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Management collaboratif

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Faire de l’erreur individuelle une source de progrès collectif … c’est possible ! Dans notre système éducatif et depuis que nous sommes petits, nous enregistrons que chaque erreur doit être punie.

Faire de l’erreur individuelle une source de progrès collectif … c’est possible !

D’ailleurs, nos copies d’enfant, d’adolescent, d’étudiant, révélaient par les traces rouges, les manquements et les fautes. Rarement, un professeur n’aura surligné en jaune ou vert les « bons passages » d’une dissertation et indiquant « Bravo », dans la marge ! Plus tard, nous focalisons légitimement sur nos erreurs. Mais il est sans doute possible de transformer de l’erreur, non une séance d’auto-flagellation publique mais bien en progrès collectif. Comment faire pour créer les conditions de succès de ce management constructif de l’erreur ?

Comment faire ? Étape 1 : identifier le préjudiceInviter le collaborateur qui pense avoir commis une erreur à en identifier le préjudice. L’erreur individuelle devient source de progrès collectif ! La première condition est que les collaborateurs restent, malgré une erreur, à la recherche de l’amélioration. Les 4 piliers du management collaboratif. Face aux transformations techniques, les entreprises prennent progressivement conscience de l'inadaptation de certains modes de management, autrefois sources de performance.

Les 4 piliers du management collaboratif

L'entrée dans le XXIème siècle aura été marquée par une accélération de l'évolution de notre société, que ce soit sur le plan économique, technologique ou social.Face à ces transformations, les entreprises prennent progressivement conscience de l'inadaptation de certains modes de management, autrefois sources de performance. Se posent alors de nouvelles questions :* Comment s'adapter à un environnement imprévisible et en permanente mutation ? * Comment faire face à de nouveaux concurrents, venus de toute part et de plus en plus "agressifs" ? * Comment répondre aux besoins de clients de plus en plus impatients, exigeants et individualistes ? * Comment rester serein dans un contexte de crise financière ? Parce que plus de la même chose produit les mêmes effets… Vers un renouveau managérial… 4ème pilier : la CONVIVIALITÉ. 2014, l'année du management collaboratif. Il y a quelques semaines, nous célébrions tous le passage à une nouvelle année.

2014, l'année du management collaboratif

Et à cette occasion, nombreux sont ceux qui prennent et s’engagent dans de nouvelles et bonnes résolutions, personnelles ou professionnelles. Et si cette année vous preniez une résolution qui bénéficierait à vous-même autant qu’à tous vos collaborateurs ? C’est l’idée derrière notre proposition du jour, le management collaboratif. Le plus gros obstacle à la mise en place du management collaboratif n’est plus, comme on pourrait encore le croire, le manque d’envie des entrepreneurs à opter pour une démarche RSE mais plus l’idée de perdre la notion de « donneur d’ordres » qui pourrait, selon le point de vue, fragiliser la position du manager.

D’où l’intérêt du management collaboratif, qui vise à aplanir les hiérarchies et placer le manager au centre du processus de décision plutôt qu’au sommet. . · Faîtes confiance aux autres Démontrez à vos collaborateurs que vous avez confiance en eux et en leurs compétences. Du management collaboratif au leadership de la co-responsabilité. "Seuls nous-mêmes pouvons prendre en charge notre destin" lançait Barack Obama en 2008.

Du management collaboratif au leadership de la co-responsabilité

Innover, se différencier, anticiper… Autant d'atouts nécessaires pour naviguer dans un environnement de plus en plus complexe et imprévisible. Plus que jamais, les entreprises ont besoin de mobiliser toutes leurs énergies pour relever ces nouveaux défis. La première, bien évidemment, étant son "capital humain".Mais comment faire lorsque seulement 21 % des salariés "s'impliquent à fond dans leur travail"[i], 30 % des Français "songent sérieusement à quitter leur entreprise"[ii] ou encore quand 46 % des Français "ne travaillent pas dans la fonction désirée".L'une des premières conditions est de rendre chaque salarié auteur et acteur de son épanouissement et de sa performance professionnelle.

Cependant, comme l'évoquent de nombreux dirigeants : "Pourquoi les salariés se sentent-ils moins responsables dans leur vie professionnelle que dans leur vie privée ? " Le premier est d'ordre "culturel" :