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Tech & Government

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France lobbies G8 for Internet control and censorship. Sarkozy's French government is hosting an "EG8" summit on Internet policy and have invited lots of technical people to attend in the guise of coming up with recommendations on Internet governance. But as documents reveal, the Sarkozy agenda is control and censorship. Jeremie from La Quadrature du Net sez, A detailed analysis of exchanges between the French President and his former Minister of Foreign Affairs on G8 related matters appears in tomorrow's edition of the French magazine Marianne.

La Quadrature du Net has had access to sources that confirm the existence of a control-oriented policy, explicitly hostile to the support to the freedom of expression on the Internet, in blatant contrast with the farcical 'G8 forum' smokescreen. Governments must be made accountable for the positions they take on these issues when they speak behind close doors. France's G8 Focuses on Control and Restrictions to Online Freedoms (Thanks, Jeremie!)

Manipulation de masse : un œil sur l’avenir de la communication politique dans les réseaux. Pour avoir cherché à démasquer le groupe Anonymous, HBGary, une société de sécurité informatique, a vu ces derniers s’emparer des archives emails de l’entreprise et les publier aux yeux de tous sur internet. HBGary, qui compte plusieurs agences fédérales ainsi que l’armée américaine parmi ses clients, a ainsi dévoilé – bien involontairement – de nombreuses informations compromettantes, dont une concernant la mise au point d’une technologie permettant à un seul opérateur d’incarner une multitude de personnages à travers différents réseaux sociaux, tels Facebook, Twitter ou MySpace. Avec un tel logiciel, une personne pourrait ainsi simuler, à elle seule, un effet de foule, une petite équipe pourrait mettre en scène une majorité. La psycho-sociologie ayant toujours cours dans le virtuel, on imagine aisément l’intérêt d’un tel outil pour quiconque voulant influencer l’opinion (et la presse) à travers les réseaux sociaux.

China admits existence of a cyber-warfare team called “Blue Army” - TNW Asia. Monnaies virtuelles: une révolution fiscale? Selon le fondateur du parti pirate suédois, l'émergence des monnaies chiffrées et décentralisées sur Internet va forcer les gouvernement à réformer totalement leur modèle social. Article initialement publié sur OWNI.eu. Nul doute que les monnaies cryptées vont continuer à se développer. Les nouveaux usages qu’elles permettent emportent haut la main la lutte contre les banques dont nous avons hérité les systèmes de transaction sur rendez-vous, au cas par cas.

Quid des jours fériés ? Quid des avoirs gelés ? Des frais bancaires ? Il se peut que Bitcoin ne devienne pas le standard ultime des monnaies chiffrées, mais ce n’est pas important. Il y a une certaine extase au moment de transférer quelques centimes de bitcoins à quelqu’un situé à l’autre bout de la planète. Pour l’instant, les cas d’usage des monnaies chiffrées sont limités par l’effet de réseau. Repenser la fiscalité dans un monde de monnaies virtuelles chiffrées Commençons par le problème fiscal.

Que reste-il donc à taxer ? La Géorgie instaure le gouvernement 2.0. Divers services publics et hauts-fonctionnaires du pouvoir géorgien font de plus en plus appel aux médias sociaux et aux outils du Web 2.0 pour communiquer avec la population informatisée du pays. A mesure que la technologie avance et que les Géorgiens rejoignent en plus grand nombre les sites de réseaux sociaux, les intentions de l'administration de se connecter directement aux citoyens apparaissent avec plus d'évidence. A la tête de la réforme dans la région, la Géorgie suit la tendance mondiale à la numérisation et à l'e-gouvernement en avançant de façon concrète en ligne.

Chemikucha.ge – chemi kucha veut dire “notre rue” – est fait pour aider et encourager les habitants de Tbilissi à signaler à la Mairie les problèmes locaux dans leur rue. Les signalements sont portés sur une carte et peuvent être visionnés et discutés par les résidents, les intéressés et les représentants de l'administration compétente.

M. M. @VeraKobalia: A la conférence de l'ONU sur le changement climatique.

Laws

Taxes. Tech frauds. World’s first commercial quantum computer sold to Lockheed Martin. The world’s first commercially available quantum computer, which uses principles of quantum mechanics rather than classical mechanics, was sold to aerospace, defense and security company Lockheed Martin. Unlike computers based on transistors, quantum computers rely on principles of quantum mechanics to conduct operations. The computers take advantage of properties like entanglement — when two particles have the same properties and behave identically while being separate — and storing data with “qubits,” or quantum bits. Typical bits store memory by registering an “on” or “off,” or a one or zero, while qubits can represent information as both memory and the state of entanglement with other particles.

The quantum computer uses a system of 128 qubits, which means the computer will be able to solve more complex problems than traditional computers at a much higher speed. The computers can theoretically be significantly faster than regular computers and can solve much more complex problems.

Hacktivism