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Vénézuela

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Voilà à quoi ressemble la mort d'une nation : le Vénézuela se prépare pour 720 % d'hyperinflation. Pour les citoyens du « paradis socialiste » vénézuelien de Nicolás Maduro, l’information est terrible et empire chaque jour qui passe. Hier, nous rapportions qu’un an après nos prévisions de novembre 2014, la Barclays a clairement annoncé que le Venezuela a passé le « point de non-retour » et qu’une banqueroute, en 2016, serait « difficile à éviter ».

Mais alors que certains, le reste des membres de l’OPEP et toutes les bulles pétrolières autour du monde pensaient que son impact dramatique toucherait seulement le gouvernement, la réalité de ce dernier coup fatal signifie une désintégration totale de l’économie et une hyperinflation à un niveau jamais atteinte. Selon les dernières estimations du FMI, l’inflation du consommateur au Venezuela, en plus d’être déjà la plus importante au monde, va tripler cette année à un niveau bien au-delà des estimations des économistes interrogés par Bloomberg. source : zerohedge.com. Défaite d’Obama : la totalité des gouvernements sud-américains lui demande de retirer son décret contre le Venezuela. Cinglante défaite pour Barack Obama et nouveau pas dans l’unité et la souveraineté latino-américaines : tous les Etats membres de l’Union des Nations Sud-Américaines (Unasur), à savoir l’Argentine, la Bolivie, le Brésil, le Chili, la Colombie, l’Équateur, le Guyana, le Paraguay, le Pérou, le Surinam, l’Uruguay et le Venezuela se sont réunis en session extraordinaire à Quito ce samedi 14 mars 2015 pour manifester leur rejet unanime du décret pris par Washington contre le Vénézuéla le 9 mars 2015 parce qu’”il constitue une menace d’ingérence et de violation de la souveraineté et du principe de non-intervention dans les affaires intérieures d’autres États”.

En outre, le porte-parole a rappelé que l’UNASUR poursuivra sa mission d’accompagnement du “plus large dialogue politique avec toutes les forces démocratiques vénézuéliennes, dans le plein respect de l’ordre constitutionnel, des droits humains et de l’État de droit”. Marche de soutien à Buenos Aires Marche de soutien à Brasilia. Les USA pris la main dans le sac au Venezuela | LE SAKER FRANCOPHONE. Source : 13 février 2015 – RT Allemagne Le président du Venezuela, Nicolas Maduro, a fait part de la mise en échec d’une tentative de putsch contre son gouvernement. Le président du Parlement, Diosdado Cabello, en a présenté jeudi tous les éléments, y compris un arsenal d’armes et des documents sur les tactiques de bombardement en vue de préparer le coup, qui devait s’emparer du palais gouvernemental, du ministère de la Défense et de la chaîne de Télévision Telesur.

Il a également souligné que les recherches en cours permettent de mettre en évidence une implication des États-Unis dans la préparation de ce coup d’État. Selon Maduro, des officiers des forces aériennes auraient prévu de bombarder, avec un EMB-32-Tucano, le siège du gouvernement de Miraflores dans le centre de Caracas, mais aussi le ministère de la Défense et d’Amérique latine et la chaîne de Télévision Telesur. Les sources de financement du coup d’État proviennent avant tout des États-Unis (Miami). Venezuela: taux d'inflation record à 68,5% en 2014.

Venezuela: taux d'inflation record à 68,5% en 2014 Caracas - Le Venezuela a enregistré un taux d'inflation de 68,5% en 2014, soit le plus élevé d'Amérique latine, a indiqué vendredi la Banque centrale du Venezuela (BCV) sur son site internet. la croissance des prix a été nettement plus élevée qu'en 2013, année où le taux d'inflation avait atteint 56,2%, selon les chiffres officiels.

L'augmentation des prix a été supérieure aux prévisions annoncées par le président Nicolas Maduro qui avait indiqué dans son discours de fin d'année que le taux d'inflation atteindrait 64%. En décembre 2014, l'augmentation des prix a été de 5,3%, avec notamment une hausse de 7,5% des prix alimentaires et des boissons non alcoolisées. Dans le même temps, les restaurants et hôtels ont vu leurs tarifs progresser de 7,4% pour le seul mois de décembre 2014, tandis que les prix des boissons alcooliques et des tabacs ont crû de 6,6%.

