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Jour de colère

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Jour de colère : Les supporters du PSG bastonnent les membres de la LDJ. PARIS, France – Cette information est passée inaperçue. On a entendu tout et n’importe quoi pendant cette manifestation. D’un côté, disent les médias, il n’y avait que des racistes, et de l’autre, les manifestants parlaient de l’exploit réalisé par la manifestation, qui a réussi à mettre nombre de différences dans le placard, pour dire non au président de la République François Hollande. Il y a même eu un gros mensonge, qui a été dit. En effet, les marcheurs n’ont jamais parlé de juif, mais de Crif. Hier, le 26 janvier donc, en ce jour de manifestation dit "jour de colère", environ 80 supporters du Paris Saint Germain (PSG), courroucés par le harcèlement policier dont ils estiment être les victimes, avaient décidé de se retrouver de manière pacifique pour manifester leur mécontentement envers cette "violente répression" qu’ils disent subir depuis des années.

Qui dit bien que Auteuil et Boulogne ont charger ensemble la LDJ! Affaire à suivre ! Source(s) : Allain Jules Icône de liens externes. Jour de Colère : La provocation policière pour les nuls | Contrescarpe. Les provocations policières ne sont pas nouvelles, elles sont même inscrites dans l’histoire de la République. Les sceptiques sont ceux qui n’en ont jamais vu, et ceux qui oublient que les forces de l’ordre ont en fait deux missions : le maintien de l’ordre et la protection du pouvoir en place.

Quand le pouvoir ne respecte plus l’ordre, la police devient politique et abuse des pouvoirs de maintien. Voir aussi : l’ode à Foutriquet 1er, roi de la badine. Voir aussi : Mon compte rendu de la journée Ce dimanche soir, après 3 heures de marche, nous avions une alliée : la pluie. Ce même groupe est celui qui, vers 18h15, quelques minutes après la dispersion, a brutalement attaqué le camion média qui s’occupait de la retransmission. Qui sont-ils, d’où viennent-ils ? Peut-être de bienveillants pandores ? Attention, au bout de 30 minutes hors du camion chauffé, il devient difficile de distinguer sur la base du pantalon mouillé ou pas le casseur du manifestant du flic manifestant casseur.