
Reconstitution d'embryon CLONAGEReconstitution d'embryon par transfert de noyau dans un ovocyte I - Technique du transfert nucléaire Détails des étapes Enucléation de l'ovocyte Plusieurs types de cellule donneuse de noyau: cellules embryonnaires ou somatiques. Fusion de la cellule donneuse avec l'ovocyte: le "transfert de noyau" Développement de l'embryon Dispositifs techniques II - Deux stratégies possibles Il existe deux techniques selon que l'activation de l'ovocyte (bloqué en Métaphase II) a lieu en même temps que la fusion avec la cellule étrangère ou avant cette fusion. Dans le premier type de protocole, "MII Ovocyte", il y fusion avec la cellule étrangère et activation simultanée de l'ovocyte énucléé. Une activité MPF élevée entraine la division du noyau, la rupture de l'enveloppe nucléaire, la condensation des chromosomes....L'activation de l'ovocyte n'est possible qu'en présence d'une activité MPF basse. Réaction du noyau transféré et influence sur le nombre de chromosome de la cellule créée.
A Paris, des halles alimentaires pour bien se nourrir de manière équitable Une première halle, soutenue par la ville, proposera à la fin de l’année, dans le 10e arrondissement, des produits accessibles à tous, issus des circuits courts et solidaires des producteurs. Pourra-t-on enfin assurer l’accès de tous aux produits locaux et issus de l’agriculture durable ? Le Conseil de Paris a voté en ce sens mardi 5 juillet. La commission chargée de l’économie sociale et solidaire a en effet entériné la proposition des « 4 saisons solidaires » portée par Nicolas Bonnet-Oulaldj, président du groupe Parti Communiste Français-Front de Gauche. La ville de Paris soutiendra donc ces halles d’alimentation alternative à travers une politique de loyers modérés et une aide financière pour l’aménagement des locaux. Une première halle proposera dans le 10e arrondissement des produits accessibles à tous, issus des circuits courts et solidaires des producteurs. Les halles alimentaires : un commerce convivial Une dynamique qui séduit de plus en plus
Dix chiffres clés sur l’agriculture française Le Salon international de l’agriculture 2018 se tient du 24 février au 4 mars, au Parc des expositions de la Porte de Versailles, à Paris. Tour d’horizon des principales caractéristiques de ce secteur en dix chiffres (non exhaustifs). 70,7 milliards d’euros C’est la valeur de la production agricole en 2016, selon les données de l’Insee-Agreste 2017. La production se chiffre à 78,8 milliards d’euros en incluant les services et les subventions sur les produits, soit 3,5 % du PIB français, contre quelque 7 % en 1980. 6,1 milliards d’euros C’est l’excédent commercial agroalimentaire (produits bruts et transformés) français en 2016, selon les données du ministère de l’agriculture. C’est le nombre d’exploitations agricoles en France métropolitaine en 2013, selon les données Agreste 2017. Le nombre d’exploitations d’agriculture biologique était de 25 000 en 2013, contre 20 600 en 2010, selon Agreste. 51 ans 18 300 euros Les agriculteurs bénéficient par ailleurs de subventions d’exploitation.
untitled Quinoa péruvien : la petite graine qui monte, qui monte... • Néoplanète Il a envahi nos assiettes, et plus particulièrement celles des végétariens. Riche en protéines et autres bienfaits nutritifs, le quinoa est une super-graine qui a séduit James Livingstone-Wallace, le fondateur de Quinola Mothergrain. Cette compagnie ne propose pas n’importe quel grain de quinoa : bio et équitable, il provient de la coopérative Coopain Cabana, perchée sur l’Altiplano à 4000 mètres d’altitude au sud du Pérou. Le quinoa, « mère de toutes les graines » Comment est né l’engouement de James Livingstone-Wallace pour le quinoa, cette « graine d’or » ainsi qualifiée par l’organisation mondiale de la santé, cultivé au départ dans les Andes par les Incas qui la considérait comme « mère de toutes les graines » ? Cette interview est à écouter en ce moment sur Radio Néoplanète le lundi, mercredi, vendredi et dimanche à 15h30 et le mardi, jeudi et samedi à 9h30. Version audio :Version vidéo : Le quinoa, « mère de toutes les graines » par neoplanete-info
Des serres alsaciennes, écolos et connectées au Salon de l'agriculture Des salades et des champignons qui poussent à la verticale, avec en-dessous un bac rempli d'eau et des poissons rouges. "C'est de l'aquaponie. Les déjections des poissons nourrissent les racines des plantes", nous précise Mickaël Gandecki, en entrant dans la serre exposée jusqu'au dimanche 4 mars au Salon de l'agriculture, à Paris. Il est l'un des fondateurs de la start-up alsacienne MyFood, basée à Molsheim (Bas-Rhin). À côté des bacs d'aquaponie, et à l'horizontale cette fois, des choux, des haricots, du persil, des artichauts, etc... L'entreprise affirme que sa serre de 22m2, dont le prix de base s'élève à 8.000 euros, peut produire jusqu'à 400 kilos de légumes par an. MyFood a vendu à ce jour 70 serres connectées, dans sept pays différents.