Hugo Chàvez

Le Venezuela et le double standard des médias occidentaux. 3 juin 2014 Article en PDF : Depuis 1998, l’opposition vénézuélienne a toujours rejeté les résultats des élections démocratiques, à une exception près : elle a reconnu la légitimité de sa victoire lors du référendum constitutionnel du 2 décembre 2007, remporté par un écart inférieur à 1%. Ainsi, la droite s’est résolument opposée aux gouvernements légitimes d’Hugo Chávez de 1999 à 2013 et de Nicolás Maduro depuis avril 2013. Tous les moyens ont été utilisés pour les renverser : coup d’Etat, assassinats politiques, sabotage pétrolier, guerre économique (depuis 1999), appels à la révolte et campagnes médiatiques de discrédit. Depuis février 2014, le Venezuela est frappé par des violences meurtrières qui ont coûté la vie à plus de 40 personnes, dont cinq gendarmes et un procureur de la République. Les médias occidentaux, qui ont pris fait et cause pour l’opposition putschiste et antidémocratique, ont dénoncé une atteinte aux droits humains.

Il serait aisé de multiplier les exemples. Venezuela : l’augmentation du salaire et la baisse du chômage continuent. Occultés par les médias privés vénézuéliens (link is external)et leurs relais internationaux (Le Monde, El Pais, Libération, NY Times, etc..) les chiffres révélés en janvier 2014 par l’Institut National de la Statistique indiquent une nouvelle baisse du chômage, tombé à 5,6% en décembre.

Ce chiffre est le plus bas enregistré par le gouvernement bolivarien (rappelons que le chômage atteignait 11% lors de l’élection de Hugo Chavez en décembre 1998). De 1999 à 2013, l’économie vénézuélienne a décollé grâce au rôle moteur de l’État et aux investissements publics, permettant à 4.185.697 personnes de trouver un emploi. L’étude indique également que le travail “informel” qui occupait 55 % de la population active en 1999 a reculé en 2013 à 37,9 %. Dans la même période l’emploi formel a fortement augmenté, passant de 45,0% à 62,1% de la population.

En janvier 2014, le président Maduro a décrété une nouvelle augmentation de 10 % du salaire minimum, ce qui en fait le plus élevé d’Amérique Latine. Venezuela : Plus de 64 % de la richesse nationale a été redistribuée au peuple. Le chef d’État a mis l’accent sur le progrès du modèle économique socialiste, pensé pour « dignifier » le peuple vénézuélien.

Le président du Venezuela, Nicolás Maduro, a affirmé qu’en dépit de la guerre économique et des plans de la droite pour déstabiliser le pays, la distribution des richesses en faveur du peuple n’a pas été paralysée. Maduro a signalé qu’en 2012, le commandant Hugo Chávez a eu la satisfaction de distribuer équitablement 62 % de la richesse pétrolière, industrielle et agricole du pays : « Et bien que l’on pensait que cela finirait par diminuer avec la guerre économique, en 2013, nous avons grimpés jusqu’à 64,1 % dans cette distribution de la richesse nationale », a déclaré Maduro. Venezuela: évolution du panier moyen alimentaire, et du revenu minimum légal entre 1990 et février 2014 Venezuela. Investissements sociaux et revenus, de 1984 à 1998 et de 1999 à 2013.

Manipulation d’images et guerre psychologique au Venezuela (et sur le net) 25 mars 2014 Article en PDF : Le degré d’efficacité en matière de propagande répond à trois critères : 1) L’ignorance d’un public en captivité qui prend pour argent comptant la véracité immédiate des sources et de l’image telles quelles, 2) La condition « éphémère » de la circulation informative surtout sur les réseaux sociaux : son action est immédiate et elle ne permet aucune capacité de réflexion ou de contraste qui questionne une image en particulier, 3) La soumission à la logique du spectacle qui, de la même manière qu’elle intoxique via le net, le fait via le reste de la plateforme médiatique (presse, télévision) qui supprime tout contexte d’une photographie ou vidéo en particulier.

