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Escadrons de chasse

En savoir plus Recherche avancée Mettre l’animation en pause Armée de l’Air Accueil | Air | Activités | Unités aériennes | Escadrons de chasse Activités Escadrons de chasse Mise à jour : 05/12/2012 17:05 Escadron de reconnaissance 02.033 « Savoie » Lieu d'implantation : base aérienne 118 "Colonel Rozanoff ", Mont-de-Marsan.

Escadron de chasse 01.007 « Provence » Lieu d'implantation : base aérienne 113 « Commandant Saint Exupéry », Saint-Dizier Date de création et historique : Le groupe de chasse 1/7, formé à Dijon en octobre 1932, perpétue ... Escadron de chasse 01.003 « Navarre » Lieu d'implantation : base aérienne 133 « Commandant Henry Jeandet », Nancy ... Escadrons de transport. X En naviguant sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies, ce qui nous permet de vous proposer des contenus adaptés à vos centres d'intérêts.

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Escadron de drones

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Escadrons d'hélicoptères

Escadron de détection et de commandement aéroporté (EDCA) 00.036 « Berry » Historique : Créé le 19 juin 1992, l'escadron de détection et de commandement aéroporté (EDCA) est doté de quatre E-3F appelés SDCA (système de détection et de commandement aéroporté).

Escadron de détection et de commandement aéroporté (EDCA) 00.036 « Berry »

Ces quatre appareils sont basés sur la base aérienne 702 d'Avord (à 20 km de Bourges). L'histoire des AWACS français commence le 26 février 1987, lorsque la France commande quatre exemplaires à Boeing. Le premier vol d'un AWACS français a eu lieu le 26 juin 1990, il s'agissait d'un vol entre Renton (usine d'assemblage Boeing) et Seattle (siège de Boeing), c'est en arrivant à Seattle que le rotodôme fut posé. Intégrés au sein du 36ème EDCA, cette nouvelle unité est déclarée opérationnelle en juin 1992 et déployée dans les Balkans en juillet 1992. Les pompiers de l'air. Ces unités prennent part aux interventions sur sinistres extérieurs, à l'aide aux services publics en cas de catastrophes naturelles et à la lutte contre les feux de forêts.

Les pompiers de l'air

Expertes en termes de NRBC, elles organisent les moyens nécessaires à la prévention et à la décontamination du personnel et du matériel en vue de poursuivre l'activité opérationnelle face à un événement à caractère nucléaire, radiologique, bactériologique ou chimique. Les ESIS participent activement aux missions de prévention par : Les maîtres chiens. Le maître-chien assure la protection, et la défense des bases aériennes et de leurs aéronefs en effectuant des rondes et des patrouilles en métropole et en opérations extérieures.

Les maîtres chiens

C'est un dresseur, qui peut être projetable au sein d'un commando parachutiste. La spécialité de maître-chien n'est pas ouverte aux officiers. Les conducteurs de chien quant à eux sont des militaires techniciens de l'air (MTA) aptes à conduire des chiens déjà dressés. Ils ne sont pas formés à la qualité de dresseur. Le conducteur de chien assure la protection et la défense des bases aériennes au même titre que le maître-chien.

Les spécialités de maître-chien et de conducteurs de chien sont ouvertes aux femmes depuis 1998. Les chiens de patrouille, qui représentent 90% du cheptel canin, sont répartis au sein des escadrons de protection et des commandos parachutistes. Présentes dans les CPA 20 et 30 les équipes cynophiles sont aussi spécialisées dans la recherche d'explosifs, d'armes et de munitions. Les fusiliers commandos. Commando parachutiste de l'air n° 10. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Commando parachutiste de l'air n° 10

Historique[modifier | modifier le code] Les débuts[modifier | modifier le code] Dès 1935, les Soviétiques avaient exécuté parfaitement des largages de parachutistes avec leurs équipements et matériels de soutien. La France, consciente de l'intérêt opérationnel que représente ce système de mise en place, envoie trois officiers en stage en URSS (TUCHINO près de Moscou) afin de se familiariser aux techniques et matériels de parachutisme utilisés par l'URSS.

Parmi ces trois officiers, le capitaine Frédéric Geille, pilote de chasse de l’armée de l’air, obtient le brevet d’instructeur parachutiste. Le , est décrétée par le ministre de l'Air, le Général Denain, la création d'un centre d'instruction au parachutisme à Avignon-Pujaut, placé sous les ordres du Capitaine Geille. Le 3 octobre 1936, Mr Pierre Cot, Ministre de l'Air, signe un décret stipulant que les grandes unités aériennes pourront disposer d'unités d'infanterie de l'air. 1937 : Cdt Arsac.