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ABC NETWORK

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La créativité artistique inspire les entreprises. Surprendre, produire de l'inédit, inventer et créer, voilà toute un série de termes que les entreprises et les artistes ont en commun. Les objectifs sont différents, certes, les entreprises souhaitent faire évoluer leurs organisations, leurs communications ou leurs produits et l'artiste cherche à produire un nouveau regard, à provoquer des prises de conscience ou simplement du divertissement. La question est de savoir quelles pratiques sont transposables de l'artiste à l'entreprise. La capacité d'immersion d'un metteur en scène dans un univers dans le but d'être touché par l'inspiration, les techniques qu'il met en œuvre pour mettre en valeur le talent de ses acteurs sont surement des éléments qui peuvent transformer nos techniques de management de la créativité.

C'est pour cette raison que le programme ABC Network à été créé et c'est avec plaisir que je partage avec vous l'article de Laura Torkaz Chef de projet du Culture Lab tout en souhaitant a ce programme un grand succès. Creativity. “Art is never finished, only abandoned.” That quote (attributed to both Leonardo da Vinci and Picasso) is most likely about the process of creating a piece of work – but what about abandoning even the attempt to create something: a painting, novel, smart phone app, new business, or anything substantial?

What if your talents and intelligence have gained success for you in an area that is not particularly creative, but still, deep down, you have a passion to create? Did you enjoy creating early in life? What stops us from continuing that pleasure? There are, of course, a number of reasons. In her book The Gifted Adult, Mary-Elaine Jacobsen, PsyD, for example, writes about an experience in fifth grade when her teacher “shredded” a poem she had written: “She insisted I had copied it from a book, humiliating me in front of the class by bellowing, ‘No one your age could have written such a thing. Entreprise 2.0 et Cerveau, quels parallèles ? « eclectic. Les métaphores enrichissent la compréhension et font naître des idées qui ne sont pas seulement abstraites ou théoriques, mais peuvent aussi être incroyablement pratiques. Dans son livre « Images of Organization »[i], Gareth Morgan propose celle du cerveau, parmi beaucoup d’autres.

De mon point de vue l’analogie entreprise-cerveau n’était pas frappante, jusqu’à récemment, lorsque l’un de mes formateurs en neuropsychologie s’est mis à dessiner des neurones interconnectés au tableau. Selon l’aire cérébrale à laquelle on se réfère, on trouve soit des ‘autoroutes’ de neurones, c.à.d. des connexions structurées et persistantes, soit un réseau totalement maillé où les connexions peuvent être établies à la demande, dans une infinité d’arrangements. Le schéma du cortex préfrontal est frappant : une similitude saute aux yeux, celle du diagramme que l’on pourrait faire d’une forme plus avancée d’organisation, qu’on l’appelle Entreprise 2.0 ou organisation en réseau.

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Entrepreneur et Intrapreneur, prenez exemple sur la CK Theory by Armand Hatchuel L'entreprise de demain – Lentreprise. J’ai déjà dans de précédents billets mis en valeur les travaux d’Armand Hatchuel, de l’Ecole des Mines Paris Tech… voire l’un de ces derniers ouvrages majeurs… Ce dernier était présent comme intervenant à l’école d’été de la créativité organisée par HEC Montréal la semaine passée à Barcelone (en fait cette école d’été de la créativité mêle des universités et des industriels)… J’ai eu de nombreux échos ; deux de mes collaborateurs y étant présents… La théorie d’Armand Hatchuel et de ses collègues a été largement présentée… En quelques mots, le résumé : "La ‘C-K theory’ (Creativity – Knowledge) exposée par Armand Hatchuel mêle aussi bien les références à la poésie, l’architecture, aux démarches esthétiques, … qu’aux mathématiques et à la technologie.

Pour la découvrir en image, il suffit de regarder la vidéo réalisée pour l’exposition universelle de Shangai 2010… Un festival ! Je vous laisse en profiter (c’est en anglais…). Blah Blah Blah: Why Words Won’t Work  Dan Roam est l’auteur du best seller The back of the napkin : Solving problems and selling ideas with pictures , traduit en 25 langues. Dan a aidé Microsoft, Google Wal-Mart, Boeing, et le sénat des Etats-Unis à régler des problématiques complexes. Son crédo : le dessin est un vecteur fondamental pour faire passer les idées. Un crayon, un papier et vos capacités à convaincre un auditoire sont démultipliées. Alors que nous continuons à fonctionner selon une structuration du discours émanant du système éducatif anglais, datant de la révolution industrielle, il est temps, selon l’auteur, de changer notre façon de communiquer, à la fois à l’oral, mais également à l’écrit. « I rarely think in words at all.

My visual images have to be translated into conventional verbal and mathematical terms. » Einstein. A titre d’exemple, il évoque l’une des missions qu’il a menée pour le Sénat américain. Une chose est sûre, les dessins en disent long sur notre vision des choses. Innovation, Creativity, and Culture | Art and Business BC | John.

Innovation depends on fostering a creative workplace. As I pedalled the bike machine in the gym one morning this month, an old song by The Who started to play on the radio. I found myself pedalling faster. If I needed more convincing, this is an example of how art can affect individual performance. Generally, art and culture are associated with city life; inside the workplace they’re rarely given a second thought. But, recognized or not, art is integral to our workplaces: think of the music that permeates retail and commercial spaces, the “motivational art” that graces our office lobbies and boardrooms, and even the use of drama as a teaching tool, as in analyzing classical Shakespearian characters to teach leadership skills.

Cultural amenities are often cited as powerful magnets to attract newcomers and entrepreneurs to a community. Innovative thinkers have certain psychological attributes, including irreverence for the status quo and willingness to take risks.