C’est pour cela que l’efficacité immédiate d’imposer une seule narrative intéressée et exclusive aux évènements qui viennent de se dérouler au Venezuela Bolivarien, a été relative. Source : Traduit de l'espagnol par San Felice pour Investig'Action Haut de la page - Accueil. Mensonges et omissions médiatiques sur le Venezuela. Suite aux violences de février dernier, au Venezuela, provoquées par des groupes fascistes liés à l’opposition de droite, le directeur états-unien du Center for Peace and Justice, Tom Hayden, dénonce la désinformation et critique la presse internationale pour ne pas avoir montré la vraie version des faits.

Les nouvelles internationales, dit-il, montrent un appui évident aux violentes protestations présentées comme pacifistes et, ce faisant, participent aux manipulations de l’étranger pour renverser le gouvernement légitime de Nicolas Maduro. Les médias québécois ont suivi ce courant, répétant des faussetés parfois énormes et taisant des pans entiers d’information qui, autrement, auraient contredit la teneur anti-gouvernementale de leur message. Ainsi, il est faux de dire que les protestataires sont des étudiants. Les manifestations n’avaient rien de pacifique non plus. Un autre mensonge consiste à prétendre que la population en a assez d’un gouvernement qui s’accrocherait au pouvoir. Washington isolé sur la question vénézuélienne. Les Etats-Unis se retrouvent isolés sur le continent américain en ce qui concerne la question vénézuélienne, en raison de leur soutien apporté au secteur putschiste de l’opposition, dont les violences ont causé la mort de près de 30 personnes.

Depuis le début du mois de février 2014, les secteurs d’extrême droite de l’opposition multiplient les actes criminels au Venezuela dans le but de rompre l’ordre constitutionnel et de renverser le président démocratiquement élu Nicolas Maduro. Les violences ont causé la mort d’au moins 28 personnes dont plusieurs membres des forces de l’ordre. Le plan d’action a été élaboré dès janvier 2014 par trois leaders de l’opposition : Leopoldo López, président du parti Voluntad Popular, María Corina Machado, députée à l’Assemblée nationale, et Antonio Ledezma, maire de Caracas. Tous trois ont publiquement appelé à un coup de force contre le gouvernement légal et légitime de la République bolivarienne du Venezuela[1]. Salim Lamrani. Même scénario au Vénézuela : désinformation, manipulations et exactions contre le pouvoir légal.

El País et la Révolution bolivarienne au Venezuela. 17 mars 2014 Article en PDF : Depuis le triomphe de la Révolution bolivarienne au Venezuela avec l’élection du Président Hugo Chávez en 1998 (jusqu’à 2013) et la victoire de son successeur Nicolás Maduro en 2013, El País, principal quotidien espagnol et leader d’opinion, a délaissé l’impartialité dans le traitement de la réalité de ce pays.

Pis encore, le journal espagnol a abandonné le journalisme équilibré et nuancé au profit d’une critique systématique et à sens unique du pouvoir démocratiquement élu de Caracas. Une démocratie ? Dans une tribune du 9 mars 2014, El País expose son point de vue et déclare que « le Venezuela n’est plus un pays démocratique[1] ». La liberté de la presse Le quotidien madrilène déplore « une asphyxie systématique de la liberté d’expression ».

La Révolution bolivarienne, un échec ? A la lecture de ce bilan, on en conclut que la Révolution bolivarienne a été un échec. En 1999, 82% de la population avait accès à l’eau potable. Son nouvel ouvrage s’intitule Cuba. Comprendre la défaite d’un coup d’État et… des médias internationaux. Un des objectifs de l’extrême droite était de faire "le nécessaire" pour substituer le processus d’une démocratie participative par l’image mondiale d’un État répressif. Mais alors qu’on a rempli partout les yeux de la “répression-au-Venezuela”, les 90 % des vénézuéliens se sentent étrangers à cette réalité virtuelle. Pourquoi ? Parce qu’ils vivent en paix sur la quasi-totalité du territoire. A l’Ouest et au centre de Caracas, habités par la majorité populaire, pas de violences, pas de journalistes, pas de pixels pour la voix off : “Venezuela", "révolte", "répression”.

