background preloader

Mohamed Merah

Facebook Twitter

LA VÉRITÉ DÉVOILER SUR L'AFFAIRE MERAH ( OU EST LA FRANCE DE JEANNE D'ARC ) Mohamed Merah travaillait pour les RG. Le 18 octobre 2007, Mohamed Merah faisait l'objet d'un contrôle routier aux abords d'un quartier de Toulouse. Au volant d'une BMW, le conducteur et son passager attiraient l'attention des gardiens de la paix Laurent S. et Agnès B., accompagnés de l'adjoint de sécurité Anthony C. Passé au fichier des personnes recherchées, le nom de Mohamed Merah apparaît en gras. Sur la note, 50600980 RG, il est indiqué "NE PAS ATTIRER L'ATTENTION. SÛRETÉ DE L'ÉTAT".

Les trois policiers se regardent, interloqués, mais poursuivent leur contrôle. "Dans ce cas de figure, les consignes sont claires : on fait comme si de rien n'était", explique un fonctionnaire de police. Ils prennent contact avec le service concerné, les renseignements généraux. La DCRI juge et partie Mise en cause depuis le début de l'affaire Merah, la DCRI n'existait pas en 2007. Expertise. Mohamed Merah - Les dessous de l'affaire, une vidéo de Rikiai. Comment le contre-espionnage a égaré la fiche de Merah. Bernard Squarcini, le chef de la Direction centrale du Renseignement intérieur (DCRI), est formel. Ses services n'auraient entendu parler de Mohamed Merah qu'en novembre 2010, et ce pour la première fois. Dans l'entretien accordé au journal "le Monde" après les tueries de Toulouse et de Montauban, le patron du contre-espionnage français a expliqué qu'"après un simple contrôle routier à Kandahar, en Afghanistan en novembre 2010 (...) la direction de la sécurité et de la protection de la défense nous a signalé l'incident".

Squarcini précise même qu'il n'y a aucun lien entre Merah et le démantèlement, fin 2006, à Artigat, à une soixantaine de kilomètres de Toulouse, d'une filière de combattants djihadistes en Irak. Pour lui, l'amitié entre Mohamed Merah et Sabri Essid, un Toulousain arrêté les armes à la main à la frontière syro-irakienne, tout comme le concubinage entre sa mère et le père d'Essid, n'en font pas un "activiste chevronné" qui aurait mérité d'être étroitement surveillé. Pourquoi Mohamed Merah aurait pu être un "indic" Merah : "Pourquoi vous me tuez ? Je suis innocent." L'avocate algérienne mandatée par le père de Mohamed Merah pour porter plainte contre le Raid (unité d'élite de la police française) a affirmé, dimanche à Alger, détenir des preuves de "la liquidation" du tueur de Toulouse. "Nous détenons deux vidéos identiques de 20 minutes chacune dans lesquelles Mohamed Merah dit aux policiers : Pourquoi vous me tuez ?

(...) Je suis innocent", a déclaré lors d'une conférence de presse Me Zahia Mokhtari, qui devrait se rendre en France dans les jours à venir pour déposer une plainte devant la justice française. "Des personnes au coeur de l'événement, et qui voulaient que la vérité éclate, m'ont remis ces vidéos", a ajouté l'avocate. Elle a précisé qu'elle en réservait la "divulgation" à la justice française et a insisté sur leur authenticité.

"Je suis un moudjahid, je veux mourir les armes à la main" Merah "avait demandé à parler à la presse" Affaire Merah : plainte du père d'un militaire tué contre Sarkozy. PARIS - Renseignement: tir de barrage de la droite contre la tentative d'audition s natoriale. PARIS - La tentative du Sénat de gauche, tuée dans l'oeuf par le gouvernement, d'auditionner les responsables du renseignement après les tueries de Mohamed Merah, a fait samedi l'objet d'un violent tir de barrage de la droite, François Fillon accusant le PS d'opération "illégale". Les ministres de la Défense et de l'Intérieur, Gérard Longuet et Claude Guéant, ont refusé vendredi ces auditions par la commission sénatoriale pour le contrôle de l'application des lois, ce qui avait aussitôt provoqué une vive réaction du président du Sénat, Jean-Pierre Bel (PS), contre ce "grave précédent", "mettant en cause les prérogatives constitutionnelles" de la haute assemblée.

