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Ziadi98

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Envoyez balader vos employés. Stress, démotivation au travail : passer d’un cercle vicieux à un cercle vertueux ! Par Philippe Rodet - Focus RH. En parallèle, entre 2013 et 2014, selon la CEGOS, le pourcentage de collaborateurs démotivés est passé de 40 à 52%. Cette démotivation s’illustre aussi au travers d’une enquête de l’IFOP conduite en 2014, elle montre que 56% des français considère que le travail est « une contrainte nécessaire pour subvenir à ses besoins » alors qu’ils étaient 49% à exprimer cette perception en 2006.

La nette démotivation que nous constatons est en grande partie liée à deux mécanismes biologiques : - D'une part, une baisse de l’activité de l’acétylcholine lorsque le stress augmente. Dans un article intitulé « Biologie de la motivation », des chercheurs[1] abordent le rôle joué par l’acétylcholine dans la motivation. Or, le stress provoque un déséquilibre des systèmes nerveux sympathique et parasympathique[2] au bénéfice du système nerveux sympathique. Le taux d’acétylcholine, neuromédiateur typique du système parasympathique, diminue donc rendant la motivation biologiquement difficile. [3] Lawrence S. Même malades, vous allez travailler. (SW) - Une première étude sur le présentéisme au travail a été menée au Luxembourg.

Près de 80% des salariés interrogés affirment venir au travail même s'ils sont malades. L'enquête a été réalisée en 2013 auprès de salariés du secteur privé travaillant au Luxembourg. Que ce soit des salariés qualifiés ou non qualifiés, la réponse est la même: peu importe la maladie, la plupart d'entre eux se rendent tout de même au travail.

Mais pourquoi ce choix? L'étude souligne que c'est par crainte pour son emploi et/ou son évolution de carrière au sein de son entreprise. Autre conclusion dressée par cette enquête au Grand-Duché, le recours souvent fréquent de combiner des absences et des présences durant sa maladie. Le fait que 80% des salariés sondés viennent travailler malgré leur maladie peut sembler être un point positif pour l'entreprise: inutile de trouver un remplaçant pour l'employé malade, moins de charges etc. L'alcool et la drogue de plus en plus répandus au travail. L’humain et le relationnel dans l’entreprise - Courrier cadres. Entreprise Tribune – La dimension relationnelle est de plus en plus présente dans la législation sur la sécurité, la santé, l’égalité, la non-discrimination, le harcèlement, le stress au travail.

Cela devient d’autant plus important que le législateur a intégré dans le traitement de ces questions une forte obligation en matière de prévention. Cette évolution n’est pas sans créer de la confusion sur les rôles des uns et des autres dans l’entreprise. Par Jean-Louis Lascoux, Henri Sendros-Mila et Fabien Eon, auteurs de “Pratique de l’ingénierie relationnelle – La médiation professionnelle au service des entreprises” La responsabilisation croissante de l’employeur s’accompagne d’une déresponsabilisation symétrique du salarié. Les enjeux pour l’entreprise Il existe deux approches de l’humain au travail. La survie en jeu.

Stress, technologie et productivité au travail. Mardi 29 Novembre 2016 Nombreux sont les facteurs de stress au travail, tels qu’un responsable voulant gérer les moindres détails ou un collègue énervant. La dernière chose dont les employés ont besoin, quel que soit leur secteur d’activité, est un surcroît de stress, explique Lieven Bertier, responsable produits, Barco. Très souvent, celui-ci est provoqué par la technologie, pourtant censée nous faciliter la vie. Qu’il s’agisse de problèmes de compatibilité, de travail nomade, de connectique ou de dysfonctionnement d’équipements, cela engendre de l’insatisfaction au travail et peut souvent contribuer au non-respect des délais, à la perte de marchés voire à une démotivation. Alors, que faire pour sortir le stress de l’équation ? La vente, par exemple, est un environnement sous pression, axé sur des objectifs chiffrés, où l’on attend des commerciaux qu’ils apportent des affaires et fassent signer des contrats.

Les 10 derniers articles. Vie pro : 10 astuces pour combattre le stress. Que l'on apprécie son travail ou non, la vie professionnelle est souvent synonyme de stress. Pour ne pas le laisser nous envahir et bousiller nos journées entre collègues, voici un florilège de combines pour se détendre au bureau. D'après Andrew Filev, CEO et fondateur de Wrike, gestionnaire de projets sur Internet, il existe divers moyens de contrer le stress au boulot. Découvrez les 10 astuces pour se relaxer au travail : 1 - Faire un tour sur Youtube Vous avez toujours culpabilisé de vous laisser aller 5 petites minutes devant une vidéo de chats maladroits ou de chutes à gogo ? Il est grand temps d'arrêter. Si le rire n'a jamais fait de mal à personne, il réduit la tension artérielle, propage les endorphines, hormones du bonheur, dans votre cerveau et détend vos muscles. 2 - Téléphoner à un ami (pas à Jean-Pierre Foucault) Avant une réunion ou un rendez-vous important avec un gros client, appelez un proche.

Santé - L'activité physique réduirait les effets secondaires liés au stress du travail. Des chercheurs suisses et suédois, respectivement des universités de Bâle et de Göteborg, ont publié début novembre, au sein de la revue Medicine and Science in Sports and Exercise, une étude dans laquelle ils assurent que les personnes stressées par le travail, et qui pratiquent une activité physique régulière, seraient moins soumises aux effets secondaires de ce stress au travail. Pour en arriver à ce résultat, ils se sont intéressés à 200 salariés, tous âgés de 39 ans en moyenne. Tous les candidats (plus ou moins stressés) se sont soumis à un test physique, avant d'enchaîner avec une analyse des facteurs de risques de maladies cardio-vasculaires (pression artérielle, indice de masse corporelle ou encore taux de triglycérides), pour finir avec une série de questions sur les niveaux de stress qu'ils subissaient au travail.

Le taux de cholestérol comme indicateur. 3 conseils pour éviter les conflits au bureau. Au travail, le bonheur est rentable. D'après une étude menée par l'unité de recherche de l'université de Warwick, être heureux augmenterait notre productivité de 12%. Et c'est logique : un employé qui travaille dans une équipe soudée et un environnement sain aura tendance à être plus motivé et moins stressé. Non seulement le bonheur augmente notre productivité, mais il joue également sur la qualité de notre travail. Quand la bonne entente règne dans un open-space, les salariés sont plus confiants, et cela va les pousser à échanger davantage les uns avec les autres, mais aussi à oser plus, à proposer des idées un peu plus anticonformistes : c'est un véritable moteur d'innovation.

Etre heureux au travail est donc un véritable atout pour mieux réussir. Mais un environnement toxique rajoute à cela un stress inutile qui peut nous coûter cher, à force de pomper notre énergie, notre temps et notre motivation. Stress et burn-out : prévention et prise en charge par l’employeur. Le stress, le mal-être, la souffrance au travail peuvent être à l’origine de « pathologies psychiques », telles que le syndrome d’épuisement professionnel également appelé burn-out. S’il n’existe pas de recette de management « anti-stress », l’employeur doit s’interroger sur les causes et identifier les actions nécessaires à mettre en place pour diminuer les risques.

Le burn-out peut être défini comme un état d’épuisement physique, émotionnel et mental, lié aux situations de travail. Selon l’OMS, il se caractérise par « un sentiment de fatigue intense, de perte de contrôle et d’incapacité à aboutir à des résultats concrets au travail ». L’employeur est tenu d’assurer la sécurité et la protection de la santé des salariés (article L.4121-1 du Code du travail). Il s’agit pour l’employeur d’une obligation de sécurité de résultat.

Un phénomène même isolé d’un salarié en situation de burn-out, peut être révélateur d’une problématique collective. L’employeur doit donc : 1. 2. 3.