Le médiamensonge de "la guerre civile au Venezuela". On a montré des marches de l’opposition, parties des quartiers riches. Nicolas Maduro, le 10 mars, lors de la remise de diplômes à 2500 nouveaux médecins intégraux communautaires. 12 mars, à Caracas. Salvador Sanchez Ceren, nouveau Président de la République du Salvador. Rafael Correa, Président de l’Équateur T.D., Caracas, 12 mars 2014 Like this: J'aime chargement… États-Unis contre Venezuela : la Guerre froide devient chaude. Des manifestants « pacifiques » —et cependant masqués— préparent un cocktail Molotov lors d’affrontements à Caracas, le dimanche 2 mars 2014. Au Venezuela, lors du récent carnaval, les poches isolées de manifestations étudiantes qui se sont tenues dans de grandes villes se sont éteintes comme par miracle.

Ou, pour être plus précis, elles ont disparu dans les quartiers privilégiés de ces villes. Les organisateurs des manifestations anti-gouvernementales avaient déclaré que le carnaval n’aurait pas lieu, malgré la tradition de voyager vers les plages des Caraïbes, car « le mécontentement du peuple » avait atteint un point culminant. Juste un peu plus et le régime s’évanouirait, le président Nicolás Maduro et ses camarades s’enfuiraient à Cuba et le pays redeviendrait « une véritable démocratie ». Les manifestations ont été largement couvertes par les principaux canaux de télévision occidentaux. Le Venezuela : démocratique et bolivarien. 5 mars 2014 Article en PDF : « La violence et les attaques contre le Venezuela sont aussi une attaque contre tous les gouvernements démocratiques du continent. Ceci n’est pas un fait isolé, les tentatives de coups d’Etats sont entrain de progresser sous des nouvelles formes et méthodologies en Amérique latine », s’exprima ainsi le Président du Service Paix et Justice, organisme de défense des Droits Humains en Amérique latine.

Il précisa que dans tous les cas on rencontre constamment les deux mêmes facteurs : les US, et leurs corporations de communication massive, « Les medias corporatifs multinationaux comme CNN ou FOX diffusent de la propagande de guerre au nom de la paix, et la haine au nom de la liberté ». Ci-joint l’article complet < : La solidarité envers le peuple vénézuélien et son gouvernement est un grand défi pour notre Amérique. Haut de la page - Accueil. Pourquoi une inflation élevée au Vénézuela ? 5 mars 2014 Article en PDF : Inflation et pénurie alimentaire Il ne souffre aucun doute que le Venezuela connaît de sérieux problèmes économiques. 56% d’inflation est un chiffre très élevé et chaque Vénézuelien est confronté quotidiennement aux pénuries alimentaires.

Le gouvernement du président Maduro a sous-estimé ce problème et doit l’aborder de façon beaucoup plus énergique, selon Keane Bhatt du North American Congress on Latin America(NACLA). Ces faits doivent cependant être nuancés et complétés par d’autres facteurs qui sont aussi déterminants pour l’économie. Selon Gregory Wilpert, fondateur et rédacteur en chef de Venezuelanalysis, il y a des raisons historiques et politiques pour lesquelles le Venezuela a une haute inflation depuis si longtemps. Sous Chávez, elle était en moyenne de 22 %, à l’exception de l’année 2013 sous son successeur Maduro.

Les limites d’une économie pétrolière Le gouvernement a réagi en édictant des règles strictes pour l’exportation de devises depuis 2003. TOUT CE QU'ON VOUS CACHE a partagé sa photo. - TOUT CE QU'ON VOUS CACHE. Maduro : les désordres au Venezuela et en Ukraine sont financés par les USA - Dernières infos - Politique. Même scénario au Vénézuela : désinformation, manipulations et exactions contre le pouvoir légal. Stratégie de la tension au Venezuela. Déjà 2,5 millions de dollars investis pour assassiner le président Maduro. Analyse de Martin Prescott sur le Venezuela. Vénézuela : Reportage honteux diffusé sur le JT de 20H.