background preloader

Bratislava summit Sept. 2016 / Sommet de Bratislava sept. 2016

Facebook Twitter

UE : au sommet de Bratislava, un couple franco-allemand soudé pour surmonter le Brexit. Bratislava, un sommet eurosceptique. "Un moment particulièrement historique": c'est en ces termes que le président du Conseil européen, Donald Tusk, qualifie le sommet de Bratislava dans une lettre envoyée aux chefs d'Etats et de gouvernement conviés ce vendredi dans la capitale slovaque. Après le coup de massue du Brexit, il doit permettre aux dirigeants de l'UE de vider leur sac. Et de retrouver une raison d'être à l'Union. Dans son discours sur l'état de l'Union, mercredi, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, leur a proposé de se rendre à Bratislava avec "trois raisons pour lesquelles nous avons besoin de l'Union".

Donald Tusk, qui a fait un grand tour des capitales pour préparer le sommet, les a déjà trouvées: la sécurisation des frontières extérieures, la lutte contre le terrorisme et le contrôle de la mondialisation sont les trois priorités autour desquelles il appelle les Européens à s'unir pour "les gérer dans les tout prochains mois. " L'Europe doit prouver qu'elle protège les Européens. EU leaders seek unity at Bratislava summit amid east-west migration split | World news. EU leaders will search for unity at a special summit without the UK on Friday, in the hope of setting a course for a union battered by the Brexit vote and riven by a simmering east-west row over migration. Donald Tusk, the former Polish prime minister who chairs EU leaders’ summits, hopes to cool tempers after Luxembourg’s foreign minister called for Hungary to be thrown out of the EU for allegedly treating asylum seekers “worse than wild animals”.

Hungary counterattacked with stinging criticism of the grand duchy’s record in helping big corporations avoid tax. On Thursday Tusk called on EU leaders to take a “brutally honest” look at the bloc’s problems, declaring: “We must not let this crisis go to waste.” “We haven’t come to Bratislava to comfort each other or even worse to deny the real challenges we face in this particular moment in the history of our community after the vote in the UK,” said Tusk, who will chair the summit.

Agreeing on stronger border defences is the easy bit. Bratislava: Tusk pushes border security, terrorism, globalisation control agenda. Published 10:47 September 16, 2016 Updated 10:53 September 16, 2016 “My ambition is that in Bratislava we can agree on the main priorities and what we need to do about them in the next few months,” said President Donald Tusk before his meeting with Swedish Prime Minister Stefan Löfven in Stockholm.

“I have no doubt that the three main challenges are uncontrolled irregular migration, terrorism, and the fears of globalisation,” adds President Tusk, setting the priorities to the informal EU Summit of the 27 member states in Slovakian capital. Tusk considers this meeting a historic moment at the Summit letter he sent to the 27 Heads of State and Government that arrived at Bratislava castle on Friday morning. “It’s my feeling that the best motto for the Bratislava meeting is that we must not let these crises go to waste,” Tusk added, asking for a “realistic diagnosis of the causes of Brexit”. Leaders’ thoughts at Bratislava doorstep Hollande’s agenda. European Leaders Discuss Plan for European Army. European leaders are discussing "far-reaching proposals" to build a pan-European military, according to a French defense ministry document leaked to the German newspaper, the Süddeutsche Zeitung.

The efforts are part of plans to relaunch the European Union at celebrations in Rome next March marking the 60th anniversary of the Treaty of Rome, which established the European Community. The document confirms rumors that European officials are rushing ahead with defense integration now that Britain — the leading military power in Europe — will be exiting the 28-member European Union. British leaders have repeatedly blocked efforts to create a European army because of concerns that it would undermine the NATO alliance, the primary defense structure in Europe since 1949. Proponents of European defense integration argue that it is needed to counter growing security threats and would save billions of euros in duplication between countries. According to Süddeutsche Zeitung: Appendix September 9. Prime Minister Orešković: This Might Be New Beginning for EU. Prime Minister Orešković participated in EU Summit in Bratislava.

