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Traces

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Will Wright Plans to Gamify Our Lifestream Data. In this month’s Wired there’s an interview with Will Wright that chronicles his rise as a video gaming icon.

Will Wright Plans to Gamify Our Lifestream Data

The story covers how his interest began, and covers all the way through to where he is today. De la mesure de soi (1/3) : Mettre l’informatique au service du corps. Assister à une conférence du Quantifed Self (QS), comme c’était le cas de cette première édition européenne, qui se tenait à Amsterdam, c’est faire l’expérience étrange d’être parmi des gens obnubilés par la mesure de soi et qui interrogent sans cesse ce qu’ils mesurent d’eux-mêmes.

De la mesure de soi (1/3) : Mettre l’informatique au service du corps

C’est être confronté à une multitude de personnes – les « quantifiés » – qui part leurs pratiques mêmes, semblent se distinguer du commun des mortels : « Nous ne sommes pas comme les autres personnes » reconnaissait Gary Wolf en introduction de ces deux jours. Alpha Personal Analytics for Facebook—Wolfram. Note added: Since this blog was written, Facebook has modified their API to make much less information available about Facebook friends.

Alpha Personal Analytics for Facebook—Wolfram

While I think adding privacy controls is a good idea, what Facebook has done reduces the richness of the results that Wolfram|Alpha Personal Analytics can give for Facebook users. After I wrote about doing personal analytics with data I’ve collected about myself, many people asked how they could do similar things themselves. Now of course most people haven’t been doing the kind of data collecting that I’ve been doing for the past couple of decades. But these days a lot of people do have a rich source of data about themselves: their Facebook histories. And today I’m excited to announce that we’ve developed a first round of capabilities in Wolfram|Alpha to let anyone do personal analytics with Facebook data. Here’s the beginning of the report I get today when I do this: Yes, it was my birthday yesterday. Quite a geographic distribution! MOLUTI. Interactive Hypervideo Visualization for Browsing Behavior Analysis. MesInfos : quand les “données personnelles” deviennent vraiment… personnelles.

Par Renaud Francou le 04/12/12 | 6 commentaires | 2,855 lectures | Impression Que se passerait-il si, demain, les organisations partageaient les données personnelles qu’elles détiennent avec les individus qu’elles concernent, pour qu’ils en fassent ce que bon leur semble ?

MesInfos : quand les “données personnelles” deviennent vraiment… personnelles

Quels usages, quelles connaissances, quels services, quels risques aussi, pourraient-ils émerger si les individus disposaient, non seulement du contrôle, mais de l’usage de ces données : leurs finances, leurs achats, leurs déplacements, leurs communications et leurs relations en ligne, leur navigation web, leur consommation d’énergie, etc. ? Voilà tout juste un an, la Fing et un petit groupe d’entreprises, d’acteurs publics et de chercheurs décidaient de chercher ensemble les réponses à ces questions un peu iconoclastes : le projet MesInfos était né. Qu’est-ce donc qu’une trace, et quelle est sa fonction épistémologique ? État des lieux. 1Est-il possible que la lecture de traces ne soit pas seulement le reste archaïque d’une « connaissance sauvage », les balbutiements de la métaphysique, le stade d’une herméneutique sans texte ?

Qu’est-ce donc qu’une trace, et quelle est sa fonction épistémologique ? État des lieux

Est-il possible que cette lecture ne soit pas seulement une forme première et instinctive de grammaires symboliques, mais qu’elle se rencontre dans toutes les pratiques où entrent en jeu les signes, la connaissance et l’interprétation ? La lecture des traces est-elle une pratique du savoir qui ne s’emploie pas seulement dans les sciences humaines, mais aussi dans les sciences naturelles, et qui s’avère par ailleurs être un exemple de la manière dont les pratiques quotidiennes et les processus scientifiques se rejoignent ? 2Mais de quelle manière la lecture de traces peut-elle être différenciée de la lecture d’un texte ? Comment cette lecture se démarque-t-elle de l’interprétation de signes textuels et iconographiques ? 2 Saussure (1972), p. 158 sqq. 3 Cf. 1. 2. 3. 4. 13 Lévinas (1988b), p. 200. La mise en chiffre de soi (1/2) : qui sont ceux qui se mesurent.

Par Hubert Guillaud le 22/05/13 | 6 commentaires | 3,594 lectures | Impression Dans le dernier numéro de la revue Réseaux, Anne-Sylvie Pharabod, Véra Nikolski et Fabien Granjon signent un intéressant article sur “La mise en chiffres de soi” qui s’est intéressé à une poignée de praticiens de la mesure de soi.

La mise en chiffre de soi (1/2) : qui sont ceux qui se mesurent

Ils rappellent que “la mise en chiffre de soi est une pratique marginale”, que le partage des données personnelles, enjeu central pour les promoteurs des outils, est très confidentiel et reste cantonné à des pratiques spécifiques, et enfin que la quantification de soi est avant tout un geste intime et peu stable, qui ne s’installe pas dans la durée : souvent “la pratique est ponctuelle, car elle s’apparente à un diagnostic : une fois l’évaluation faite, la quantification n’a plus de sens”. Si certaines pratiques, notamment celles de performances sportives, peuvent être plus stables, elles ne sont pas forcément très intensives.

Quelles normes partageons-nous ? Hubert Guillaud.