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Virtualisation

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Proxmox VE 4.2 est disponible. Proxmox Server Solutions GmbH, l’éditeur de la solution open source de virtualisation Proxmox, a publié le 27 avril 2016 la nouvelle version Proxmox VE 4.2 en licence GNU Affero GPL, v3. Pour rappel la solution Proxmox est une plateforme de virtualisation, de type « bare metal », fondée sur l’hyperviseur KVM, prenant en charge les containers LXC. Cette nouvelle mouture embarque une interface graphique améliorée, le « thin provisionning » avec ZFS et LVM et la prise en charge de Let’s encrypt. Nouvelle interface graphique Dorénavant, Proxmox VE utilise la version 6 du framework JavaScript ExtJS. ZFS et LVM thin L’image de déploiement de Proxmox VE étant fondé sur Debian 8.4 et combinée avec un noyau Linux 4.4 issu de la distribution Ubuntu 16.04 (support de long terme), l’installateur permet dorénavant la création d’un pool ZFS ou LVM thin dès l’installation et d’un simple clic. Support des certificats SSL Let’s encrypt Source : forum.proxmox.com.

Déploiement d’une infrastructure Hautement Disponible – Guide pas à pas (p1) Ce guide s’applique à Windows Server 2012 R2 – Windows Server 2012. Les Services Bureau à distance ou RDS (Remote Desktop Services), anciennement appelés TSE pour Terminal Services (jusqu’à Windows Server 2003 R2) est une solution qui vous permet d’établir des connexions Bureau à distance simultanées (Accès Bureau Windows) sur un ou plusieurs hôtes, d’accéder à des Applications publiées (RemoteApps, appelées aussi Seamless Applications) ou encore de se connecter à des postes de travail virtuels (VDI), et ce depuis n’importe où et via n’importe quel périphérique.

La nouvelle version de la solution RDS introduite avec Windows Server 2012 R2 apporte tout un lot de nouveautés, notamment : Cet article est un guide pas à pas sur le déploiement d’une infrastructure RDS Windows Server 2012 R2 en mode HA. Typographies Les typographies suivantes sont utilisées dans ce document : • Décision : choix ou validation• Note : notes ou remarques• Warning : remarques d'attention Limites de ce guide Bac à sable. Nutanix lance son hyperviseur KVM. A l'occasion de sa conférence .NEXT à Miami, Nutanix a présenté une nouvelle famille de produits qui, selon le communiqué, exploite toutes les capacités principales du produit hyperconvergé phare de la société.

Nommée Acropolis, elle comprend notamment un hyperviseur propre au spécialiste de l'hyperconvergence, également appelé Acropolis. Il est compatible avec les hyperviseurs traditionnels tels que VMware vSphere et Microsoft Hyper‐V. Mais il comprend également un hyperviseur KVM natif. Acropolis est également composé d'App Mobility Fabric. Il s'agit d'un outil destiné à migrer et à convertir les workloads des hyperviseurs VMware vers d'autres formats comme KVM et Microsoft Hyper-V. L'App Mobility Fabric fonctionne également avec les conteneurs Linux et avec les clouds publics d'Amazon Web Services et de Microsoft Azure. Le spécialiste des solutions hyper-convergées a par ailleurs dévoilé Prism, son outil de gestion de l'hyperviseur Acropolis.

La bonne interface pour la bonne infrastructure. Continuité d’activité : le nerf de la guerre de l’IT. Dans l'économie numérique, le succès d'une entreprise moderne est largement déterminé par l'utilisation efficace des technologies. Les tendances mondiales et les conditions changeantes du marché convergent dans ce sens. “Le temps c’est de l’argent” Aujourd’hui plus que jamais, les entreprises ont besoin d'être en mesure d’interagir avec les clients et les employés sans se préoccuper des frontières et des fuseaux horaires. Elles sont tenues de fournir une continuité de service, essentielle pour instaurer et maintenir la confiance dans l'entreprise.

S’ajoute à cela le facteur temps qui est un élément primordial. En effet, les entreprises compétitives ne peuvent pas se permettre un moment de répit. . « Le temps, c’est de l’argent », ce cliché, plus pertinent que jamais, résume parfaitement l'environnement économique actuel. Le cloud et la mobilité ont radicalement changé la façon de procéder des entreprises avec les employés et les clients. Vers une hausse spectaculaire du trafic Internet. Hyper-V dans Windows Server 2016. Année après année et version après version, Microsoft ne réduit pas ses efforts pour améliorer sa plateforme de virtualisation.

Ainsi, Windows Server 2016 s'accompagnera d'une multitude de nouveautés concernant Hyper-V. Ces nouveautés couvrent les principaux thèmes de la mise en place et de l'exploitation d'une infrastructure système à savoir le déploiement, l'administration, le stockage, la sécurité et la haute disponibilité. Windows Server 2016 devant sortir l'année prochaine, toutes les spécifications présentes dans cet article sont susceptibles de changer d'ici la sortie définitive du produit. Faisons ensemble le tour de ces nouveautés. Déploiement Nano Server Microsoft avait annoncé la disponibilité de son nouveau SKU pour Windows Server vNext appelé Nano Server. Nano Server est une édition remodelée de Windows Server Core qui est plus légère, peu encombrante et complètement administrable à distance.

La virtualisation imbriquée Mise à jour cyclique du cluster Mise à jour de RemoteFX. VMware corrige des failles dans Workstation, Player, Fusion et Horizon View Client. Une vulnérabilité affectant VMware Fusion permet de bloquer le système. Les patchs pour plusieurs produits de VMware viennent bloquer l'exécution de code, l'escalade de privilèges et le déni de service. Les correctifs livrés par VMware corrigent de graves vulnérabilités identifiées dans plusieurs produits. Elles peuvent permettre l'exécution de code arbitraire, l'escalade de privilèges sur le système d'exploitation hôte et le déni de service. En particulier, Workstation et Horizon View Client pour Windows présentent plusieurs failles de manipulation de mémoire pouvant permettre à un cyber-pirate d'exécuter du code sur le système d'exploitation hôte ou de faciliter le déclenchement d’un déni de service.

Quant à la faille identifiée dans Workstation, Player, et Fusion, elle autorise une attaque par déni de service contre les systèmes d'exploitation invités ou hôtes. Bitdefender passe à la protection au niveau hyperviseur. Bitdefender a développé une nouvelle technologie d'introspection de la mémoire basée sur l'hyperviseur.

Cette solution est destinée aux fournisseurs de solutions de virtualisation et aux administrateurs de centres de données. Le spécialiste de la sécurité explique que «cette technologie permet de résoudre le problème de sécurité du ‘contexte vs. isolement’ dans les environnements virtuels». Cette technique doit permettre de fournir une vision complète des machines virtuelles sans laisser d’empreinte sur les endpoints. Mihai Dontu, directeur des plateformes Linux chez Bitdefender, précise le fonctionnement de cette solution: «Fondamentalement, quand sécurité et attaquants opèrent avec des permissions au niveau du noyau, cela aboutit à une impasse.

Bitdefender promet de sécuriser ainsi les endpoints sous Windows et Linux. La virtualisation double le coût de reprise sur incident. Selon Kaspersky, le coût de reprise sur incident avec des infrastructures virtualisées est deux fois plus élevé qu'avec des infrastructures qui ne le sont pas. (crédit : D.R.) En cas d'incident de sécurité impliquant des machines virtuelles, le coût de remise en marche est multiplié par deux par rapport à celui des environnements traditionnels selon un rapport de Kaspersky Lab.

Les entreprises sont loin d'être sur un même piedestal lorsqu'il s'agit de passer à la caisse après un incident ayant frappé leurs infrastructures. Surtout lorsque le problème de sécurité en question implique des machines virtuelles, aussi bien environnement cloud public que privé. Dans son enquête, l'éditeur de sécurité a interrogé 5 500 entreprises. Selon Andrey Pozhogin, responsable du marketing produit de Kaspersky Lab, plusieurs raisons expliquent cette situation. VMware fait le ménage dans ses offres vSphere. vRealize Log Insight est désormais inclut dans vCenter Server Standard dont le tarif bondit cependant de 4 995 à 5 995 dollars.

(crédit : D.R.) Le spécialiste en virtualisation VMware a rationalisé le nombre de packages pour sa gamme vSphere en se concentrant sur les versions Standard, Enterprise Plus et Operations Management Enterprise Plus. L'éditeur en profite au passage pour effectuer quelques ajustements fonctionnels et tarifaires. Le printemps n'est pas encore arrivé mais cela n'empêche pas VMware d'effectuer son grand ménage.

