background preloader

Systeme monetaire

Facebook Twitter

La Bourse est-elle la Vie ? Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse… et elle cassera cette cruche ! Tant que nous ne ferons que du « Kapitalisme », et non réellement de l’économie, qui plus est un « Kapitalisme » essentiellement financier : rien ne s’arrangera ! De l’utilité à l’utilitarisme, et utilitarisme oblige, la micro-économie a eu raison de la macro-économie ! C’est ainsi qu’il n’y a plus de théorie économique, qu’il n’y a que des pratiques systémiques qui quand elles ne s’ignorent pas se combattent les unes les autres ! Y a-t-il, notamment en économie, des gens encore capables de raisonner « fondamentalement » ? A l’évidence Il semblerait que non ! Positivisme oblige, le « comment sans le pourquoi », incapable de poser fondamentalement les problèmes, pris dans l’action sans réelle réflexion, inv capable de poser les problèmes dans leur complexité, nous ne faisons qu’ajouter des conséquences à des conséquences et forcément des problèmes à des problèmes.

Retour sur l'île. Nous voici sur notre île où nous observons au moment de notre arrivée, une économie relativement stable constituée par une masse monétaire de 1100, dont 100 sont "investis" dans la création d’un système bancaire à effet de levier. La règle imposée à la Banque est simple, sous réserve de conserver 100, et d’avoir 1000 en dépôt (ce qui par ailleurs est une obligation pour la monnaie de l’île, parce qu’il est obligatoire d’avoir un compte en Banque), la Banque peut créer un crédit de 1000. Nos pieds nickelés Banquiers bien malins, forts de cet avantage monopolistique conféré à la monnaie officielle de l’île, et de ces règles accordées via un accord avec le gouvernement de l’île (et non expliqué aux citoyens qui de toute façon ne comprendraient pas l’économie, c’est bien trop complexe), proposent alors à l’Etat de lui prêter 1000 de monnaie à un taux d’ami, disons 5%/an, et pour faire simple sur 20 ans.

Voici l’évolution de la masse monétaire dans ce premier cas : Le B-A-BA de la création monétaire. « Non, c’est faux, je parlais de »monnaie initiale« , pas de »monnaie réelle« . Arrêtez de me faire dire ce que je n’écris pas. » La monnaie créée par les établissements de crédit (pour vous faire plaisir) est une monnaie virtuelle, temporaire, amenée à disparaitre via le remboursement du crédit qui, de facto, détruit la monnaie créée par son existence. Votre calcul, s’il était juste, donnerait donc la quantité de monnaie non virtuelle, soit réelle, ou si vous le voulez initiale.

Passons sur le fait que cette monnaie initiale soit inférieure aux fonds propres des banques européennes : elles ont surement dû emprunter à des banques qui n’existaient pas encore pour disposer de ces fonds propres... « Soit ces »OAT« sont dans les crédits, et j’imagine que ce sont des crédits » C’est parce que vous mélangez la notion anglosaxon credit et la notion « crédit d’un établissement de crédit ». Une obligation, c’est le prêt par un investisseur envers un émetteur d’obligation.

Mince alors. Crédit social. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le crédit social est une idéologie économique et un mouvement social qui est apparu au début des années 1920. À l'origine, c'était une théorie économique développée par l'ingénieur écossais Clifford Hugh Douglas. Chaque citoyen reçoit chaque année un total de monnaie créée proportionnel à la croissance des biens et services, et inversement proportionnel au nombre de citoyens de la zone monétaire.

Le nom « crédit social » dérive de son désir de faire que le but du système monétaire (« crédit ») soit l'amélioration de la société (« social »). Le crédit social est aussi appelé dividende universel, dividende social ou, de façon sans doute plus adaptée, dividende monétaire. Théorie[modifier | modifier le code] C. Le théorème A+B[modifier | modifier le code] Pour qu'un tel système soit soutenable, Douglas affirmait qu'une ou plusieurs des situations suivantes devait se produire : La solution du crédit social[modifier | modifier le code] Soient :

Vite : la réforme monétaire indispensable: - pranakundalini sur. Retour sur l'île.