Pour les agriculteurs, ressemer sa propre récolte sera interdit ou taxé Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Angela Bolis Dans le champ de l'agriculture, l'usage libre et gratuit des graines ne sera bientôt plus qu'un doux souvenir rappelant des méthodes paysannes d'un autre temps. Surnommées "semences de ferme", ces graines étaient jusqu'alors sélectionnées par les agriculteurs au sein de leurs propres récoltes et replantées l'année suivante. Depuis plusieurs décennies, ces pratiques n'allaient déjà plus de soi lorsque ces semences étaient protégées par un Certificat d'obtention végétale (COV) – à savoir le droit de propriété des "obtenteurs" de l'espèce. Ressemer ces graines était théoriquement interdit. Mais cet usage demeurait, dans les faits, largement toléré en France. "Sur les quelque 5 000 variétés de plantes cultivées dans le commerce, 1 600 sont protégées par un COV. Ce qui change Depuis 2001, cette taxe est appliquée pour une seule espèce : le blé tendre. Vers une privatisation des semences ? Vers une perte de biodiversité ?
L’antithèse des centres commerciaux : un supermarché bio à basse consommation d’énergie soutenu par la finance solidaire Située à 50 kilomètres à l’ouest de Paris, entre Epône et Mantes-la-ville, la biocoop du Mantois est l’un des premiers bâtiments commerciaux vraiment écolos d’île-de-France. Solidement isolée, la construction récupère l’eau de pluie, et produit de l’électricité via des panneaux solaires posés sur une toiture joliment végétalisée. Pour réunir la somme nécessaire à la mise en place de cet ambitieux projet, les consommateurs ont été sollicités pour participer au financement. Sortie de terre en 2011, la biocoop du Mantois, à Épône, dans les Yvelines est l’un des premiers bâtiments commerciaux basse consommation (BBC) de la région Ile-de-France [1]. 25% du projet financé par les citoyens « Nous étions trop à l’étroit dans les locaux précédents, que nous avions achetés en société civile immobilière avec une libraire, décrit Benoît Delmotte. « La toiture végétalisée permet d’avoir une très bonne isolation thermique, détaille Benoît Delmotte. Placer son argent pour faire vivre des idées
Le Plan Régional de Prévention et de Gestion des Déchets (PRPGD) Déchets © Région Nouvelle-Aquitaine Françoise Roch Publié 30 mai 2017 La loi NOTRe donne à la Région une compétence en matière de déchets et d’économie circulaire. Celle-ci constitue une opportunité pour la Région de définir un cadre stratégique favorable à un développement économique et social. Coordonner les actions entreprises par l’ensemble des parties prenantes concernées par la prévention et la gestion des déchets Cette procédure de planification a pour but d’encadrer l’action des différents acteurs locaux en charge de la prévention, de la collecte et du traitement des déchets. Pour autant, cet exercice de planification ne doit pas se résumer à une simple déclinaison des objectifs nationaux ou à un exercice de recensement des actions et activités existantes sur le territoire. Le contenu du PRPGD Le Plan Régional de Prévention et de Gestion des Déchets (PRPGD), élaboré sous la responsabilité de la Région, comprend : A cet effet, il va regrouper : Le calendrier régional
