background preloader

Les lumiéres

Facebook Twitter

WebTV - Pascal Picq - "Les Lumières écossaises et l'évolution" Biographie Pascal Picq est paléoanthropologue et maître de conférences au Collège de France.

WebTV - Pascal Picq - "Les Lumières écossaises et l'évolution"

Emmanuel Kant: La morale kantienne. Selon la morale kantienne, il faut et il suffit que chacun fasse librement son devoir propre à l'être raisonnable, qu'il l'accomplisse à la place qui lui est dévolue, si modeste soit-elle, pour que soient taries à leur source la violence et l'injustice.

Emmanuel Kant: La morale kantienne

En ce sens, chacun est responsable de l'humanité (entendue cette fois comme la qualité proprement humaine de nos actes): l'individu n'est pas appelé à assumer cette responsabilité par quelque haut fait ou sacrifice qui lui serait commandé de l'extérieur (par Dieu ou par un parti), mais par l'accomplissement tranquille et quotidien de ses tâches. Morale de Kant. Morale de Kant (source inconnue) De la morale Kantienne Principe de la morale formelle Formule de l'impératif catégorique Aucun mobile sensible ne doit intervenir dans l'action morale Critique de la morale Kantienne L'homme ne peut agir sans être intéressé à son action L'homme ne peut agir sans connaître les raisons de son action Contradiction de la morale Kantienne: Elle ne tarde pas, de formelle, à devenir matérielle Elle finit par accorder une place aux mobiles sensibles Conclusion Conséquences positives qui ressortent des critiques précédentes Morale de Kant Il existe une loi morale, mais cette loi ne repose pas sur l'expérience.

Morale de Kant

Or l'expérience est la matière de notre connaissance, avant elle il n'y a en nous que des formes, qui sont loin de l'esprit. Marcel Mauss, Essai sur le don. Forme et raison de l'échange dans les sociétés archaïques. » Descartes: Changer ses désirs plutôt que l’ordre du monde. « Ma troisième maxime était de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune et à changer mes désirs que l’ordre du monde ; et généralement, de m’accoutumer à croire qu’il n’y a rien qui soit entièrement en notre pouvoir, que nos pensées, en sorte qu’après que nous avons fait notre mieux, touchant les choses qui nous sont extérieures, tout ce qui manque de nous réussir est, au regard de nous, absolument impossible.

» Descartes: Changer ses désirs plutôt que l’ordre du monde

Et ceci seul me semblait suffisant pour m’empêcher de rien désirer à l’avenir que je n’acquisse, et ainsi pour me rendre content. Descartes, Discours de la méthode. Troisième partie. (1637). Thème : Le bonheur. » N’oublie pas de vivre. Pierre Hadot. Je ne peux jamais ouvrir un livre de Pierre Hadot sans éprouver cette profonde admiration que suscite toujours, chez un même auteur, l’authentique érudition jointe à l’extrême simplicité du discours.

» N’oublie pas de vivre. Pierre Hadot

Son verbe a la beauté du sens lorsque celui-ci est lesté du poids d’une vie consacrée à la philosophie. Or celle-ci ne fut pas toujours, comme une certaine pratique moderne peut le laisser croire, une activité ayant pour fin la construction d’un système conceptuel. Même si la théorie a toujours été centrale dans la philosophie, elle était inséparable d’une manière de vivre qu’elle fondait et justifiait. « Dans l’Antiquité, par exemple chez Epictète, Plutarque, ou encore Platon, on trouve une critique virulente de ceux qui se veulent exclusivement « professeurs », qui veulent briller par leurs argumentations et leur style et qui se distinguent ainsi de ceux qui vivent leur philosophie. Cette même opposition se perpétue dans la philosophie moderne. » La figure du sage. Pierre Hadot. « Après ce trop bref exposé se rapportant à la représentation du sage dans les grandes écoles philosophiques, je voudrais maintenant essayer d'en dégager la signification historique et anthropologique.

