background preloader

Consommation Collaborative

Facebook Twitter

Partageux, mais bien marketés. Auriez-vous l'idée de vous inviter chez un parfait inconnu pour partager son déjeuner? D'emprunter la première voiture venue en bas de chez vous pour une course impromptue? De rester dormir sur un canapé autochtone à l'autre bout du monde? Et de laisser le touriste de passage squatter le vôtre? Non? Rien de bien neuf là dedans: jusqu'à la célébrité de l'adjudant Chanal l'autostop permettait d'utiliser les sièges vides des voitures croisées sur la route (et de partager le prix du plein) sans appeler ça covoiturage. Rachel Botsman: The case for collaborative consumption © TED Peut-être que le raccourcissement du trajet entre le producteur et le consommateur – démesurément allongé par la mondialisation et l'aplatissement du globe – permet-il à la planète de respirer à nouveau.

L'un de ces usages oubliés est le partage des ressources, des équipements, des espaces, du temps privatisés. Plus de renseignements sur: Partage Recyclage Collaboration. Consommation ou partage collaboratif? Suite à la lecture de l’article d’Hubert Guillaud sur Internetactu.net qui de façon plus large traite d’usage et de mésusages & suite à la lecture de Vincent Truffy sur son blog médiapart, j’ai voulu expliquer ce qui à mes yeux fait partie de la consommation collaborative, et des valeurs que je voyais naître grâce à ce mouvement.

J’ai été gêné du mélange général que j’ai pu voir entre les différentes formes de pratiques qui existent et les différences qu’elles ont. Ainsi voilà pour moi les deux améliorations, deux formes de valeur ajoutée, qu’apportent la Consommation Collaborative / Economie Collaborative que je mettrai dans cet ordre : 1) Une meilleure allocation des ressources Elle permet de redonner du service à ce qui stagnait. C’était l’ère de l’avoir. . - La terre ne pourra pas supporter plus (et si on réfléchit, c’était bien débile d’en arriver là) - Le cool a changé. Ces trois raisons répondent à l’équation de l’allocation des ressources. 2) Une rencontre et un partage En conclusion. Usages, mésusages. C’est en lisant Paul Ariès (Wikipédia), rédacteur en chef du Sarkophage – notamment La simplicité volontaire contre le mythe de l’abondance -, que j’ai mieux compris les limites qui me chiffonnaient dans la consommation collaborative.

Celle-ci nous est souvent présentée sous les atours du partage et du don, alors qu’elle n’en est pas toujours. Le covoiturage et l’autopartage ne sont pas inspirés par une vision altruiste, comme on l’entend trop souvent. Le premier moteur du covoiturage et de l’autopartage n’est pas le partage, mais l’économie. Ce n’est pas sauver la planète qui motive les covoitureurs et les autopartageurs, mais amoindrir l’impact de la crise sur leurs finances personnelles, comme le soulignait déjà l’étude 2010 de l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France (.pdf). Les utilisateurs de ces services sont d’abord à la recherche de revenus complémentaires. La consommation collaborative… c’est encore de la consommation De l’usage au mésusage Hubert Guillaud. Frog's 2012 Technology Trend Predictions. By Kristina Loring - January 10, 2012 While the Internet is buzzing with ways to survive the last year of the world (according to the ancient Mayan Calendar), frogs are thinking of other things that will shape culture this year.

We asked frogs from across the globe to share their personal favorite tech trends that’ll crop up this year and what their impact would be on design, business, entertainment, and our daily routines. We had frogs from all disciplines—from strategy to engineering—draw from their passions and expertise to offer their input. Without doubt, 2012 is shaping up to be a year of hyper-connected, highly-personal, ultra-smart computing that, well, might just skip the computer altogether. Here’s what our tech forecasters predict for 2012. Connected Cities by Chief Creative Officer Mark Rolston The modern city is becoming a pointer system, the new URL, for tomorrow’s hybrid digital–physical environment.

Quantified Selves by Creative Thomas Sutton Facebook is not personal. Rachelbotsman.mp4 (video/mp4 Object) Collaborative Consumption, Trust and the Evolution of Credit. Jeremy Barton owns a nice Subaru Impreza, but he rarely drives it. As a co-founder of a tech startup in San Francisco, he usually just rides his bike to work. So when Barton heard of a new website called Relay Rides that lets regular people rent out their own cars, it sounded perfect. “Not only does it help pay my car payment and my insurance, but I also get a really good feeling knowing that someone can use it,” says Barton, who’s 27. But getting started as a do-it-yourself car rental company proved more difficult than Barton expected.

For weeks after he joined Relay Rides, his Subaru continued sitting in its parking spot, unused. With no reviews of Barton or his car on the website, borrowers skipped over him to use cars that already had been well-reviewed. FREE TOOL: CHECK YOUR CREDITCredit.com’s Credit Report CardCheck your credit bureau profile for free with this great tool. “I was nervous about it, to be honest,” says Barton. And yet, despite the hurdles, it’s happening.