Prime Minister Tihomir Orešković on Friday attended the summit of the European Union in Bratislava. After the summit ended, he said that messages heard at the meeting were positive and that it might mark “a new beginning” for the EU, reports Večernji List on September 17, 2016. “We heard from 27 members of the EU, without Britain. Comments and messages were very positive. Orešković said that he would participate in a meeting in Vienna on 24 September, when a mini-summit on the migrant crisis would be held.

The meeting In Vienna will be attended by “ten countries which are the most involved in the migration crisis. Orešković added that they had also discussed the economy, young people and digitization, and the final topic was terrorism and how to better share information. EU leaders seek unity at Bratislava summit amid east-west migration split | World news. How Important Is the Bratislava Summit for Europe? A Bratislava, les Européens de l’est affirment leur différence - Le Temps. La Slovaquie accueille ce vendredi le premier Sommet européen après le vote britannique pour sortir de l’Union (Brexit) qui a vu la dynamique européenne s’inverser avec le retrait de l’un de ses membres.

Plusieurs chefs d’État ont appelé à tirer les leçons de ce scrutin. Mais leurs conclusions, loin de coïncider, creusent un peu plus les fractures qui se sont fait jour ces dernières années sur fonds de crise économique et défi migratoire. Fin août, Angela Merkel, la chancelière allemande, a mis en garde contre toute attente irréaliste. La rencontre de Bratislava ne sera «pas un sommet décisionnel mais plutôt un sommet qui fixera un agenda». Quant aux leçons à tirer du vote britannique, elles restent vaguent. «On pourra parler de premier sommet post-Brexit lorsque l’on saura ce que les Britanniques veulent faire.

«Contre-révolution culturelle» L’agenda en question a été précisé jeudi lors d’une rencontre entre Angela Merkel et François Hollande. Les quotas relégués Le besoin d’Europe. A Bratislava, un sommet européen à 27 pour dessiner et relancer l'Europe post-Brexit. Comment relancer la construction européenne après le Brexit ? La question est au coeur d'un sommet des 27 dirigeants européens, aujourd'hui à Bratislava, en Slovaquie. Ce sommet informel est annoncé comme décisif, face à la montée des populismes, aux crises économique et migratoire. Comment relancer la construction européenne après le Brexit ? La question est au coeur d'un sommet des 27 dirigeants européens, aujourd'hui à Bratislava, en Slovaquie. Sommet informel mais décisif, sans le Royaume-Uni, donc. L'Union européenne n'a qu'un impératif : trouver un nouvel élan, face à la montée des populismes, face aux crises économique et migratoire, le tout dans un calendrier électoral chargé dans plusieurs pays, comme en France ou en Allemagne l'an prochain.

Pour Martin Schulz, le président du Parlement européen, l'U.E. doit passer à la vitesse supérieure car il y a urgence. Les priorités de ce sommet des 27 à Bratislava : Sécurité, défense, croissance, jeunesse et la crise migratoire. Faut-il croire, malgré tout, au sommet européen de Bratislava? Angela Merkel et François Hollande jeudi à l'Elysée, avant le sommet européen de vendredi. Reuters. Ce qui est frappant dans les commentaires sur l'Europe, c'est qu'on a toujours tendance à en attendre trop ou a dénigrer les compromis obtenus, ce qui contribue à ce qu'on appelle le désenchantement ou plus globalement la crise de confiance envers les institutions européennes.

Nous avons par exemple publié dimanche dans le JDDle plan franco-allemand pour améliorer les capacités de la défense européenne et dès le lendemain on pouvait lire sur Twitter ce commentaire d'un député européen sur le thème : "Ce ne sont que des mots, encore des mots, toujours des mots. " Comme si tout cela manquait de souffle et de vision. La chronique de François Clemenceau sur Europe 1 : Or, ce ne sont pas que des mots. François Clemenceau - leJDD.fr.