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Jacques Derrida

Jacques Derrida
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Derrida. Jacques Derrida Philosophe français Philosophie contemporaine Jacques Derrida, né Jackie Derrida le à El Biar (Algérie), et mort le à Paris, est un philosophe français qui a créé puis développé la notion de déconstruction. Toute son œuvre consiste à interroger les couples d'oppositions telles que parole et écriture dans la linguistique, raison et folie dans la psychanalyse, sens propre et sens figuré dans la littérature, hostilité et hospitalité, masculin et féminin dans la théorie des genres ; oppositions qui correspondent au couple ontologique premier, sensible et intelligible, et ses multiples déclinaisons : intérieur et extérieur, rationnel et irrationnel, sens et non-sens, fondateur et fondé. En 2007, Derrida était considéré par The Times Higher Education Guide[1] comme le troisième auteur le plus cité dans les ouvrages de sciences humaines de l’année. Biographie[modifier | modifier le code]

Jean-Pierre Dupuy Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Dupuy. Jean-Pierre Dupuy Philosophe Époque Contemporaine Jean-Pierre Dupuy (né le 20 février 1941) est un ingénieur, épistémologue et philosophe français. Il est membre de l'Académie des technologies et de l'Académie catholique de France (il admire les valeurs du christianisme, mais n'est cependant pas croyant[2]). Biographie[modifier | modifier le code] Jean-Pierre Dupuy a contribué à introduire et diffuser en France la pensée d'Ivan Illich, qu'il a rencontré chaque année de 1974 à 1979 au Mexique au CIDOC de Cuernavaca, mais aussi celles de René Girard, de John Rawls et de Günther Anders. Il reçoit le prix Roger Caillois de l'essai 2011. Sa pensée[modifier | modifier le code] Le Sacrifice et l'envie (1992) fait référence aux deux obsessions de toute théorie moderne de la justice. Dans Pour un catastrophisme éclairé (2002), Jean-Pierre Dupuy part d'un constat : le seuil a été franchi.

Déconstruction Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l'approche architecturale, voir Déconstructivisme La déconstruction est une méthode, voire une école, de la philosophie contemporaine. Cette pratique d'analyse textuelle s'exerce sur de nombreux types d'écrits (philosophie, littérature, journaux), pour révéler les décalages et confusions de sens qu'ils font apparaître par une lecture centrée sur les postulats sous-entendus et les omissions dévoilés par le texte lui-même. Ce concept, participant à la fois de la philosophie et de la littérature, a eu un grand écho aux États-Unis, où il est assimilé à la philosophie postmoderne, et plus globalement à l'approche divergente de la philosophie continentale d'Europe. Si le terme « déconstruction » a d'abord été utilisé par Heidegger, c'est l'œuvre de Derrida qui en a systématisé l'usage et théorisé la pratique. Historique de la notion de déconstruction[modifier | modifier le code] La déconstruction chez Heidegger[modifier | modifier le code]

Paul Ariès Paul Ariès en 2008. Biographie[modifier | modifier le code] Paul Ariès naît en 1959 à Lyon dans une famille de gauche, laïque. Il fait des études de droit public, économie et science politique[1]. Après un DEA de sociologie, il a soutenu sa thèse de doctorat en science politique à l'université Lyon 2 en 1987 sur le thème La production d'un groupe syndical : la CGT des hospices civils de Lyon, 1947-1971[2]. Après avoir enseigné l'économie-gestion à l'université Jean-Moulin-Lyon-III, il enseigne le droit public, le droit comparé (à l'université Lumière, puis entre au sein de l'Institut du travail (ITFS) en tant que responsable de la formation des syndicalistes). Paul Ariès a fondé en 1980 avec Daniel Grillon, Vincent Rougerie et Frédéric Béraud le Centre lyonnais de documentation sociale (CLYDS), devenu le Conservatoire de la Mémoire Militante (C2M) dont la totalité des archives sont déposées depuis 2017 aux ADRML. Travail sur les dérives sectaires[modifier | modifier le code]

[Le Contemporain] - [( Scripteur - Susuke : J'ai longtemps cherché une formule pour caractériser cette époque, mais je n'ai rien trouvé d'autre que cette façon particulière de l'écrire, le Contemporain, avec une majuscule, comme si cette majuscule un peu ridicule lui donnait une quelconque dignité ou personnalité, ou comme si elle nous rassurait ou nous facilitait la tâche. Mais s'il faut vraiment définir le Contemporain autrement qu'en termes d'actualité, de présence ou d'instantanéité, que peut-on en dire? Propositions [Le Contemporain (Ctp) n'est pas une époque, c'est le discours que nous tenons sur nous-même] [Nous vivons l'époque où un processus d'"hominescence" redéfinit l'humain] [Notre époque est celle où l'on valorise l'hétérogène, ce qui échappe à la structure] [La discordance est devenue la norme] [L'espace contemporain est le recollement d'un monde disjoint, désajointé, bifide] [Le moderne a toujours été double, il est la duplicité même] [Le postmoderne, né avec le moderne, est sa continuation et son exténuation]

Philosophie, littérature et cinéma

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