Stop au gaspillage alimentaire ! En France, plus de 7 millions de tonnes de déchets alimentaires sont jetés tout au long de la chaîne alimentaire. Pour mobiliser l’ensemble des acteurs, l’État, dans le cadre du Pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire a instauré, en 2013, une journée nationale de lutte contre le gaspillage alimentaire fixée le 16 octobre. 20 à 30 kg de nourriture jetés par an et par foyer. Au total, les déchets alimentaires représentent chaque année en France près d’ 1,2 million de tonnes. Objectif : réduire de moitié le gaspillage alimentaire en France à l’horizon 2025 Face à ce constat, un pacte « Anti gaspi » a été lancé en juin 2013 par le ministère délégué à l’Agroalimentaire. La réduction des déchets est aussi une des mesures phares du projet de loi relatif à la transition énergétique pour la croissance verte adoptée par l’Assemblée nationale le 14 octobre. > Renseignez-vous sur les manifestations proposées près de chez vous > Suivez-nous sur les réseaux sociaux avec #antigaspi
theconversation Au cas où vous auriez oublié vos cours de biologie sur la chaîne alimentaire, voici de quoi vous rafraîchir la mémoire. Les plantes constituent la base de toute chaîne alimentaire. Elles utilisent la lumière pour transformer l’eau contenue dans le sol, ainsi que le dioxyde de carbone contenu dans l’air, en glucose qui leur procure leur énergie vitale. À la différence des plantes, les animaux ne peuvent synthétiser leur propre nourriture. Ils survivent en se nourrissant de végétaux ou d’autres animaux. C’est l’évidence même : les animaux mangent des plantes. À méditer ! Je fais ici une pause, le temps que les cris d’indignation des biologistes et des végétariens baissent d’un ton. Selon cette propriété transitionnelle, si un élément d’une séquence se rapporte d’une certaine façon à un second élément, et que celui-ci se rapporte de la même façon à un troisième, alors le premier et le troisième éléments sont également reliés de cette manière. Vous ne me croyez pas ? Pour les sceptiques
COP24 : cinq recettes pour nourrir le monde sans détruire la planète L'ampleur du défi a déjà été relevée à plusieurs reprises : pour répondre à la demande des 10 milliards de personnes qui habiteront la Terre en 2050 (contre 7 milliards en 2010), l'offre de nourriture devrait augmenter de plus de 50%, et celle d'aliments d'origine animale même de 70%. Or aujourd'hui, alors que la faim dans le monde est loin d'avoir été éradiquée, l'agriculture est à l'origine d'un quart des émissions à effet de serre mondiales. Aussi, elle est gravement menacée par le changement climatique, puisque la sécheresse, les inondations et la montée des eaux rétrécissent les terres arables. Tout d'abord un écart "alimentaire" : celui entre la quantité de nourriture produite en 2010 et celle "probablement" nécessaire en 2050, puisque le WRI estime que la quantité de calories produites devra augmenter de 56%. Des régimes davantage végétariens parmi les 22 solutions L'étude résume ces solutions en cinq "recettes". Augmenter les rendements des cultures, un enjeu fondamental
Oui, l’agriculture biologique peut nourrir la planète Tribune Lorsque est abordée la question, essentielle, de la lutte contre la faim dans le monde, il est fréquent d’entendre dire que l’agriculture biologique présente des limites à cause de ses rendements inférieurs à ceux de l’agriculture conventionnelle, prétendument démontrés par plusieurs « études scientifiques ». Or ce poncif est faux et trompeur et témoigne d’une approche scientifique archaïque. Des comparaisons biaisées Les études académiques généralement citées pour comparer les rendements en agriculture biologique et en agriculture conventionnelle présentent deux points communs qui ne sont pas anodins : elles sont réalisées en milieux tempérés (Europe et Amérique du Nord) ; leur méthodologie est caricaturalement réductionniste. Making of Une première version de ce texte a été publiée sur le blog Changeons d’agriculture. Le premier aspect devrait inciter tout agronome compétent à en parler avec d’immenses précautions. Le deuxième aspect est essentiel. Comment disqualifier la bio