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Libéralisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Libéralisme

Le libéralisme est une doctrine de philosophie politique qui affirme la liberté comme principe politique suprême ainsi que son corollaire de responsabilité individuelle, et revendique la limitation du pouvoir du souverain. Le libéralisme repose sur l’idée que chaque être humain possède des droits fondamentaux naturels précédents toute association et qu'aucun pouvoir n'a le droit de violer. En conséquence, les libéraux veulent limiter les obligations sociales imposées par le pouvoir et plus généralement le système social, telles que la morale, au profit du libre choix et de l'intérêt de chaque individu indépendamment des autres[1]. La question de l'articulation entre « libéralisme économique » et « libéralisme politique » reçoit des réponses variées[2],[3],[4].

Présentation générale[modifier | modifier le code] Libéralisme politique. Le libéralisme politique désigne l'ensemble des thèses libérales portant sur le domaine de la politique, qui ont en commun de fixer des limites à l'action de l'État.

Libéralisme politique

Elles se différencient par leurs positions relatives à ses finalités, à l'étendue des prérogatives qu'il doit posséder et à son organisation. Le libéralisme s'est historiquement construit contre l'absolutisme. Au moment de la division droite/gauche et pendant une longue partie du XIXe siècle, il constitue la principale tendance progressiste, inspirateur de la Révolution française, formant l'opposition contre Napoléon puis les Ultras, siégeant à gauche, triomphant avec la monarchie libérale de Louis-Philippe puis retournant dans l'opposition contre le futur Napoléon III.

L'importance des mouvements marxistes ou socialistes au XXe siècle a graduellement fait évoluer la position des libéraux[réf. nécessaire] en France et dans d'autres pays (Royaume-Uni notamment). Histoire des idées[modifier | modifier le code] Despotisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Despotisme

Le despotisme est une forme de gouvernement[Où ?] Où l'autorité est exercée par un individu qui règne avec un pouvoir politique absolu, et de manière abusive au regard des lois. Dans sa forme classique, un despotisme est un état où un homme unique, appelé un despote, retient tout le pouvoir, et toute autre personne est considérée non pas comme son esclave mais comme un membre de sa famille. Autoritarisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Autoritarisme

Le terme autoritarisme peut désigner aussi bien un comportement que le mode de fonctionnement d'une structure politique. L'autoritarisme consiste dans les deux cas en une prééminence, une hypertrophie de l'autorité érigée en valeur suprême. Si certains chercheurs et professeurs en science politique définissent l'autoritarisme comme un des trois grands types de systèmes politiques avec la démocratie et le totalitarisme, beaucoup d'autres considèrent cette classification comme trop formelle et ne correspondant pas à la réalité[1].

Monarchisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Monarchisme

Le monarchisme est une doctrine politique qui prône la monarchie, c’est-à-dire une forme de gouvernement dans laquelle une seule personne fonde l'autorité de l'État. Le mode de désignation du monarque n'est pas nécessairement héréditaire : il peut dans de rares cas être élu, comme les empereurs du Saint-Empire romain germanique, les doges de la république de Venise ou (encore actuellement) les papes de l'Église catholique romaine. Cependant, les mots monarque et monarchisme sont presque toujours utilisés à la place de ceux de roi et royalisme, en particulier dans les textes de ceux qui critiquaient la royauté sous l'Ancien Régime.

On parle aussi, avec le présidentialisme, de monarchie républicaine. Républicanisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Républicanisme

Le républicanisme est une idéologie politique selon laquelle l'objectif d'un État et le sens même de son existence comme de ses décisions doivent être le bien commun (en latin, res publica : « la chose publique »). Selon le républicanisme, les détenteurs du pouvoir doivent être nommés par d'autres moyens que l'hérédité, c'est-à-dire être élus par le peuple ou par une partie de celui-ci. La notion de souveraineté populaire découle donc en partie de cette idéologie, mais elle ne lui est pas nécessairement attachée. La notion de « république » remonte à l'Antiquité grecque et romaine, et l'idéologie républicaine moderne a pris des formes légèrement différentes selon qu'elle a été développée aux États-Unis, en France, ou en Irlande [ 1 ] .

Souveraineté populaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Souveraineté populaire

La doctrine de la souveraineté populaire identifie comme souverain le peuple, au sens de l'ensemble de la population, la somme de tous les individus, par opposition à la nation, corps abstrait[1],[2] Mandat représentatif. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Mandat représentatif

Le mandat représentatif est une forme de mandat politique qui possède la caractéristique d'être général, libre et non révocable. C'est-à-dire que le représentant peut agir en tous domaines à sa guise car il n'est pas tenu de respecter les engagements qu'il aurait éventuellement pris devant ses mandants. Il s'oppose au mandat impératif . Le gouvernement représentatif ou, dénomination plus récente dans l'histoire, la démocratie représentative, repose sur le principe du mandat représentatif.

Les élus au pouvoir doivent pouvoir disposer d'une liberté d'action telle qu'ils ne doivent pas être les obligés de leurs électeurs. Histoire [ modifier ] On considère généralement que le mandat représentatif est apparu au sein du parlement du Royaume-Uni au cours du XVI e siècle [1] . Motivations [ modifier ] Mandat impératif. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Mandat impératif

Le mandat impératif est le pouvoir délégué à une organisation ou un individu élu en vue de mener une action définie dans la durée et dans la tâche, selon des modalités précises auxquelles il ne peut déroger. Il s’oppose au mandat représentatif. Définition[modifier | modifier le code] Le « mandatement impératif » est un principe politique, lié à un mode de fonctionnement au niveau organisationnel (une autre méthode élective), qui part de besoins définis par un organisme ou un groupe exerçant ce principe, pour ensuite déléguer, si nécessaire à un ou plusieurs individus (extérieurs ou internes au groupe) une action définie dans la durée et dans la tâche. Il peut y avoir un contrôle, selon le mandat, ou un rapport demandé au mandaté afin que les mandataires soient en lien direct avec le mandat posé, et suivent ainsi la réalité et l'efficacité du mandat.

Fondements théoriques[modifier | modifier le code]