralité du Net. Mais depuis quand le débat est-il ouvert ? La neutralité du Net n’a pas toujours été un enjeu, car Internet était à l’origine un outil scientifique. L’an dernier encore, le conflit d’Orange contre Cogent ( lire l'article ) n’a pas eu beaucoup d’écho, car on connaît mal le rôle de ces acteurs -- Cogent est un «opérateur de transit», un gestionnaire de tuyaux. Pourquoi la neutralité est-elle un enjeu important pour ces internautes ? Dans l'affaire Free/Google, Free argue que les tuyaux sont saturés et se tourne vers Google en lui demandant de participer financièrement. A quoi ressemblerait cet Internet à plusieurs vitesses ? Oui. Paru dans Libération du 15 janvier 2013

Aaron Swartz: howtoget Talk, as prepared, for the Tathva 2007 computer conference at NIT Calicut. (Additional notes.) Translations: 日本語 The American writer Kurt Vonnegut used to always title his talks "How to Get a Job Like Mine" and then proceed to talk about whatever he felt like. So how did I get a job like mine? But, on the other hand, when I started I was a very young kid stuck in a small town in the middle of the country. Step 1: Learn The first thing I did, which presumably all of you have already got covered, was to learn about computers, the Internet, and Internet culture. Step 2: Try The first site I built was called get.info. The second site I built was called my.info. Step 3: Gab It was summer and I was out of school and didn't have a job, so I had a lot of free time on my hands. First I asked the working group members if I could join. I was also a true believer on the subject of RDF, so I worked hard to get other people to adopt it. Step 4: Build And then I left it all and went to college for a year.

Aaron Swartz's politics weren't just about free technology: they were about freeing humanity In a guest editorial on Naked Capitalism, Matt Stoller reminds us that Aaron Swartz's politics weren't just about digital freedom: he saw free software and open networks as instrumental to eliminating corruption and corporatism in wider society. In 2009, I was working in Rep. Alan Grayson’s office as a policy advisor. We were engaged in fights around the health care bill that eventually became Obamacare, as well as a much narrower but significant fight on auditing the Federal Reserve that eventually became a provision in Dodd-Frank. Aaron came into our office to intern for a few weeks to learn about Congress and how bills were put together. Aaron Swartz’s Politics

En hommage à Aaron Swartz Une vague d’émotion sans précédente s’est emparée du Web (que j’ai l’habitude de lire) après la récente tragique disparition d’Aaron Swartz à l’âge de 26 ans. Il faut dire qu’il en avait fait des choses en une pourtant si courte période ! Nous avons décidé de lui rendre hommage en traduisant collectivement l’un des articles de son blog où il évoque son parcours et ses nombreux projets. Cet article a été initialement écrit en 2007. Aaron avait alors à peine 20 ans… Comment dégoter un boulot comme le mien How to Get a Job Like Mine Aaron Swartz - 18 août 2008 - Blog personnel(Traduction : ga3lig, clementd, Amic, tth, bld, KoS, Havok Novak, a_r_n_a_u_d_b, jpcw + anonymous) L’écrivain américain Kurt Vonnegut avait l’habitude de toujours nommer ses interventions « Comment obtenir un travail comme le mien » pour parler ensuite de ce que bon lui semblait. Comment ai-je réussi à dégotter ce job ? Étape 1 : apprendre Étape 2 : expérimenter Le premier site que j’ai réalisé s’appelait get.info.

Dix raisons d'être pour la neutralité du Net Neutralité du Net par-ci, neutralité du Net par-là. Ces derniers temps, on entend de plus en plus parler de ce principe, à l’origine réservé au cercle d’e-initiés. Hier encore sur France Inter, ou il y a quelques semaines au Grand Journal: la notion a quitté son nid douillet mais limité de techniciens du réseau pour venir chatouiller le grand public. Il faut dire que les frasques de Free avec la publicité ou YouTube, ainsi que la volonté fraîchement affichée du gouvernement, confirmée par le Conseil national du numérique, d’inscrire la notion dans la loi, lui a donné un sacré coup de notoriété. On va pas se cacher derrière notre petit doigt. publicité Au même titre qu'un autre, je suis censée pouvoir accéder à tous les contenus disponibles en ligne, mais aussi et surtout en publier. En dehors de quelques ajustement techniques nécessaires à la maintenance du réseau, les opérateurs n’ont pas à tripatouiller le contenu qui passe dans leurs tuyaux, au seul prétexte qu’ils en ont la charge.

What Happens in _The Dark Knight_ Spoilers, obviously. As we’ve discussed, in Batman Begins 1960s-style full employment and antipoverty programs lead to skyrocketing crime while in The Dark Knight Rises 1980s-style tough-on-crime policies and neoliberal economics lead to a revolt of the economic underclass. The films are mirror images, one about the failure of liberal policies; the other about the failure of conservative policies. From the start, the city is torn about how to handle the Batman, who has inspired a wave of second-rate imitators. Dent is doing his own part to lock up the criminals, working inside the system. Dent decides the only way to win is to go big — really big. But, as the mayor explains, Dent isn’t just taking on his own sense of ethics, he’s taking on the entire system: “the mob, politicians, journalists, cops — anyone whose wallet’s about to get lighter”. Just as Dent is frustrated with the justice system, the Joker is frustrated with the criminals. I was in Burma. Note the parallels.

