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Relations with Russia / Relations avec la Russie

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Donald Trump prend une nouvelle fois la défense de Vladimir Poutine - Le Temps. Le président américain Donald Trump a défendu une nouvelle fois Vladimir Poutine devant l’opinion publique américaine, montrant qu’il ne renonçait pas à trouver des accords avec le président russe sur les affaires de la planète. Lire aussi: Donald Trump inquiète toujours autant la Suisse Une nouvelle flambée des combats entre forces ukrainiennes et séparatistes prorusses dans l’est de l’Ukraine a contraint cette semaine l’administration américaine à critiquer Moscou et à promettre le maintien des sanctions internationales qui visent la Russie.

Mais dimanche, dans une interview diffusée sur «Fox News» avant le démarrage du très populaire Super Bowl, le président américain a défendu une nouvelle fois sa volonté de chercher à réchauffer les relations avec son homologue russe. «Je le respecte», mais «ça ne veut pas dire que je vais m’entendre avec lui», a-t-il dit. «C’est un leader dans son pays, et je pense qu’il vaut mieux s’entendre avec la Russie que l’inverse», a-t-il dit. Russia's booming 'Trumpomania' | Russia | Al Jazeera. Ryazan, Russia - The name Godless Street, a legacy of Soviet-era persecution of religion, did not sound right to some residents of this ancient Russian city. So, historian and publicist Sergei Bizyukin came up with a new one. How about a Donald Trump Street, he thought in late November, days after the American billionaire's unexpected presidential election victory?

Bizyukin's online petition - whose motto "Let's make Ryazan great again" mimicked Trump's campaign slogan - had almost 300 votes by early February. "Some saw it as a joke and signed because it was fun, some stood for normalisation of US-Russia ties, and some signed because they don't like the name Godless Street," Bizyukin told Al Jazeera. WATCH: Why do Russians love Putin so much? The petition generated some media buzz amid nascent Trumpomania, an unprecedented trend in Russia where anti-Americanism has for decades been part of the political DNA. Obamaphobia - derogatory and racist OPINION: The inevitable Trumputin divorce. Is Trump trying to drive a wedge between Russia and China? — RT Op-Edge.

John Wight has written for newspapers and websites across the world, including the Independent, Morning Star, Huffington Post, Counterpunch, London Progressive Journal, and Foreign Policy Journal. He is also a regular commentator on RT and BBC Radio. John is currently working on a book exploring the role of the West in the Arab Spring.

You can follow him on Twitter @JohnWight1 Is the Trump administration embarked on a foreign policy of driving a strategic wedge between Russia, China, and Iran? Given the precedent set by the Nixon-Kissinger strategy of the 1970s vis-à-vis Russia and China, the question is pertinent. Trump’s foreign policy since he assumed office can be boiled down to the simple, if not simplistic, proposition of peace with Russia and conflict with China and Iran. Regardless, there are those who continue to project faith in Trump based on nothing more concrete than the fact he isn’t Barack Obama or Hillary Clinton. It is utter nonsense. Log In - New York Times.

WASHINGTON — President Trump cast doubt on whether Moscow is backing separatists engaged in the recent escalation of fighting in eastern Ukraine, appearing to side with President of Russia, who has long denied involvement in the conflict despite evidence to the contrary. Mr. Trump said he did not take offense at the outbreak of a lethal bout of fighting in Ukraine that came within a day of a phone conversation he had with Mr.

Putin, saying of the recent clashes, “we don’t really know exactly what that is.” «Avec Trump, la levée des sanctions contre la Russie n’est qu’une question de temps» – EurActiv.fr. Le rapprochement en cours entre les États-Unis et la Russie aura des conséquences néfastes, selon une députée polonaise. Notamment la levée des sanctions de l’Occident contre la Russie, qui n’est plus qu’une « question de temps ». Bożena Kamińska, élue du parti d’opposition Plateforme civique (Platforma Obywatelska), représente les régions de l’Est de la Pologne. Elle est membre des commissions parlementaires dédiées à la défense et aux contacts avec les Polonais à l’étranger.

Selon vous, les sanctions contre Moscou vont-elles être remises en question après l’élection de Donald Trump? Bien sûr, non seulement la classe politique, mais aussi l’opinion publique polonaise sont d’avis qu’un tel changement risque de se produire. Vous voulez dire que les sanctions vont être levées? Oui. >> Lire : Les pays de l’Est demandent à Trump de ne pas flancher face à la Russie C’est une bonne question. Que craignez-vous? Les décisions que Trump prendra concernant l’OTAN seront également cruciales.

TRUMP, LA RUSSIE ET LES CONFLITS D'INTÉRÊT. L'arrivée de Trump peut-elle aggraver la crise en Ukraine? Près de quarante morts en une semaine. Les violences dans l'Est de l'Ukraine la semaine passée sont les pires depuis l'instauration d'un cessez-le-feu "illimité" fin décembre. Elles interviennent quelques jours après l'entrée en fonction du nouveau président américain. Faut-il y voir un lien? Les autorités de Kiev et les rebelles s'accusent mutuellement, comme elles l'ont souvent fait par le passé. "Les premiers accrochages sont très probablement dus à la dynamique locale", observe Ioulia Shukan, spécialiste de l'Ukraine à l'université Paris Nanterre.

Les adversaires tentent en permanence de grignoter du terrain, en dépit de l'accord signé à Minsk en février 2015. Tester la position de la nouvelle administration Trump Pourquoi ces escarmouches ont-elles pris une telle ampleur au cours des derniers jours? A l'inverse de l'administration Obama, qui condamnait aussitôt chaque accrochage, l'équipe de Donald Trump a attendu deux jours avant de réagir. A Donetsk, la peur d'un lâchage...