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Mythologie

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Les portes de l'enfer - (entier)

Pré - Islamique

ALMA_1998_56_1. Mythe d'Adapa. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ea, craignant pour la vie de son serviteur, lui explique la conduite qu'il devra tenir pour s'en sortir vivant : il doit d'abord amadouer les portiers d'Enlil pour s'attirer leur soutien, et refuser absolument tout ce que lui donnera à boire ou à manger Anu. Arrivé dans la demeure du dieu, Adapa s'attire la sympathie des portiers d'Anu, les dieux de la fertilité Dumuzi et Ningishzida, qui ne peuvent plus agir après la mort de Shutu, en leur expliquant qu'il vient prier pour leur retour sur Terre, puis, arrivé devant le roi des dieux, il se comporte comme dit, refuse ce qu'on lui donne, et est épargné par l'intervention des deux divinités.

Admiratif devant la clairvoyance d'Adapa, Anu lui offre alors une nourriture qui le rendra immortel. Fidèle à ce qu'Ea lui a dit, ce dernier refuse, et est immédiatement renvoyé sur Terre par Anu. Anunnaki. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sceau sumérien représentant les Anunnaki. Hiérarchie[modifier | modifier le code] Évolution dans le temps[modifier | modifier le code] Nous ne savons pas à quel moment ni pour quelle raison, la signification des termes Anunnaki et Igigi s'est inversée.

C'est ainsi que dans certains récits, Igigi désigne les dieux célestes et Anunnaki les divinités chthoniennes. Dans l'épopée de Gilgamesh, par exemple, les Anunnaki sont les juges des enfers. Nombre[modifier | modifier le code] Dans le récit de la création Babylonienne (l'Enuma Elish), le dieu Marduk qui succède à Enlil à la tête du panthéon, fixe le nombre des dieux à 600. Évocations dans les œuvres culturelles[modifier | modifier le code] Annunaki au cinéma et à la télévision[modifier | modifier le code] Dans la culture musicale[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Anunnaki, sur Wikidata.

Nephilim. Le passage de la Genèse où ils sont cités laisse entendre qu'ils sont, ou bien les « fils de Dieu », ou bien, selon une lecture plus largement répandue, le fruit de l'union entre « fils de Dieu » et filles des hommes. Ce passage de la Genèse précède l'épisode du Déluge et, si court soit-il, a donné lieu à diverses interprétations, souvent de caractère ésotérique. Les nephilims sont associés, par comparaison, à d'autres géants évoqués dans la Bible. Étymologie[modifier | modifier le code] Selon le dictionnaire Brown-Driver-Briggs, l'étymologie de base du mot « nephilim » est « incertaine », et les diverses interprétations suggérées sont « toutes très précaires »[1]. La majorité des versions anciennes de la Bible, incluant la Septante, Théodotion, la Vulgate, les traductions de la Bible Samaritaine, le Targum Onkelos et le Targum Neofiti, interprètent le mot comme signifiant « géants »[2].

Les nephilims avant le Déluge (Genèse 6:4)[modifier | modifier le code] — Genèse 6, 1-8 Le Lit d'Og. Nâga. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Naga. Le nāga (नाग ou serpent en sanskrit) est un être fabuleux de l'hindouisme, à corps de serpent habituellement représenté avec plusieurs têtes, souvent chimériques et effrayantes : capuchon de cobra, gueule de chien, yeux exorbités et parfois humains.

Dans les légendes de l'Inde et de tout le Sud-Est asiatique, les nâgas sont des habitants du monde souterrain où ils gardent jalousement les trésors de la terre. Ils ont pour ennemi naturel l'aigle géant Garuda, mais nâgas et Garuda ne sont en fait que deux incarnations de Vishnou, les deux aspects de la substance divine, en qui ils se réconcilient. Le nâga le plus célèbre est Ananta, sur lequel se repose Vishnou dans l'intervalle entre la fin d'un monde et la création d'un nouveau. Le Nagaraja, mot sanscrit formé de naga (« serpent ») et de raja (« roi »), désigne le Roi des Serpents. Le nâga dans l'art khmer[modifier | modifier le code] Nahash. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Mythologie du Proche-Orient ancien[modifier | modifier le code] Dans le Proche-Orient ancien, le serpent est fréquemment associé à des divinités, notamment pour conjurer les morsures de serpents.

Il est un symbole de protection et de santé. À Ougarit, le dieu Horon est invoqué pour repousser les serpents venimeux (nḥšm). Dans l'iconographie cananéenne, le serpent semble symboliser les forces du chaos combattues par le dieu guerrier. Bible hébraïque[modifier | modifier le code] Genèse[modifier | modifier le code] Adam, Ève et le serpent (femelle) à l'entrée de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Exode[modifier | modifier le code] Lors de la révélation liminaire de sa mission, Moïse se voit ordonner de jeter son bâton sur le sol pour constater que celui-ci se change en serpent.

Nombres[modifier | modifier le code] Le terme de Nahash intervient encore pour conjurer les attaques de créatures du désert : — Nombres, chap. 21 (en) R. Le serpent au paradis. Robert Graves, Benjamin Fondane. Au paradis, le serpent… Michel-Ange, chapelle Sixtine Dans un essai intitulé « Le paradis universel », publié en 1973 dans Difficult Questions, Easy Answers [Questions difficiles, réponses aisées], Robert Graves (1895-1985) déplore tout d’abord les limitations mentales que s’impose l’homme moderne en négligeant sa propre réalité physique et ses sens. « L’homme civilisé remarque un nuage doré et, au mieux, marmonne ‘cumulus’, ‘cirrus’ ou ‘queue de chat’, se demandant quel temps il annonce ; remarque une fleur et s’en détourne en reconnaissant sans s’y attarder à quelle variété elle appartient.

Genèse, 2, 8-10 (Traduction du Rabbinat) : L’Eternel-Dieu planta un jardin en Eden, vers l’Orient, et y plaça l’homme qu’il avait façonné. L’Eternel-Dieu fit surgir du sol toute espèce d’arbres, beaux à voir et propres à la nourriture ; et l’arbre de vie au milieu du jardin, avec l’arbre de la science du bien et du mal. Non seulement l’idéal objective et réifie, mais généralise. 1. . (1. Des mythes et des croyances: esquisse d'une théorie générale - Alain Testart. Sur les traces du serpent - Divin serpent. Omniprésent dans l'Egypte ancienne, le serpent y symbolise des forces contradictoires - tantôt obscures et maléfiques, tantôt bénéfiques et régénératrices.

Apophis (ou parfois Rerek), le dieu serpent, y symbolise les puissances du chaos, les forces du mal - c'est l'opposant par excellence de Rê, le dieu solaire, qui chaque nuit, doit résister à ses multiples assauts, puis le renverser, afin de permettre à la lumière de triompher des ténèbres. Au cours de son voyage sur la barque solaire, Osiris est abrité par le serpent Mehen. La régénération de Rê se fera lorsqu'il se sera uni à son propre corps - le cadavre d'Osiris, protégé par un triple serpent. Chapitre 7 Formule pour traverser le dos d'Apophis (le banc de sable), qui est le mal.

Dit l'Osiris N : O unique en cire qui enchaînes et entraînes à la destruction, vivant de ceux qui sont morts, je ne suis pas immobile (mort) pour toi; ton poison ne pénètre pas mes membres. Chapitre 33 Formule pour chasser tout reptile..