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Ethel Lilian Voynich. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Voynich. Ethel Lilian Voynich. The Gadfly[modifier | modifier le code] Elle est surtout célèbre pour son roman The Gadfly (Le Taon ou La Mouche­-Cheval), publié en 1897 aux États-Unis (juin) et au Royaume-Uni (septembre) et qui décrit la lutte d'un révolutionnaire en Italie.

Ce roman est très connu en Union soviétique où il devient un best seller et quasiment une lecture obligatoire, ainsi qu'en Chine pour des raisons plus idéologiques que littéraires. On estime que les ventes de son livres, pour la seule Union Soviétique s'élèvent à 2 500 000 de copies au moment de sa mort.

Selon l'historien Robin Bruce Lockhart, Sidney Reilly — un aventurier et agent secret né en Russie, au service du Secret Intelligence Service britannique — a rencontré Ethel Lilian à Londres en 1895. Bibliographie[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] L'Attrape-cœurs. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Attrape-cœurs (The Catcher in the Rye) est un roman de J.

D. Salinger. Publié aux États-Unis en 1951, plus de 60 millions d'exemplaires ont été vendus à ce jour et il s'en vendrait environ 250 000 chaque année[réf. souhaitée]. Il constitue l'une des œuvres les plus célèbres du XXe siècle et un classique de la littérature, à ce titre enseigné dans les écoles aux États-Unis et au Canada, bien qu'il ait été critiqué en raison de certains des thèmes abordés (prostitution, décrochage scolaire, obsession de la sexualité) et du niveau de langue (langage familier et souvent injurieux). La notion d'antihéros débute alors aux États-Unis et choque le grand public. Le titre original du roman (The Catcher in the Rye) fait référence au poème écossais Comin' Thro' the Rye (en) de Robert Burns. Résumé[modifier | modifier le code] Holden passe deux jours en ville, largement caractérisés par l'ivresse et la solitude. Le contenu[modifier | modifier le code] Le Portrait de Dorian Gray. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Le Portrait de Dorian Gray (The Picture of Dorian Gray) est un roman d'Oscar Wilde, publié en 1890 (révisé en 1891) et écrit dans le contexte de l'époque victorienne. L'auteur y inclut des thèmes relevant de l'esthétique tels que l'art, la beauté, la jeunesse, la morale, l'hédonisme, etc. Le roman est fantastique, mais aussi philosophique, et met en lumière la personnalité équivoque du dandy irlandais ainsi que le courant décadentiste, ce qui suscite de virulents échanges de lettres entre Wilde et plusieurs journaux très critiques jugeant l'œuvre « répugnante »[1].

C'est également l'unique roman de Wilde dans toute sa carrière. Résumé[modifier | modifier le code] Dorian fait la connaissance de Lord Henry, dit Harry, un ami de Basil. Par la suite le jeune homme tombe amoureux d'une comédienne dont le jeu le fascine, Sibyl Vane, et lui promet le mariage. La philosophie de Lord Henry[modifier | modifier le code] — Danielle Guérin[3] Littérature. L'Étranger. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Incipit[modifier | modifier le code] La première phrase du roman (l'incipit) est l'une des plus célèbres de la littérature française contemporaine : « Aujourd'hui, maman est morte. » Résumé[modifier | modifier le code] Le roman met en scène un personnage-narrateur nommé Meursault, vivant à Alger en Algérie française. Le roman est découpé en deux parties. Au début de la première partie, Meursault reçoit un télégramme annonçant que sa mère, qu'il a interné à l’hospice de Marengo vient de mourir. Après l'enterrement, Meursault décide d'aller nager, et rencontre sur la plage Marie, une dactylo qui avait travaillé dans la même entreprise que lui. Le dimanche midi, après un repas bien arrosé, Meursault, Raymond et Masson se promènent sur la plage et croisent un groupe d'Arabes, dont le frère de la maitresse de Raymond fait partie. Avant son départ, Meursault finit par trouver la paix dans la sérénité de la nuit.

Personnages[modifier | modifier le code] La Peau de chagrin. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Peau de chagrin est un roman d’Honoré de Balzac publié en 1831 par Gosselin et Canel dans les Romans et contes philosophiques, puis aux éditions Werdet en 1834 dans les Études philosophiques. Une édition illustrée de 1837 chez Delloye et Lecou fait appel, avant Furne, à 124 artistes. L’édition Furne de 1845 place la Peau de chagrin en tête des Études philosophiques. Ces pré-publications provoquèrent un engouement tel que l'ouvrage fut rapidement épuisé peu après sa publication définitive, bien que Balzac délivrât son manuscrit avec cinq mois de retard.

Cette œuvre peut être considérée comme le premier vrai roman de Balzac[3]. L'expression « peau de chagrin » est entrée dans le langage commun pour désigner tout ce qui se réduit invinciblement à l'usage [4]. Contexte et rédaction[modifier | modifier le code] Écriture et publication[modifier | modifier le code] Balzac rendit publique l'écriture de son roman dans le journal parisien La Caricature.