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Comment organiser ses medias et ses contenus Web avec Pearltrees. Comment lire et naviguer autrement ? Depuis un peu plus d’un an j’explore faiblement Pearltrees. Pearltrees permet de créer des cartes heuristiques à partir de pages Web. C’est un service de réseau basé sur les principes d’intelligence collective pour archiver, organiser et partager ses médias et ses contenus Web. D’ailleurs, nous avons eu l’occasion d’interviewer Pierre-Etienne Daviet, le community manager. Pearltrees sur le Blog du Personal Branding mode d’emploi Proposer une navigation horizontale et heuristique permet d’obtenir un format global, systémique, agréable visuellement et en adéquation avec le fonctionnement du cerveau humain. Pour en savoir plus sur le service et les nouvelles fonctionnalités Pearltrees a présenté les nouvelles fonctionnalités au Web2.0 Expo de San Francisco le 5 mai dernier.

La présentation a même été saluée sur Techcrunch « Six Startups Blast Off From The Web 2.0 Launchpad » “Enculés de Facebookeurs” » Article » owni.fr, digital journalis. Une source anonyme montre que Mark Zuckerberg a traité les utilisateurs de Facebook de "crétins d'enculés". C'était il y a 7 ans, mais dans le climat actuel, ça la fout mal. Vous permettez qu'on y revienne un instant ? /-) Un échange de messages entre Mark Zuckerberg, aujourd’hui PDG de Facebook, et un pote de Harvard vient remettre de l’huile sur le feu sur lequel le réseau social semble assis depuis quelques semaines. Zuck: Alors si t’as besoin d’infos sur qui que ce soit à Harvard Zuck: T’as qu’à demander. Zuck: J’ai plus de 4000 email, images et SNS [social networking sites] [l'ami en question]: Quoi? Zuck: Les gens m’ont donné tout ça.

Zuck: Je sais pas pourquoi. Zuck: Ils me font ‘confiance’ Zuck: Crétins d’enculés "Oups, j'ai dit une connerie? " D’accord, l’échange a eu lieu il y a 7 ans. Il a très bien pu tenir ces propos à une pom-pom girl qu’il voulait impressioner et qu’ils ne reflètent pas du tout la réelle opinion qu’il se fait des utilisateurs de Facebook. Photos CC deneyterrio. Le deal déséquilibré proposé par Facebook aux éditeurs de sites. [Le billet qui suit est couplé à "Bouton "Like" / "J'aime" et plugins sociaux: Facebook obtient le nom de chaque utilisateur visitant les pages équipées!

Démo concrète" qui donne les détails précis et une démo pratique de la technique utilisée par Facebook pour obtenir les informations personnelles discutées ci-après] A sa récente conférence F8 résumé des annonces ici), Facebook a annoncé l'extension du bouton "J'aime" (on le clique quand on aime un contenu) de son propre site à l'ensemble des sites Internet qui voudront bien l'implanter. Egalement annoncés des plugins sociaux qui permettent au même site tiers de publier sur ses propres pages les recommandations de type Like ou autre ainsi que les amis Facebook du visiteur qui ont récemment visité le site. Il s'agit clairement pour l'éditeur de faire levier sur l'immense base d'utilisateurs très actifs de Facebook (430 millions: soit 1/4 à 1/3 de tous les internautes).

Ce suivi nominatif est rendu possible par le double fait: Parcourir Twitter comme on lit le journal, avec Paper.li. L'application de Smallrivers permet de consulter les nouvelles échangées sur le site de microblogging comme si on consultait un site d'information en ligne. Pour pouvoir accéder facilement et de manière agréable aux informations qui s'échangent sur Twitter, une société suisse lance un service web qui les réorganise en s'inspirant de la presse en ligne. Paper.li, lancé par Smallrivers, crée en fait une page web dont le contenu est constitué des liens échangés sur le site de microblogging par différents groupes ciblés. "Le but de ce service est vraiment de permettre aux internautes de surfer rapidement sur l'ensemble des liens partagés chaque jour par les personnes qu'ils suivent sur Twitter", explique à L'Atelier Edouard Lambelet, Pdg de Smallrivers. Concrètement, n'importe qui peut créer sa propre édition en choisissant un utilisateur (dont le profil doit être public) ou une #thématique.

Une organisation peut-elle devenir “email-free” ? | Kimind Consu. (article publié également sur le site de 362.0) Drôle de question. Travailler sans utiliser d’emails ? Impossible répondrez-vous spontanément ! Et pourtant… C’est maintenant possible et nous pouvons l’affirmer haut et fort, le niveau fonctionnel nécessaire pour que cela soit possible est atteint depuis quelques mois, y compris pour les entreprises ! En effet à toute la panoplie des nouveaux services collaboratifs nés ces dernières années, est venue s’ajouter la brique manquante pour pouvoir se débarrasser de l’email : l’outil conversationnel de type micro-blogging à la twitter. Dans son implémentation plus riche, cela donne FriendFeed ou le wall de FaceBook dans l’univers grand public, Google Buzz et SocialWok dans le monde de l’entreprise.

En fait la rupture a été visible lorsque d’autres utilisateurs de ces groupes, qui eux n’avaient pas encore franchi ce pas, sont revenus à la charge en disant qu’ils avaient envoyé un email auquel il n’avait pas été répondu. Comment devenir email-free ?