Ces responsables, Erard Corbin de Mangoux, directeur général de la sécurité extérieure (DGSE) et Bernard Squarcini, directeur central du renseignement intérieur (DCRI) seront en revanche entendus le 4 avril par la délégation parlementaire au renseignement, dont les membres (4 députés, 4 sénateurs) sont tenus au secret. Mohamed Merah était-il un agent intérieur ? Nicolas Sarkozy tire profit de la tuerie de Toulouse et plaide pour un Nouvel ordre mondial. Alain Soral sur Mohamed Merah.

Attaques de Toulouse : la version officielle de la mort de Mohamed Merah est un mensonge. © MatrixPicturesBienvenue dans le Nouvel Ordre Mondial, où les fascistes en uniforme règnent en maîtres La version officielle du dénouement final du drame de Toulouse est, comme tant d'autres récits officiels concernant les « attaques terroristes islamiques », remplie d'incohérences, et quiconque aurait des velléités d'y croire devra faire une sacrée gymnastique mentale.

Mohamed Merah, Français de 23 ans d'origine algérienne, amateur de voitures, carrossier dans un garage automobile, avait voulu s'engager dans l'armée française pour « défendre le drapeau français » mais avait été rejeté, faisait la fête en boîte de nuit quelques semaines avant sa prétendue folie meurtrière, avait des antécédents de délits mineurs, et devait voir le juge en avril pour une histoire de conduite sans permis.

Il se serait aussi rendu en Israël, en Afghanistan et au Pakistan pour des raisons inconnues à ce jour - peut-être pour y subir un « endoctrinement idéologique ». © rtl.frAppartement Mohamed Merah / IDE. Mohamed Merah : suspect ou "indic", et la parole des sans-voix dans la campagne - La revue de presse. Au sommaire : toujours les suites de l'affaire Mohamed Merah avec une voix - critique - qu'on n'avait pas encore entendue, celle de l'ancien patron de la DST Yves Bonnet. Egalement au sommaire : la sécurité n'est pas la priorité des Français et la parole des sans-voix dans la campagne. Presse 27/03/12 © Radio France - Jean-Christophe Martin Parmi les multiples réactions à l'affaire Mohamed Merah, il y a une voix qu'on n'avait pas encore entendue...

Celle d'un ex-patron de la DST... Yves Bonnet a dirigé la Direction de la Surveillance du Territoire, le contre-espionnage, dans les années 80 avant d'entrer en politique à l'UDF. Il s'exprime ce matin dans les colonnes de la Dépêche du Midi. Et il aborde les différents volets de l'affaire... Yves Bonnet pose aussi la question de l'efficacité du plan Vigipirate rouge, censé protéger les écoles. "Correspondant" ou "officier traitant", Yves Bonnet se pose la question... Réponse d'Yves Bonnet : c'est tout le problème... La presse à la Une. Affaire Merah : malaise dans la police! – Par « Sam », fonctionnaire de police à la DCRI. En tant qu’officier de police judiciaire attaché à la direction du contre-terrorisme de la DCRI, je crois indispensable d’apporter un certain nombre de précision sur l’affaire Merah.

J’ai rejoint la DCRI dès sa création en juillet 2008. Comme la plupart de mes collègues j’ai été enthousiasmé par ce projet, sa mission et les moyens dont nous devions bénéficier. Mais nous allions vite déchanter. Des moyens, certes nous en avons, mais ils servent avant tout à payer des frais non opérationnels. En effet la fusion de la DST et des Renseignements généraux devait accroître les moyens en personnels et rendre plus efficace le travail de terrain. Malheureusement les ambitions personnelles des patrons de services ont rapidement mis à mal ce magnifique outil.

Hormis dans certains pays d’Afrique, nous devons être le service de police comptant le plus petit nombre de fonctionnaires par commissaire. Vous vous demandez certainement le rapport entre cela et l’affaire de Toulouse. Feu nourri sur le Raid et enquête sous pression – Politique. Les conditions d’intervention de la police à Toulouse alimentent la polémique, en France comme à l’étranger. Et la campagne reprend. L'assaut du Raid avant-hier midi, dans le quartier de la Côte pavée et, consécutivement, la mort de Mohamed Merah n'ont pas clos l'enquête ni éteint les polémiques.

Tandis que des questions persistantes envahissent peu à peu le débat public sur la surveillance accordée aux activités du jeune djihadiste ces derniers mois (cf. nos informations page suivante). Le terroriste a-t-il bénéficié de complicités dans la préparation de ses crimes ? Une filière irakienne ? Les enquêteurs s'attachent à la vérifier et c'est notamment l'objet de la garde à vue imposée à son entourage depuis les premières heures de la matinée mercredi matin.

