1. Sensibilité et raison. Exercice.Rousseau. 1. Sensibilité et raison. Rousseau. Reprise. 1. Sensibilité et raison. Synthèse. Rousseau, sensibilité et communication docel. 2. Bergson sensibilité et communication. 3. sensibilité morale. Maëla philo synthes. 3. sensibilité esthétique. 4. Sensibilité CCL. Baudelaire : "Ne méprisez la sensibilité de personne ; la sensibilité de chacun, c’est son génie" Quelle place pour la sensibilité dans la morale ? - Ép. 4/4 - Critique de la raison pratique de Kant. Selon notre invité François Calori, nous avons l’habitude de présenter Emmanuel Kant comme un « penseur sec », un penseur de l’abstrait qui ne fonderait sa philosophie que sur un idéal de raison déconnecté de toute réalité empirique, ennemi des passions et de la sensibilité.
Pourtant, Kant s’inscrit pleinement dans son époque, le courant des Lumières du XVIIIème siècle qui voit se développer un fort sentimentalisme… Emmanuel Kant se situe ainsi parmi les penseurs de la bienveillance comme Rousseau en France ou Hutcheson ou Adam Smith dans le monde anglo-saxon. La pitié ou la sympathie, par exemple, deviennent des voies d’accès à une morale sensitive… Mais alors, comment penser un sentiment moral quand la moralité apparaît du côté de la raison, et le sentiment du côté de l’affect et des sens ? L'invité du jour : François Calori, maître de conférences à l'UFR de philosophie de l'Université Rennes 1. La notion de respect pour Kant Le XVIIIème : le siècle de l’invention du sentiment. La vie sensible. Dans cet essai dense et limpide, savant et profond, érudit mais sans lourdeur aucune, Emanuele Coccia s'interroge sur la sensibilité, sur la vie sensible.
«Être sensible», «être trop sensible», «heurter la sensibilité de quelqu'un» - nous avons souvent recours à ces expressions pour définir ce qui nous plaît, ce qui nous touche, ce qui nous affecte. Nous sommes sensibles et cette sensibilité est le commerce que nous entretenons avec la vie même. Mais si la sensibilité est si évidemment présente en nous, si elle est l'évidence même, si nous cherchons, par tous les moyens, à jouir d'elle et à jouir avec elle, comment se fait-il que la philosophie lui ait comme tourné le dos ? Comment se fait-il même qu'elle y ait vu ce dont nous devions nous détourner ? Ce livre est donc en premier lieu une réhabilitation de la sensibilité. Georges Vigarello - Le sentiment de soi. Comment le corps est-il devenu un sujet ? - Ép. 1/4 - Histoire des sensibilités. Dans la première partie, c'est Robert Darnton, spécialiste de la censure et particulièrement de chansons cryptiques qui attaquaient le pouvoir.
Il parle des petits billets séditieux qui circulaient dans la cours française, souvent écrit sous forme de chansons. Et c'est de tout particulièrement de "l'affaire des 14" qu'il raconte une enquête policière du XVIIIème siècle pour remonter la trace des l'auteurs d'un vers. J'y vois l'aspect contestataire français, drôle, très salé, un peu grivois... J'adore ces poèmes qui était des succès des médias de l'époque ! Et qui nous permet de suivre l'évolution de la vision des événements par le peuple.
Georges Vigarello est l'invité de la seconde partie et parle de la généalogie de l'idée, aujourd'hui commune, qu'on peut résumer par : "je sens, donc je suis". Aux origines du sentiment de soi - Ép. 1/4 - La valeur du corps. Bac Philo 2015, 2ème session (2/4) : Explication : Emmanuel Levinas, "Ethique et infini" Préparez l'épreuve de philosophie avec les Nouveaux Chemins !
Toute la semaine, des professeurs de terminale corrigent sujets de dissertation et explications de texte en compagnie d'Adèle Van Reeth. Aujourd'hui, explication d'un extrait d'Éthique et infini d'Emmanuel Levinas, avec Sébastien Labrusse, professeur au lycée Marie Curie de Versailles. "Je pense […] que l’accès au visage est d’emblée éthique.
C’est lorsque vous voyez un nez, des yeux, un front, un menton, et que vous pouvez les décrire, que vous vous tournez vers autrui comme vers un objet. La meilleure manière de rencontrer autrui, c’est de ne pas même remarquer la couleur de ses yeux ! Il y a d’abord la droiture même du visage, son exposition droite, sans défense. Le visage est signification, et signification sans contexte. Emmanuel Lévinas (1906-1995), Ethique et infini (1982). Dans un extrait de Ethique et infini , Emmanuel Lévinas s’interroge sur le sens de la relation avec autrui. Annexes: