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Propagande de Guerre

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Le mythe de la bonne guerre. Epouvantails, autruches et perroquets. Timisoara bis : le faux charnier d’Abu Salim (Libye) 2 octobre 2011 Article en PDF : Le faux charnier de Timisoara, Roumanie, 1989. Les fosses communes virtuelles des côtes de Tripoli avaient déjà très bien fonctionné en février dernier : avec une vidéo et quelques photos, le site internet américain One day on Earth avait fait passer comme telles la remise à neuf d’un cimetière en août dernier. Tout le monde y a cru, et même si la tromperie fut dévoilée quelques jours plus tard, qui l’a remarqué ?

Persistent encore dans les esprits « les fosses creusées à la hâte par les miliciens de Kadhafi » pour cacher une partie des « dix mille morts et cinquante mille blessés parmi les manifestants ». Le chiffre est tiré d’un twitter de la chaine saoudienne Al Arabiya du 22 février, dont la source est un soi-disant membre libyen de la Cour Pénale Internationale, laquelle le désavouait le jour suivant.

Ainsi que l’a enseigné la propagande nazie, dire d’énormes mensonges et les répéter comme un disque rayé paie ; les démentis ne sont plus entendus. La mission secrète des médias dominants. Après avoir moussé la propagande de guerre contre la Libye de Mouammar Kadhafi, les médias dominants occidentaux feignent désormais la neutralité en « révélant » des faits ayant déjà été l’objet de nombreux reportages dans la presse alternative dès le début des combats l’an dernier : les pays de l’OTAN ont armé l’insurrection en Libye, assurant ainsi leur victoire, et les bombardements de l’Alliance ont tué des civils.

Le New York Times constitue LA référence médiatique occidentale. Pourtant, le quotidien est tristement célèbre pour avoir eu des liens étroits avec la CIA. En octobre 1977, Carl Bernstein écrivait dans le Rolling Stone : « De toutes ces associations [avec la CIA], les plus précieuses étaient de loin celles avec le New York Times, CBS et Time Inc. » (Carl Bernstein, The CIA And The Media. How Americas Most Powerful News Media Worked Hand in Glove with the Central Intelligence Agency and Why the Church Committee Covered It Up, Rolling Stone, 20 octobre 1977.) Opération Hollywood 1/2.

Opération Hollywood 2/2. Il y a vingt ans, le faux charnier de Timisoara. En décembre 1989, à la veille du réveillon de Noël, alors qu’en Roumanie tombait la dictature de Nicolae Ceausescu, les téléspectateurs occidentaux découvraient avec horreur les images d’un charnier où, affirmaient les envoyés spéciaux, gisaient des corps affreusement torturés. On parlait alors de quatre mille morts pour la seule ville de Timisoara. L’émotion soulevée était immense ; les éditoriaux solennels et les appels à l’action se multipliaient. En fin de compte, il s’avéra que les cadavres exhibés devant les caméras avaient été déterrés dans le cimetière des pauvres.

Partisans de Ceausescu compris, la « révolution roumaine » avait fait quelque sept cents morts – moins de cent à Timisoara. Le bilan de l’attaque américaine au Panamá, qui s’était déroulée au même moment dans l’indifférence générale, s’élevait à près de deux mille morts… L’affaire de Timisoara devait jeter le discrédit sur des médias qui, jusqu’alors, bénéficiaient de la confiance de leur public. Comment la CIA pénètre nos médias. par Maxime VIVAS. Est-il permis, sans se voir clouer au pilori des « conspirationnistes », de dire que les consommateurs de la « grande » presse française devraient réfléchir à ce qu’ils vont lire ici ? Que sait-on (de sources sûres) de l’infiltration de nos médias par la CIA ? Prenons le cas d’une richissime ONG que j’ai étudiée de près depuis quelques années et qui inonde les médias français d’un millier de communiqués par an, informations qui seront reprises, souvent sous forme de coupé-collé. Ainsi va se façonner l’opinion française, rendue méfiante à l’égard des pays dont les choix politico-économiques dérangent l’Oncle Sam.

Mais d’abord, laissons la parole à des témoins peu suspects d’imprégnation marxiste : « La CIA contrôle tous ceux qui ont une importance dans les principaux médias. » William Colby, ancien directeur de la CIA. Et enfin un mot du journaliste New Yorkais John Swinton qui, le 25 septembre 1880, refusa de porter un toast à la liberté de la presse et s’en expliqua ainsi : Maxime Vivas. Manipulation sur la guerre en Irak. Propagande de guerre propagande de paix. Vendre la guerre aux Américains 1/4. Vendre la guerre aux Américains 2/4. Vendre la guerre aux Americains 3/4. Vendre la guerre aux Americains 4/4. Affaire des couveuses au Koweït - guerre du Golf 1990. Affaire des couveuses au Koweït. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’affaire des couveuses au Koweït désigne le scandale du faux témoignage fait le , lors de l'invasion du Koweït par les forces armées irakiennes de Saddam Hussein, qui alléguait d'atrocités commises contre des nouveau-nés koweïtiens.

Le témoignage se révèlera être mensonger et avoir servi à favoriser l'entrée en guerre des Occidentaux. Description[modifier | modifier le code] Le 14 octobre 1990, une jeune femme koweïtienne, appelée par les médias « l'infirmière Nayirah », témoigne, les larmes aux yeux, devant une commission du Congrès des États-Unis. . « Monsieur le président, messieurs les membres de ce comité, je m'appelle Nayirah et je reviens du Koweït. En fait, ce témoignage était entièrement faux. La machination a fonctionné grâce à l'intervention de Lauri Fitz-Pegado, qui a convaincu les députés que l'identité n'était pas révélée pour protéger la famille de la jeune femme[4]. Voir aussi[modifier | modifier le code]