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Ville de tourisme et de patrimoine. La Ville a su conserver, tout au long de son histoire, un patrimoine riche et somptueux.

Ville de tourisme et de patrimoine

Témoins de ce passé remarquable, la Cathédrale Saint Etienne, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, le palais Jacques Cœur, les hôtels particuliers ou encore les centaines de maisons en pan de bois réparties dans la ville. La Ville de Bourges est labélisée « ville d’art et d’histoire », label qui qualifie des communes qui s'engagent dans une démarche active de connaissance, de conservation, de médiation et de soutien. Les nuits lumière, balade nocturne gratuite, permettent aux visiteurs d’arpenter les rues de la ville des remparts au chevet de la Cathédrale, à l’Hôtel Lallemant, l’Hôtel des Echevins, en passant par le Palais Jacques Cœur et la Chapelle St Aoustrillet. Le service du patrimoine s’attache à proposer de nombreuses visites et ateliers pour tous les publics, sur des thématiques très variées.

Les Remparts. A la fin du IIIe siècle, la politique romaine du Bas-Empire réorganise sa défense et son territoire en renforçant le rôle politique des villes, capitales de civitas de la Gaule.

Les Remparts

Après une période de déclin, Biturigas – Bourges – devient capitale de l’Aquitaine Première. Une nouvelle politique urbaine amène à remodeler la ville concentrée sur l’oppidum (26 ha) et à l’entourer au milieu du IVe siècle d’un rempart défensif s’ouvrant sur 4 portes monumentales : la porte de Lyon, la porte Gordaine, la porte Neuve et la porte d’Auron. Ce type de rempart n'a pas été construit à la hâte pour se défendre d'invasions ou de raids, mais est, au contraire, soigneusement appareillé. Les gros blocs de fondation sont des remplois provenant de monuments du Ier siècle; certains sont sculptés, comme on peut l'observer sur la partie conservée derrière l'actuelle mairie. L'épaisseur des murs de courtine, à leur base, était de 6 à 8 mètres. Office de tourisme de Bourges. Gallo-romains. L'Interpretatio romana à offert des noms romains pour les divinités gauloises telles que le dieu-forgeron Gobannus[3], mais des divinités celtiques, seule la protectrice des chevaux Épona pénétra dans les cultures romanisées au-delà des confins de la Gaule[4].

Gallo-romains

Au début du ve siècle, les invasions barbares ont imposé à la culture gallo-romaine des changements fondamentaux dans la politique, le fondement économique, et l'organisation militaire. Le traité gothique de 418 offrit une double loyauté, l'autorité romaine occidentale se désintégrant à Rome. La situation critique de la classe dirigeante hautement romanisée[5] est examinée par Ralph Whitney Mathisen[6], les luttes de l'évêque Hilaire d'Arles par Michael Heinzelmann[7]. Contexte[modifier | modifier le code] On ne peut pas véritablement parler de peuple gaulois, si ce n'est au pluriel ; en effet, à l'époque de la conquête romaine, la Gaule n'est en aucune manière une entité politique unifiée. Maison de la culture de Bourges. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Maison de la culture de Bourges

Maison de la Culture de Bourges MCB La Maison de la Culture vue de face, en mars 2011. Cathédrale Saint-Étienne de Bourges. Sur le plan architectural, l'édifice est remarquable aussi bien par ses proportions harmonieuses, liées à l'unité de sa conception, que par la qualité de ses tympans, de ses sculptures et de ses vitraux.

Cathédrale Saint-Étienne de Bourges

Elle se distingue notamment des autres grandes cathédrales de l'époque par une recherche toute nouvelle d'un espace intérieur unifié[1] Historique[modifier | modifier le code] Sacrifices[modifier | modifier le code] Bourges, ville royale depuis 1100, était située à l’époque à la limite sud du domaine royal, à quelques lieues de l’Aquitaine, possession anglaise.

Bourges. Avec 64 668 habitants en 2018, il s'agit de la commune la plus peuplée du département et la troisième commune la plus peuplée de la région Centre-Val de Loire, après Tours et Orléans, et devant Blois, Châteauroux et Chartres.

Bourges

Au centre d'une aire d'attraction de 174 771 habitants[2], l'aire d'attraction de Bourges est la 65e de France et la 3e de la région[3]. Ses habitants sont appelés les Berruyers. Géographie[modifier | modifier le code] Généralités[modifier | modifier le code]