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LIBERTÉ DE LA PRESSE • Un paradis pour WikiLeaks et consorts. Birgitta Jonsdottir : « L’Islande peut être le laboratoire de la démocratie » Birgitta Jónsdóttir en 2011, devant le parlement islandais (Halldor Kolbeins/AFP/Getty Images) (De Reykjavik) Chômage en baisse rapide, croissance qui accélère... L’Islande se remet plutôt bien de la crise financière qui l’a mise à terre en 2008 : ses trois banques s’étaient effondrées, la couronne avait plongé, le PIB avait chuté de plus de 10% pendant deux ans. Les Islandais ont vite repris leur destin en main, forçant la chute du gouvernement (dominé par la droite), élisant un gouvernement de centre-gauche et mettant sur les rails un nouveau texte constitutionnel, selon un processus original.

Le 20 octobre, ils sont invités à voter sur certains points clés de cette réforme constitutionnelle. Derrière plusieurs des récentes initiatives démocratiques islandaises, on retrouve une femme hors du commun : Birgitta Jonsdottir, 45 ans, se définit comme une « anarchiste pratique », « poéticienne plus que politicienne ». Mais il faudrait dissiper chez eux certaines illusions. Exactement. Dossier L’Islande, découverte d’un pays candidat 1.Pour les médias, l’Islande paradis…en devenir | Europe 27etc. Smari McCarthy - Thordis Reynisdottir La controverse concernant Wikileaks ne battait pas encore son plein quand nous avons rencontré Smari Mc Carthy, porte-parole de l’Icelandic modern media Initiative (IMMI). En juin 2010, l’Alþing– le Parlement islandais – a adopté, à l’unanimité, une proposition de loi engageant le gouvernement à modifier la législation islandaise afin que le pays « protège et renforce la liberté d’expression dans ses formes les plus modernes ainsi que la circulation de l’information, en Islande et dans le monde ».

L’IMMI structure le travail résultant de cet ambitieux programme, s’inspirant des législations les plus ambitieuses des pays européens et de l’Union européenne mais se défiant des initiatives intempestives de celle-ci. C’est dans un bar de la rue principale de Reykjavik que nous rencontrons Smari. L’endroit est accueillant, la bière locale s’y boit bien et le choix de gâteaux maison ajoute à l’atmosphère douillette. Orsolya Veille partager : L’Islande, nouveau paradis pour la liberté d’expression? Une résolution du Parlement islandais vise à faire du pays un sanctuaire pour les journalistes du monde entier, leurs sources et la liberté d'expression. Un projet salué par les défenseurs des libertés mais qui doit être transposé dans la loi.

Dans la nuit du 15 juin dernier, le Parlement islandais, l’Alþingi, a voté à l’unanimité la résolution «Icelandic Modern Media Initiative» (IMMI) (littéralement «Initiative Islandaise rela­tive aux médias modernes»). Ce texte vise à faire du pays un «refuge» ou «paradis» pour le journalisme d’investigation, et plus généralement à renforcer «la protection des libertés d’expression et d’information» en Islande, et dans le monde.

L’objectif est de créer une «cadre légal exhaustif» qui garantisse une «protection renforcée» pour les sources, journalistes et publications, et sécurise les communications et données. L’origine de l’IMMI L’origine de l’initiative remonte à l’été 2009. Qu’est-ce qu’un «paradis» en matière de liberté de l’information ? ISLANDE • Pour la liberté de la presse, cliquez ici. Compiler les lois les plus favorables aux médias et protéger les journalistes du monde entier contre les procès : soutenue par plusieurs députés islandais, cette idée lancée par le site Wikileaks fait son chemin, raconte le quotidien roumain Adevarul. | Presseurop 18 février 2010 | Partager : L'Islande pourrait devenir le paradis des journalistes.

Le Parlement de Reykjavik doit en effet débattre d'une initiative destinée à renforcer la liberté d'expression. Le projet, appelé "Initiative islandaise pour la Modernisation des Médias", a été soumis officiellement le 16 février dernier au Parlement de Reykjavik par quelques élus. Ces derniers ont été mobilisés par des représentants du site Internet Wikileaks, spécialisé dans la publication de scoops. Si l'initiative trouve le soutien nécessaire, le gouvernement demandera au Parlement de débattre de l'introduction d'un ensemble de lois visant à mieux protéger les journalistes et leurs sources. Iceland's journalism freedom dream prompted by Wikileaks. Voyage au pays qui voulait devenir le paradis du journalisme. Reykjavik– Le 15 juin dernier, le parlement islandais votait à l'unanimité une résolution sans précédent dans l'histoire de la presse mondiale. Baptisé Icelandic Modern Media Initiative (IMMI), le texte en loi en question vise à transformer l'Islande en une sorte de havre du journalisme d'investigation.

En s'inspirant des lois les plus efficaces en vigueur à travers le monde, en matière de protection des sources, des journalistes et des publications, l'Islande crée un cadre juridique qui fait de l’île un refuge pour le journalisme international. Comment se fait-il que cette initiative, qui peut paraître parfaitement louable sur le papier, émerge de ce petit pays d'à peine 320.000 habitants? Si je devais dresser un panorama de la presse écrite islandaise, il serait un peu rapide mais représentatif. Publicité Crises en cascade Wikileaks fout les pieds dans le plat Menaces et dictaphone Bjarki tombe des nues. Et si Sarkozy était rédacteur en chef du Monde Loïc H. Devenez fan sur. WikiLeaks editor: why I'm excited about Iceland's plans for journalism | Media. In my role as WikiLeaks editor, I've been involved in fighting off more than 100 legal attacks over the past three years.

To do that, and keep our sources safe, we have had to spread assets, encrypt everything, and move telecommunications and people around the world to activate protective laws in different national jurisdictions. We've become good at it, and never lost a case, or a source, but we can't expect everyone to make such extraordinary efforts. Large newspapers, including the Guardian, are forced to remove or water down investigative stories rather than risk legal costs. Even internet-only publishers writing about corruption find themselves disconnected by their ISPs after legal threats. Should these publications not relent, they are hounded, like the Turks & Caicos Islands Journal, from one jurisdiction to other. That's why I'm excited about what is happening in Iceland, which has started to see the world in a new way after its mini-revolution a year ago. Initiative islandaise pour la Modernisation des Médias. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Initiative islandaise pour la Modernisation des Médias (Icelandic Modern Media Initiative, IMMI), est une loi islandaise visant à créer une juridiction favorable et avantageuse pour la publication du journalisme d'investigation[1] et de médias en ligne sensibles.

Le Parlement de Reykjavik l'a adoptée à l'unanimité le 16 juin 2010[2]. Elle fut créée à l'origine pour que l'Islande « prenne position fortement et en toute légalité en ce qui concerne la protection des libertés d'expression et d'information. »[3] « L'Islande va devenir l'inverse d'un paradis fiscal ; en offrant aux journalistes et aux éditeurs une des protections les plus importantes au monde en faveur de la liberté d'expression et du journalisme d'investigation. L'objectif du paradis fiscal est de rendre tout opaque. . — Birgitta Jónsdóttir, députée à l'Althing Les 19 députés à l'origine de la proposition[modifier | modifier le code] Gauche Écologiste[modifier | modifier le code]