Oeuvres. L’histoire de la haute couture en chiffres. Pour la toute première fois de son histoire, la Fashion Week haute couture avait lieu en ligne pour la saison automne-hiver 2020-2021, en juillet dernier, afin de respecter les règles de distanciation sociale et les restrictions sur les déplacements.
Les défilés de la Fashion Week, la plus ancienne et la plus admirée de toutes, ont transporté les spectateurs sur la Lune (avec le défilé Chanel automne-hiver 2017, pour lequel le Grand Palais a été transformé en station spatiale) et les ont fait voyager 3500 ans en arrière (avec la collection printemps-été 2004 de John Galliano inspirée de l’Egypte antique).
Qu’est-ce que la haute couture ? Née vers la fin du 19ème siècle à Paris, la haute couture désigne la mode d’excellence et de la plus haute qualité. Bob Ross vous apprend à peindre et… à bien dormir. 1.
Ses cheveux n’étaient pas naturels Non, Bob Ross ne portait pas de perruque, mais il n’avait pas les cheveux naturellement frisés. Au début de sa carrière, Bob gagnait tellement peu d’argent qu’il avait décidé d’épargner ses précieux deniers en réduisant ses passages chez le coiffeur. Il a donc tout naturellement opté pour une permanente, une coiffure qui demande peu d’entretien. Le reste, c’est de l’histoire ! 2. Pour chaque émission, le présentateur pouvait recevoir jusqu’à 200 lettres de téléspectateurs. 3.
Avant de devenir peintre, Bob Ross était sergent instructeur dans l’armée américaine. 4. Bob Ross n’a pas touché un seul centime pour son émission télévisée. 5. Si vous désirez accrocher une véritable peinture de Bob Ross chez vous, vous devrez jouer les détectives ! 6. Le programme The Joy of Painting compte 31 saisons, chacune comptabilisant 13 épisodes. 7. 8. Voilà vous savez tout à propos de Bob Ross. Albrecht Dürer (1471 - 1528) - Le visionnaire mélancolique. En 1505, désormais auréolé du statut de plus grand artiste allemand, Dürer laisse de côté la gravure pour s'adonner à la peinture, créant notamment pour les marchands allemands une étonnante Vierge de la fête du Rosaire (1506) qui rassemble les portraits du pape Alexandre VI Borgia et de l'empereur Maximilien Ier.
L'année 1512 le voit resserrer ses liens avec Maximilien Ier qui souhaite donner une réputation artistique à sa bonne ville d'Innsbruck. Comme Lucas Cranach, Dürer s'attelle à la tache en s'adonnant à la réalisation de dessins pour un Livre d'heures (1515), travail qui l'oblige à multiplier avec plaisir les études d'animaux. Mais en 1519 l'empereur meurt et Dürer doit aller aux Pays-Bas rencontrer son successeur, Charles Quint, pour faire renouveler sa pension.
Il faut bien vivre ! Habile boutiquier, il en profite pour diffuser sur son chemin quelques-unes de ses gravures qui vont lui servir de publicité. . « Un véritable trait de lumière » L'homme inquiet Un rêve prémonitoire. Les Primitifs Flamands (Renaissance nordique) Les historiens d’art du XXe siècle ont crée le terme de « primitifs » pour désigner les artistes qui ont précédé et préparé la Renaissance.
Contemporains des peintres italiens du Quattrocento, parfois désignés comme des peintres du gothique tardif ou parallèlement de la Première Renaissance. Ainsi, ce sont des peintres de la transition entre ces deux « époques » picturales : le gothique international et la Renaissance. Cette période des primitifs flamands fut également baptisée « ars nova » ou (Renaissance nordique). Ils ont assimilé les leçons de perspective géométrique mais restent fidèles au sujet gothique dans les formes grêles et élancées des personnages, la rareté du nu, et les architectures inspirées de celles du nord de l’Europe. Trois maîtres de l’Ars Nova Les premières bases de cet art flamand (néerlandais) furent donc entreprises par Robert Campin, ses perspectives étaient nettement moins parfaites que celles d’un Van Eyck, par exemple.
Contexte historique L’art du portrait. Alphonse Mucha: l’Art Nouveau est arrivé ! Si la simple évocation du nom de Mucha ne vous donne pas envie de siroter un verre d’absinthe en terrasse d’un bistrot à Montmartre par un bel après-midi de printemps, c’est que vous ne connaissez sûrement pas le monsieur.
Alphonse Mucha est né en République tchèque en 1860, déjà doté d’un solide instinct artistique puisqu’il se mit au dessin dès le plus jeune âge. Comme tous les enfants me direz-vous, mais de la part du fils d’un huissier de justice, c’est tout de même pas mal. Refusé par l’Académie des Beaux-Arts de Prague (quel don pour dénicher les talents !) , le voici qui arrive à Paris en 1887 pour rejoindre l’Académie Julian et se lancer dans la réalisation d’affiches publicitaires et d’illustrations de magazines. Un hasard des plus complets le fait travailler sur une affiche de la célèbre actrice Sarah Bernhardt, qui plut tellement à cette dernière qu’elle engagea Mucha pour un contrat de 6 ans.
Image de couverture: Rêverie, 1897. Like this: