Ticket de métro à quatre euros : la bourde de NKM qui déchaîne la Toile. Nathalie Kosciusko-Morizet n'est ni la première personnalité politique ni probablement la dernière, qui, interrogée sur le prix d'un bien ou d'un service de consommation courante, se trompe et de beaucoup. En l'occurrence sur le prix du ticket de métro. Certes, NKM, devenue porte-parole du candidat Sarkozy à la présidentielle, n'est plus au gouvernement depuis jeudi, mais elle était la veille encore ministre de l'Ecologie, du Développement durable… et des Transports !
On aurait pu imaginer qu'avec de telles fonctions, elle soit un minimum au courant. He bien non. La colle lui a été posée vendredi soir par un auditeur d'Europe 1, un certain Antonin qui demandait, non sans malice : "Vous qui êtes la porte-parole du candidat du peuple, pouvez-vous nous dire combien coûte un ticket de métro ? ", sans préciser dans quelle ville. "Mea culpa", a-t-elle finalement conclu, reconnaissant que cela faisait "bien longtemps" qu'elle n'avait pas acheté un ticket.
Les vaccins contre la grippe A bientôt tous détruits. Hortefeux Public Sénat diffuse l'intégralité du dérapage d'Hortefeux. LipDub 2010 - Officiel - une vidéo Actu et Politique. De Tarnac à Tunis, tombeau pour une ministre. Chère Michèle-Yvette-Marie-Thérèse Alliot-Marie Ce qui vous arrive est injuste. Rien n’est pire que de tomber pour une faute qu’on ne peut reconnaître. Car qu’avez-vous fait d’autre, dans cette excursion tunisienne, que ce que font depuis toujours tous vos petits camarades ? Et si l’on vous fait expier l’infamie cette fois trop visible de la politique étrangère de la France, que va-t-on faire de vos infamies passées, tellement plus notables ? Je suis né la même année que vous, en Algérie, d’un père militaire puis ouvrier.
On vous reproche aujourd’hui votre compromission avec un dictateur tunisien. Si l’on vous sacrifie, c’est en un sens pour sauver le grand aveuglement français d’après-guerre : l’aveuglement quant à la nature du gaullisme. Dans les années 1940, Jacques Baumel s’occupait de financer le Rassemblement du peuple français (RPF). Quand je le lis, j’ai l’impression d’entendre Raymond Marcellin.