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Les pesticides de l’agriculture bio : une vérité qui dérange. La malbouffe BIO – Alimentation Intelligente. Le-veilleur.com - Consommer Bio : Derrière l'étiquette rassurante, une réalité bien différente. Anglet : "Je n’ai rien à voir avec un agriculteur classique" Dans un quotidien trop huilé, elle aurait forcément associé une pincée de piment.

Anglet : "Je n’ai rien à voir avec un agriculteur classique"

Y aurait ajouté un bouquet d'herbes, sans doute un peu folles. Caroline Helary , 30 ans, est la seule agricultrice à cultiver des légumes certifiés bio à Anglet et à en assurer la vente directe depuis début mars. Une entreprise française crée un désherbant naturel pour remplacer le Roundup. Selon la FAO, l'agriculture bio peut nourrir la planète. 5 bonnes raisons d'acheter local. Réagissez : Partagez : Les AMAP se multiplient, les petits commerces existent toujours autour de vous… En bref, vous pouvez manger local.

5 bonnes raisons d'acheter local

Si certaines personnes choisissent de manger local, et des produits de saisons, ce n’est pas par hasard. Alors, quels sont les avantages ? Acheter local : quel « local » ? Acheter des produits bio 2 fois moins cher dans un magasin collaboratif. L'agriculture biologique en péril. Le ministère de l'Agriculture a décidé de stopper l'élan de la bio, en totale contradiction avec son intention affichée de transition agroécologique.

L'agriculture biologique en péril

Au cours de la réunion de mercredi sur les Mesures agro-environnementale (MAE*) au ministère, a été annoncée la possibilité pour les régions de ne pas attribuer les aides au maintien de l'agriculture biologique à tous les paysans. Chaque région pourrait établir des critères de priorité (zone à fort enjeu environnemental, lien à une filière, projets collectifs), voire limiter la période d'aide à cinq ans. Les fruits et légumes bio, plus riches en antioxydants. Une étude internationale de grande ampleur démontre les bénéfices pour la santé humaine des productions issues de l'agriculture biologique.

Les fruits et légumes bio, plus riches en antioxydants

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Laetitia Van Eeckhout La consommation de fruits, légumes et céréales bio peut fournir un complément en antioxydants équivalant à une consommation supplémentaire de une à deux portions de fruits et légumes par jour. Autrement dit, choisir des aliments produits selon les normes de l’agriculture biologique peut conduire à une consommation accrue d’antioxydants, bénéfiques pour la santé, sans augmentation de l’apport calorique. Tel est le constat établi par une grande étude internationale coordonnée par l’Université de Newcastle, au Royaume-Uni, et comparant la teneur en éléments nutritifs dans les aliments bio et ceux issus de l’agriculture conventionnelle.

Lire Le bio à l’âge de raison. Comment les cubains ont converti leur île au bio. Les écologistes du monde en entier en rêvent, les Cubains l’ont réalisé.

Comment les cubains ont converti leur île au bio

Depuis plus de vingt ans, l’île s’est convertie à l’agriculture biologique. Santé : Pourquoi choisir le bio, l'exemple de l'île flottante. "L'agriculture biologique peut nourrir le monde" L’agriculture biologique pourrait alimenter neuf milliards d’êtres humains et être plus productive que notre agriculture conventionnelle.

"L'agriculture biologique peut nourrir le monde"

C’est l’idée iconoclaste défendue par Jacques Caplat. Il est agronome, ancien conseiller agricole, fils d’agriculteur et auteur d’un ouvrage intitulé L’Agriculture biologique pour nourrir l’humanité (Actes Sud). Il y démonte les idées reçues sur l’agriculture biologique et rappelle que notre agriculture occidentale contemporaine n’est pas le seul modèle possible. Reporterre – Voici peu, nous révélions qu’un collectif de scientifiques conteste le grand rapport de l’INRA (Institution national de recherche agronomique) sur l’agriculture biologique. Qu’est-ce que cela vous inspire-t-il ? Jacques Caplat - Cette affaire témoigne du retard de l’INRA en matière de bio. Un bio industriel à éviter. Plusieurs labels garantissent un bio solidaire, à l’opposé du bio industriel.