En particulier sur sa gamme de solutions de virtualisation serveurs vSphere, amputée de moitié. Ainsi, les offres Entreprise, Operations Management Standard ainsi qu'Entreprise disparaissent du catalogue pour ne laisser plus que trois offres : vSphere Standard, Enterprise Plus et Operations Management Enterprise Plus. En parallèle, quelques ajustements sont effectués comme l'indique The Register. OnOff Telecom multiplie les numéros mobiles en les virtualisant. Il avait déjà été repéré dans les allées du dernier Mobile World Congress de Barcelone en 2014 pour conforter son ambition. Il avait ensuite évoqué sa start-up à la dernière session de LeWeb en décembre.

Aujourd’hui, Taïg Khris, champion de roller et fondateur de OnOff Telecom, a présenté son application mobile OnOff. Cette application mobile, disponible gratuitement sur l’App Store d’Apple, permet d’utiliser plusieurs numéros sur un seul smartphone en les stockant dans le cloud. Invité sur BFM Business, Taïg Khris précise le dispositif présenté comme une petite révolution mobile : comment avoir plusieurs numéros de téléphone mobile à ma disposition en un clic ? OnOff permet de passer des appels vocaux et des SMS en créant ses propres numéros virtuels instantanément (et qui commencent par 06, 07, etc…), selon nos confrères d’Itespresso : des cloud numbers.

L’application devient une carte SIM virtuelle multi-numéros. Comment Taïg Khris réalise-t-il ce tour de passe-passe mobile ? MWC 2015 : VMware se lance dans les réseaux mobiles virtualisés. Crédit D.R. VMware se lance dans le marché très attractif du NFV en proposant sa plate-forme vCloud for NFV qui permet aux fournisseurs de services de gérer leurs fonctions réseau comme des applications virtualisées.

La plateforme de l'éditeur californien est capable de gérer les fonctions réseau d'une trentaine de fournisseurs différents. La virtualisation des fonctions réseau ou NFV est très en vogue cette année. De nombreux équipementiers, fournisseurs de solutions IT, mais aussi d’opérateurs sont venus en faire la promotion au Mobile World Congress de Barcelone, affirmant que le NFV est l'avenir des réseaux mobiles. C’est dans ce contexte que VMware a annoncé hier le lancement de sa plateforme vCloud for NFV.

Traditionnellement, les fonctions back-end de gestion des services et des souscripteurs sont traitées sur des appliances dédiées. Un SDN pour les réseaux mobiles Les opérateurs premiers concernés. VMworld 2015 : VMware gère les containers et fait migrer les VM entre datacenters. VMware veut virtualiser 100% des charges de travail du datacenter et favoriser l'émergence d’une véritable plateforme de cloud hybride, a indiqué Carl Eschenbach, président et COO de la société sur VMword 2015 cette semaine. (crédit IDG NS) A San Francisco cette semaine, VMware a présenté deux préversions de logiciels centrées sur la gestion de conteneurs, vSphere Integrated Container et Photon Platform, dont le moteur a été versé dans l'open source en avril dernier.

Le spécialiste de la virtualisation a aussi montré comment migrer une machine virtuelle en activité d'un datacenter à l'autre. Une technologie également en préversion. Après une période de déni, VMware a fini par rallier l’engouement pour la mise en containers, déclenché par la popularité de la technologie Docker. Cette capacité est une évolution de la technologie vMotion disponible depuis plusieurs années et qui permet de déplacer une VM en marche d’un endroit à l’autre au sein d’un datacenter.

Photo Platform en préversion. Avec Photon, VMware rapproche Docker de vSphere. On peut construire sa propose image ISO de Photon en clonant le code source du projet que VMware a publié sur le référentiel Github. (crédit : D.R.) VMware vient de mettre en Open Source deux projets complémentaires : Photon, une distribution Linux légère pour mettre les applications en conteneurs et Lightwave qui fournit une gestion des accès et des identités pour ces conteneurs. Des annonces qui interviennent au moment où la société enregistre la plus faible croissance de ses revenus des 7 derniers trimestres.

VMware pousse un peu plus loin ses pions sur le terrain de Docker avec l’annonce de deux projets Open Source qui permettront à ses utilisateurs de déployer plus facilement des conteneurs dans leurs infrastructures vSphere existantes. Sous le nom de projet Photon, il vient de livrer la préversion d’une technologie de conteneur s’appuyant sur une distribution Linux légère, conçu pour se lancer très rapidement sur son environnement de virtualisation. VMworld 2015 : VMware gère les containers et fait migrer les VM entre datacenters.