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Espagne

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Il s’est passé quelque chose d’important la semaine dernière à Barcelone. Un manifestant près d’une poubelle en flammes, à Barcelone le 29 mai 2014 (Manu Fernandez/AP/SIPA) La semaine dernière, le maire de Barcelone a décidé d’entamer la destruction d’un squat dans le quartier de Sants, au centre de la capitale catalane. Ce squat, Can Vies, est implanté dans un bâtiment du XIXe sièclequi appartient aux TMB, l’entreprise de transports publics de la ville.C’est un lieu qui porte une forte histoire sociale, puisqu’il a étépendant plusieurs dizaines d’années le refuge syndical des travailleurs de la TMB.

Au début des années 90, après un incendie, le bâtiment a été laissé à l’abandon. Making of Etudiante en histoire de l’art, Lucie est en Erasmus à Barcelone depuis l’été dernier. Pendant quelques jours, la semaine dernière, le climat de la ville s’est tendu, après la décision de la mairie de fermer, à la suite de plusieurs autres, un lieu autogéré. C’est en 1997 qu’un collectif décide de s’y installer et de le réhabiliter. Gare à la matraque des Mossos. Les Marches de la Dignité convergent sur Madrid.

Excédés par tant d’injustices sociales, partis de toutes les régions d’Espagne, des activistes décident d’entamer une longue marche revendicative sur Madrid. Les « Marches de la dignité » s’élancent dès le 28 février, contre les coupes austères dans le budget appliquées pour honorer le paiement de la dette, dégradant ainsi les services sociaux essentiels. Le Manifeste appelle à la mobilisation contre ce « système injuste mis en place pour assurer une production et distribution inégale de la richesse ». Les slogans « gouvernement de la Troika, dégage ! », « du pain, un toit, du travail pour toutes et tous », « on ne doit pas, on ne paie pas » se multiplient sur les pancartes des marcheurs.

De villes en villages ceux-ci tissent des liens avec la population croisée sur le chemin et transforment l’exaspération en action : le fameux slogan, né d’actions victorieuses contre les expulsions de logements, « oui c’est possible » (¡sí se puede !) Mobilisation de masse. Mouvement contre l’austérité et la corruption : vers un nouveau printemps espagnol ? Plusieurs centaines de milliers de personnes ont manifesté contre l’austérité et le remboursement d’une dette jugée « odieuse », à Madrid le 22 mars. Trois ans après le « mouvement des indignés », collectifs citoyens, syndicats et partis de gauche ont réussi à s’unir pour « le droit à une vie digne pour tous ».

La mobilisation réussira-t-elle à dépasser les dissensions et les nombreuses défiances vis-à-vis des organisations traditionnelles ? Une grève générale se prépare pour avril. C’est une mobilisation sans précédent dans l’histoire de la démocratie espagnole. Près de deux millions de personnes, selon les organisateurs – 50 000 d’après les chiffres officiels... – ont convergé le 22 mars sur Madrid pour une « Marches pour la Dignité ». Objectif : reprendre le flambeau du formidable élan contestataire, le mouvement des « indignés », né le 15 mai 2011 sur la Puerta del Sol madrilène et tenter de contrer la politique d’austérité menée par le gouvernement conservateur.

Photo : source. Mouvement contre l’austérité et la corruption : vers un nouveau printemps espagnol ? Plusieurs centaines de milliers de personnes ont manifesté contre l’austérité et le remboursement d’une dette jugée « odieuse », à Madrid le 22 mars. Trois ans après le « mouvement des indignés », collectifs citoyens, syndicats et partis de gauche ont réussi à s’unir pour « le droit à une vie digne pour tous ».

La mobilisation réussira-t-elle à dépasser les dissensions et les nombreuses défiances vis-à-vis des organisations traditionnelles ? Une grève générale se prépare pour avril. C’est une mobilisation sans précédent dans l’histoire de la démocratie espagnole. Un mouvement social contre l’austérité L’initiative, en préparation depuis six mois, vient d’une alliance improbable : celle de syndicats, de mouvements sociaux, de collectifs spontanés, et de partis politiques. Privatisation, répression, corruption Un projet de réforme de la loi du travail prévoit d’abaisser les indemnités de licenciement.

La difficile union des syndicats Défiance vis-à-vis des partis de gauche et des médias. Espagne : occupation historique de plus de 50 agences bancaires de la BBVA. A Madrid, le peuple se révolte contre la Troïka. Des milliers de manifestants défilent ce samedi dans Madrid, arrivant de toutes les régions d'Espagne pour une "marche de la dignité" et souligner "l'urgence sociale" créée par les coupes budgétaires du gouvernement conservateur. Organisés en huit cortèges, des milliers de manifestants rejoindront en fin de journée le centre de la capitale, après avoir marché, pour certains depuis près d'un mois, d'Andalousie (sud), de Catalogne (est), des Asturies (nord) et d'Extrémadure (ouest).