Un bio industriel à éviter

Saurez-vous les reconnaître ? © Natura Sciences Près de la moitié des produits bio sont à présent vendus en grandes surfaces. L’entrée de la grande distribution dans le marché du bio a entraîné une course à la baisse des prix. Tous les géants, y compris les hard discounters ont créé leurs propres gammes. Des exploitations qui grandissent En France, les exploitations dépassant10 hectaresde serres ou100 hectaresde cultures en plein champ sont rares. Même issus de l’agriculture biologique, les fruits et légumes provenant d’Italie, Allemagne, Argentine ou bien encore d’Israël sont à l’origine de rejets de CO2 dans l’atmosphère lors de leur transport, car les produits ont besoin d’être réfrigérés. Selon l’ADEME, un fruit hors-saison bio importé par avion entraînerait la consommation de 10 à 20 fois plus de pétrole que le même fruit produit localement et acheté en pleine saison.

Des produits plus chers ? Le bio-plastique, débouché high-tech et écolo pour les agriculteurs. Des épis de maïs© AFP/Archives Paul J.

Le bio-plastique, débouché high-tech et écolo pour les agriculteurs

Richards Paris (AFP) – Du maïs et du blé pour fabriquer des sacs de supermarchés biodégradables mais aussi des capsules de café ou des ficelles de parachutes: les bioplastiques prennent pied dans l’agriculture française, offrant un débouché high-tech aux producteurs. Fabriqué grâce à l’amidon contenu dans le maïs, le blé et les pommes de terre, le bioplastique peut prendre des formes aussi variées que son cousin fabriqué avec du pétrole, avec l’avantage de pouvoir disparaître totalement dans la nature une fois utilisé, et de servir de compost. « Ce qu’on peut trouver dans le végétal est une mine d’or. Et cela met un peu de piment dans le métier d’agriculteur », se réjouit Arnaud Rondeau, qui dédie depuis l’an dernier 30 hectares de maïs au bio-plastique, sur les 80 qu’il cultive entre l’Yonne et le Loiret. Céréalier dans la Marne, il tourne le dos au « tout chimique » « Le tout chimique est derrière nous »: Jean-Paul Vinot est céréalier dans la Marne et il tente, à sa modeste échelle, de protéger la biodiversité qui l’entoure, sans être bio pour autant.

Céréalier dans la Marne, il tourne le dos au « tout chimique »

En traversant les riches régions céréalières et de grandes cultures du nord de la France, le paysage est uniforme, les haies ont disparu, la monoculture productiviste enlevant ses droits à la nature. Après des impasses techniques, certains céréaliers ont compris qu’un tel système avait fait son temps. Ils ont revêtu leur costume d’agronome pour trouver un équilibre entre une « agriculture raisonnable » et l’utilisation de produits chimiques. Manger bio, est-ce vraiment bon pour la santé ?

C'est la question à laquelle va tenter de répondre la plus vaste étude jamais conduite sur la consommation d'aliments bio lancée ce mardi 11 février.

Manger bio, est-ce vraiment bon pour la santé ?

BIO. Manger bio a-t-il réellement un effet bénéfique à long terme sur la santé ? Une vaste étude qui sera menée sur plusieurs années et concernera plus de 100.000 personnes, dont la moitié adepte du bio, lancée mardi 11 février, va tenter de répondre à la question. C'est la plus grande étude jamais conduite sur la consommation des aliments bio, relève le Dr Emmanuelle Kesse, épidémiologiste qui pilote cette nouvelle étude appelée "BioNutriNet". Une éleveuse bio poursuivie pour avoir soigné ses brebis par les plantes. Une éleveuse bio se retrouve en conflit avec la justice pour des soins qu’elle prodigue par les plantes et les huiles essentielles à ses bêtes.

Éleveuse bio à Bourdeaux dans la Drôme, Sandrine Lizaga a reçu un “rappel réglementaire” de la préfecture concernant les soins naturels qu’elle offre à ses 60 brebis laitières. Acte jugé non conforme à la réglementation européenne, Sandrine risque de perdre ses primes annuels de la PAC qui la font vivre. L’affaire a commencé le 6 août dernier, lorsque deux inspectrices de la Direction Départementale de la Protection des Populations (DDPP) sont venues effectuer un contrôle en vue des aides européennes et des conditions de leurs attributions.

Celles-ci ont été très étonnées en découvrant une pharmacie uniquement composée de tubes d’huiles essentielles et de granulés d’homéopathie. Installée à la ferme du Serre depuis bientôt 4 ans, cette mère de deux enfants ne savait pas si elle allait être pénalisée. Icône de liens externes.