Devenir Média. L'activisme sur Internet, entre défection et expérimentation 1Les premières pages de Devenir média sont consacrées à la critique virulente, mais fermement argumentée, par le renfort de nombreuses références bibliographiques, d'un article de Serge Halimi paru dans Le Monde diplomatique en août 2000, où ce dernier dénonçait l'idéalisme des cybernautes croyant en une ère nouvelle pour le militantisme, l'ère internet. Internet ne serait pas pour S Halimi le nouveau lieu pertinent de l'activisme politique. Au contraire, pour O. Blondeau et L. 2Un triptyque donne à l'ouvrage sa cohérence argumentative : en effet les pratiques des acteurs prennent sens au regard des notions d'expérimentation, de défection et d'expressivisme. 3L'auteur procède à un cadrage théorique et historique fort utile en introduction. 4De 1995 à 2001, l'Internet militant prend véritablement forme avec les listes de diffusion sur le web. 5De 2001 à 2004, on peut parler de tournant vidéo de l'activisme et plus largement de tournant culturel. 6L'ouvrage se compose de deux parties.

Aaron Swartz : sur les traces d’une étoile filante du Net - L'actu Médias / Net La disparition d'Aaron Swartz en janvier 2013 a laissé orpheline la communauté numérique. De Boston à New York, retour sur le parcours d'un homme qui voulait propager le savoir. Cet article est la version longue de l'article paru dans “Télérama” le 3 avril 2013. C’est une petite rue sans histoires, dans un quartier résidentiel de Cambridge (Boston), à l’ombre des prestigieux Harvard et Massachusets Institute of Technology. Cliquez ici pour la voir en plus grandLa carte des lieux de Boston fréquentés par Aaron Swartz. Le document de police indique qu’il était 14 heures et 11 minutes lorsque le policier a plaqué le fuyard contre le trottoir, et qu’Aaron Swartz, pour le principe, a refusé de confirmer son identité – mais qu’une clé USB portant ses initiales l’a trahi. Une heure plus tôt, le jeune homme aux longs cheveux noirs avait discrètement quitté le bâtiment 16 du MIT. Aaron, le Robin des bois numérique Mis en examen pour treize chefs d’accusation On connaît la suite, dramatique.

CETA craindre Accusé d'être un cheval de Troie du défunt traité anti-contrefaçon ACTA, l'accord commercial CETA (entre Canada et UE) rentre ce lundi dans un nouveau round de négociations. La mobilisation se renforce à l'approche de l'issue finale. En juillet dernier, lorsque le Canadien Michael Geist, professeur de droit engagé en faveur des libertés numériques, a alerté sur le danger de CETA ce traité commercial Canada-UE potentiellement cheval de Troie d’ACTA, l’accord commercial fraîchement rejeté par le Parlement européen, certains ont tempéré : le texte fuité date de février, il n’est plus d’actualité, les lobbies ont échoué dans leur tentative d’imposer leur vision maximaliste de la propriété intellectuelle et du droit d’auteur. Trois mois après, alors qu’un treizième round de négociations s’engage ce lundi, le scepticisme a fait place à l’inquiétude. CETA, c’est comme ACTA. Dubitatif naguère, le fondateur du Parti Pirate, le Suédois Rick Falkvinge tient désormais la même ligne : Sa position ?

Hackerisme : hacking large appliqué, éthique sociale et politique C’est cette publication : « Éthique et communauté du hacker : un entretien avec Richard M. Stallman, 2002 », toujours consultable sur le site gnu.org qui est à l’origine de l’article présentement en ligne. Il n’y a pas là une découverte fondamentale sur le hacking et les hackers mais des rappels sur leur origine et leur progression au cours du temps. Petit extrait de l’interview de Richard Stallman : TV : Que veut dire le mot « hacker » pour vous, personnellement ? Un peu plus loin : TV : Une question à propos de l’esthétique du hacker : comme vous l’expliquiez, il n’y a pas d’éthique du hacker particulière, car un hacker peut agir de manière éthique, ou non ; rien dans le « hackerisme » n’oblige à un comportement éthique.RMS : Le hacking n’est pas au départ une question d’éthique. Ce que renvoie RMS il y a 10 ans, avec l’éclairage de 2012 peut amener à se poser de nombreuses questions en lien avec les mouvements hackeristes qui se font connaître aujourd’hui.

Hackers, hacktivistes : de simples agents du chaos Samedi, Reflets est allé parler d’hacktivisme avec Frédéric Bardeau de l’agence Limite, de leur devenir et surtout de ce qu’ils devraient, selon lui, être. Cette émission de radio sur France Culture rebondissait sur une interview de Frédéric Bardeau dans les colonnes de Reflets. Yovan Menkevick, auteur de l’interview vous entretient souvent du soufisme. Pour Frédéric Bardeau, les hacktivistes manquent de culture politique, ont des égos surdimensionnés et rechignent à partager leur savoir, supposément hors du commun, de manière intelligible, avec « les gens ». Les hacktivistes ne sont qu’un « groupe » dans un ensemble. L’existence d’un groupe qui ne comprendrait que des sheng ren (homme sage) chers à Lao Tseu est donc fort improbable. Passons maintenant au fait que les hacktivistes n’auraient pas réussi à mettre en place une organisation leur permettant de s’exprimer d’une seule voix. Vraiment ? Prenons à nouveau appui sur Lao Tseu : Vraiment ? Rien de neuf sous le soleil.

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