» La figure du sage. Pierre Hadot

Je dirais, tout d'abord, que l'apparition de la figure du sage correspond à une prise de conscience de plus en plus aiguë du moi, de la personnalité, de l'intériorité. » La Fable des abeilles. Bernard Mandeville. 1705. 1714. Une vaste ruche bien fournie d’abeilles, Qui vivait dans le confort et le luxe, Et qui pourtant était aussi illustre pour ses armes et ses lois, Que pour ses grands essaims tôt venus, Etait aux yeux de tous la mère la plus féconde Des sciences et de l’industrie.

» La Fable des abeilles. Bernard Mandeville. 1705. 1714

Jamais abeilles ne furent mieux gouvernées, Plus inconstantes, ou moins satisfaites. Elles n’étaient pas asservies à la tyrannie Ni conduites par la versatile démocratie, Mais par des rois, qui ne pouvaient mal faire, car Leur pouvoir était limité par des lois. Ces insectes vivaient comme les hommes, et toutes Nos actions ils les accomplissaient en petit : Ils faisaient tout ce que font les bourgeois, Les gens d’épée, les gens de robe. Ch20.pdf (Objet application/pdf) PhiloSophie - Lectures suivies (oral bac) - Kant - Qu'est-ce que les lumières? Les notes liées au texte apparaissent en survolant avec la souris les mots ou expressions soulignés en rouge.

PhiloSophie - Lectures suivies (oral bac) - Kant - Qu'est-ce que les lumières?

Traduction Piobetta. Qu'en disent les philosophes ? Les Lumières évoquent le XVIII e siècle et cette période de l'histoire européenne, où la raison reçoit la tâche immense de contribuer, par la diffusion des savoirs, au bonheur du genre humain et à son émancipation politique. Mais s'agit-il seulement d'une période de l' histoire , d'un passé révolu ? Qu’est ce que les Lumières ? - massir. Le siècle des Lumières - Qu'est-ce que les Lumières ?

Qu’est ce que les Lumières ? (1784) - Emmanuel Kant - Commentaire. Introduction.

Qu’est ce que les Lumières ? (1784) - Emmanuel Kant - Commentaire

Qu’est-ce que les Lumières ? (1) / Michel Foucault. Qu’est-ce que les Lumières ? Qu’est-ce que les Lumières ?

Qu’est-ce que les Lumières ?

, c’est-à-dire incapacité de se servir de son entendement (pouvoir de penser) sans la direction d’autrui, minorité (faute) puisque la cause en réside non dans un défaut de l’entendement mais dans un manque de décision et de courage de s’en servir sans la direction d’autrui. (Ose penser) Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières. La paresse et la lâcheté sont les causes qui expliquent qu’un si grand nombre d’hommes, après que la nature les a affranchi depuis longtemps d’une (de toute) direction étrangère, reste cependant volontiers, leur vie durant, mineurs, et qu’il soit facile à d’autres de se poser en tuteur des premiers. Il est si aisé d’être mineur ! Il est donc difficile pour chaque individu séparément de sortir de la minorité qui est presque devenue pour lui, nature. Il dira « Notre Église enseigne telle ou telle chose. Si donc maintenant on nous demande : « Vivons-nous actuellement dans un siècle éclairé ?

Les (...) contemporaines - Qu'est-ce que les Lumières ? La critique, de Kant à Foucault. Introduction : n’est pas un titre de Foucault, mais la reprise d’un court texte de Kant datant de 1784, dans lequel Foucault va proposer sa propre conception des Lumières. Cet article a été publié en 1984 dans un ouvrage collectif [ 1 ] consacré à Foucault, mais Foucault avait déjà utilisé une première version, plus courte, pour son cours au Collège de France du 5 janvier 1983. Nous utilisons ici le texte correspondant à l’édition de 1984 publié dans les [ 2 ] et repris dans l’édition du texte présentée par Olivier Dekens. En 1784, Kant publie dans la une réponse à la question : , c’est-à-dire qu’est-ce que les Lumières ? Selon Foucault, une autre question entre discrètement dans l’histoire de la pensée par l’intermédiaire de ce texte de Kant, une question à laquelle la philosophie moderne n’a jamais pu apporter de réponse et dont elle n’est jamais parvenue à se débarrasser : Aufklärung (p. 62 [ 3 ] ) ?

I. Le texte de Kant pose un problème nouveau. II. L’imagination politique III. Michel Foucault. Qu'est-ce que les Lumières ?