En marge Écarts > Une professeur d'anglais du lycée Gustave-Flaubert, à Rouen, a été suspendue hier à titre conservatoire, après avoir envisagé devant ses élèves une minute de silence en mémoire de Mohamed Merah. En savoir plus. Merah, un drame en questions. Auteur présumé de sept assassinats, Mohamed Merah, a été tué hier lors de l’assaut des policiers du Raid, après trente-deux heures de siège de son appartement toulousain.

Nombre de questions restent en suspens. 1. L’enquête a-t-elle démarré assez vite ? Le maréchal des logis chef Imad Ibn Ziaten, 30 ans, a été abattu de deux balles de calibre 11,43 dans la tête par un homme en noir arrivé et reparti sur un scooter noir. Différend d’ordre privé ou règlement de compte lié au banditisme ? 2. Samedi 17 mars, la PJ récupère le listing des 576 abonnés internet ayant été sur le site du Bon Coin. Mais les noms d’Aziri prénom Zoulikha, mère de Mohamed et Abdelkader Merah, son frère, ne seraient apparus que lundi. Mardi après-midi, la PJ a «la certitude absolue» de l’identité du suspect lorsqu’un concessionnaire Yamaha de Toulouse révèle que Merah était venu le 15 mars se renseigner pour enlever un «tracker» de géolocalisation d’un scooter qu’il voulait repeindre. 3. 4. 5. 6. 7.

Tuerie de Toulouse : un témoignange dérangeant, désormais oublié!(vidéo) L’étrange relation entre Mohamed Merah et Bernard Squarcini. Mohammed Merah lui aurait dit, à lui où à un de ses fonctionnaires "de toute façon, je devais t'appeler pour te dire que j'avais des tuyaux à te donner, mais en fait, j'allais te fumer (*)," finit par lâcher Bernard Squarcini dans une interview sollicitée au journal le Monde pour tenter de masquer son rôle délétère dans ce qui devient une histoire sordide, comme si les meurtres d'enfants d'une école juive ne l'avaient pas encore assez été. Qu'est-ce qui peut faire qu'un paumé de banlieue de 23 ans puisse parler sur ce ton à l'instance la plus haute, en France, des services de sécurité du pays ? D'où lui est venu cette familiarité, à ce jeune meurtrier qui écrivait pourtant à son juge sur un ton très respectueux ?

Pourquoi en était-il arrivé à autant de familiarité avec ce fonctionnaire ou ses subordonnés ? Pourquoi en être arrivé à vouloir souhaiter tuer celui qu'il aura eu pendant des mois comme interlocuteur privilégié ? Pour une raison simple : on lui avait confié un rôle. Polémiques autour de Mohamed Merah. Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le Au lendemain de l'intervention du RAID qui s'est soldée par le mort de Mohamed Merah, nombre de commentateurs refont l'opération.

Christian Prouteau, le fondateur du Groupement d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN), s'en prend, vendredi, dans Ouest-France, à l'assaut du RAID à Toulouse. "Comment se fait-il que la meilleure unité de la police ne réussisse pas à arrêter un homme tout seul ? " demande l'ancien gendarme. Il critique la volonté de coincer Mohamed Merah chez lui.

Jean-Dominique Merchet, journaliste à Marianne, qui s'occupe des questions militaires depuis une vingtaine d'années revient aussi sur les questions que pose l'opération : "Quelque chose s'est mal passé. Jeudi, le patron du RAID, Amaury de Hauteclocque, expliquait au Monde le déroulement de l'opération de 32 heures qui a abouti à la mort de Mohamed Merah.

Merah, un informateur de la DCRI ? Sur Arte, hier soir, un journaliste du Figaro, Yves Tréad, nous apprend que Mr Merah avait le tampon d’un visa d’entrée pour ISRAÊL !!! Sur la plateau se trouvait un membre de la DCRI, Yves Bonnet. Sachant que Merah a aussi séjourné en Syrie, au Pakistan, en Afghanistan. Le journaliste en déduit qu’il avait deux passeports. Qui peut circuler avec deux passeports, tout en étant suivi par les services d’espionnages français ? Sachant que Mr Merah était en contact direct avec la DCRI, d’après un autre journaliste du nouvel observateur, il nous apprend que Mr Merah lors de son séjour en Pakistan, avait téléphoné à la DCRI pour leur dire ou il se trouvait et leur dire quand il rentrait précisément. Le responsable de la DCRI confirme que Merah est bien rentré à la date convenue. On s’interroge alors. Faute de quoi, on a assisté à la mise en scène d’un spectacle digne d’une série policière étatsunienne. En tous cas, le résultat y conduit..

Qui était sur la moto ? Source: alterinfo.net.