Les premiers arrivés ont passé la nuit aux portes de Madrid. "Sortez les gouvernements de la Tröika" Sur les réseaux sociaux, on peut aussi voir des pompiers de Madrid qui manifestent et brandissent des messages comme "nous secourons les personnes, pas les banques". Une politique d'austérité sans précédent... Les organisateurs ont annoncé que des centaines de bus et au moins quatre trains ont été affrétés. ...rejetée massivement dans les sondages. Référendums en cascade: Barcelone va divorcer avec Madrid. Espagne : Incidents en marge d’une conférence économique de la Troïka. Des incidents ont éclaté ce lundi en marge d’une conférence économique de la Troïka organisée à Bilbao, dans le nord de l’Espagne. Les incidents ont éclaté en marge d’une conférence sur l’économie espagnole et européenne où étaient notamment invités la présidente du FMI Christine Lagarde, le vice-président de la Commission européenne Joaquin Almunia, le ministre espagnol de l’Economie Luis de Guindos et le roi d’Espagne Juan Carlos, ainsi que plusieurs présidents de grandes entreprises.

Sources : Youtube / Le JDS Like this: J'aime chargement… Catégories:Espagne, Europe, Manifestation Tags:Espagne, Europe, FMI, manifestation, Troïka. Ce soir toute l’Espagne sera accrochée devant son téléviseur à partir de 21h30. Voici une analyse de la situation en Ukraine, doctorix ; Publié par Aymeric Chauprade le 23 février 2014 Le coup de force organisé par les États-Unis et l’Union européenne soutenant Tiagnibok (seul leader qui contrôlait les émeutiers) pendant les Jeux de Sotchi (les Russes ayant alors les mains liées) a donc fonctionné et débouché à l’effondrement du pouvoir légal la veille de la fin des Jeux (le 23 février). Quelles leçons pouvons-nous tirer ? 1) Les récents événements dramatiques démontrent qu’il n’existe aucune solution politique viable et durable pour l’Ukraine dans les frontières actuelles car l’Ukraine est divisée géopolitiquement. 2) Le président Ianoukovitch qui a quitté le pouvoir de lui-même, et afin que le bain de sang cesse, avait certes des torts sérieux (corruption, incapacité à agir dès le début de la crise) mais il avait été élu démocratiquement (aucune contestation de l’OSCE) et était le président légal.

L’Ukraine face au réel - banqueroute de Naftogaz, la compagnie gazière. Espagne : Multiples manifestations et répression dans le silence des médias français.... Des nouvelles d'Espagne... Des camarades de Barcelone nous demandent de faire savoir ce qui se passe depuis 48 heures dans toute l'Espagne. Des manifestations éclatent un peu partout et la répression se donne libre cours. Suite à la mobilisation massive et quotidienne durant les derniers 7 jours (plus de 6000 personnes) d'un quartier ouvrier de Burgos (Nord de l'Espagne) appelé EL GAMONAL, contre la construction d'un parking (la mairie du PP a décidé que les riverains ne pourront plus garer leurs véhicules et seront contraints de louer pour 40 ans des parkings à 20.000 euros la place, bonjour la spéculation !)

, qui se sont soldées avec plusieurs personnes arrêtées dont 2 incarcérées, la population de différentes villes d'Espagne s'est mobilisée durant ces 4 derniers jours et sans chômer en soutien aux habitants de EL GAMONAL. Suite aux arrestations, les habitants de GAMONAL se préparent à résister à la charge des flics. Devant la Mairie de Burgos Moment de l'arrestation. Espagne : Après l’interdiction de manifester et d’avorter … l’interdiction d’exposer ! Espagne : La crise a détruit la classe moyenne. Les coûts du travail en Espagne sont maintenant devenus plus faibles que ceux de l'Allemagne et largement inférieurs à ceux de pays concurrents tels que la France et l'Italie. En conséquence, les constructeurs automobiles ont investi l'année dernière plus de 1,5 milliard d’euros dans la production de nouveaux modèles en Espagne, selon les chiffres de l'Asociación Nacional de Fabricantes la Automóviles (ANFAC).

Un travailleur espagnol dans l'industrie automobile gagne aujourd'hui une moyenne de 22,53 euros par heure (charges sociales incluses). Aucun des «quatre grands» ne fait mieux: en France, un ouvrier gagne 36,35 euros, en Allemagne, 34,90 euros et en Italie, 26,63 euros. 34 modèles de voitures étaient encore produites en 2011 en Espagne, et il devrait y en avoir plus de 45 d'ici 2015. Dans le Periódico de Catalunya, l'écrivain Xavier Bru de Sala redoute que l’Espagne ne devienne un pays de bas salaires Icône de liens externes La division des rôles a déjà été faite.

(Source(s): Express.